En dépit de la rareté de l’offre en matière de véhicules électriques qui a frappé le marché australien ces dernières années, les assureurs font souvent le choix d’envoyer prématurément à la casse des voitures plutôt que de les réparer. En cause : la pénurie de mécaniciens qualifiés, le manque de pièces détachées et certaines réglementations.
Début avril, le Financial Times nous informait que les ports européens croulaient sous l’arrivée massive de véhicules électriques de facture chinoise, Pékin s’évertuant coûte que coûte à truster ce marché mondial.
Jeudi 25 avril, c’est une autre information liée à ce secteur dont The Guardian s’est fait l’écho : la pénurie de mécaniciens qualifiés à laquelle l’Australie est confrontée force les assureurs à mettre au rebut des véhicules électriques qui n’ont pourtant fait les frais que d’accidents mineurs, plutôt que de les réparer.
Aussi, le manque de pièces détachées et certaines réglementations dites obsolètes contribuent à l’allongement des délais de réparation, tandis que les primes destinées aux propriétaires sont gonflées.
Ces compétences indispensables, mais qui font défautMalgré la rareté de l’offre qui a frappé le marché australien ces dernières (...)