L’énorme provocation de Luis Enrique
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Forcément contrarié par la défaite concédée par le PSG, jeudi, face à Botafogo, Luis Enrique n’en a pas moins rendu un hommage appuyé à la formation brésilienne, affirmant qu’elle était supérieure aux équipes affrontées cette saison en Ligue des champions.
Habituée aux tremblements de terre, Los Angeles a vécu un petit séisme, jeudi, au Rose Bowl de Passadena. Conséquence de la défaite concédée par le PSG contre Botafogo à l’occasion de la deuxième journée de la Coupe du monde des Clubs. Un revers 1-0 concédé en dépit d’une très nette domination des Parisiens, les hommes de Luis Enrique se faisant surprendre sur l’une des rares contre-attaques brésiliennes.
Pour autant, l’entraîneur parisien refusait de crier à l’injustice à l’issue de la rencontre et a au contraire rendu un hommage appuyé au club carioca. « C'était un match serré dès le début avec beaucoup de difficultés pour créer des occasions, a-t-il ainsi confié au micro de DAZN. Ils ont marqué le but sur une action un peu bizarre mais ils ont très bien défendu et ont fait un très bon match. C'était difficile pour nous dès le début. »
https://x.com/sports_fr/status/1935901739011428591
L’ancien milieu de terrain a même réfuté l’idée que Botafogo est resté arc-bouté sur son but durant toute la rencontre. « Botafogo n'a pas joué si bas en première période, même si ce fut le cas à la fin du match », a-t-il asséné avant d’affirmer que les Brésiliens étaient sans doute l’adversaire le plus fort rencontré cette saison.
« Je crois que c'est peut-être la meilleure équipe qu'on a affrontée cette saison. Ça a été très difficile pour nous de créer des situations de but, a-t-il assuré. Cette phase défensive, on la connaît très bien. C'est vraiment typique des équipes qui essaient de défendre. On n'a pas été très inspiré, c'est une compétition très difficile. Il reste 90 minutes et il peut encore se passer beaucoup de choses. »
Conséquence de cette défaite, le PSG est désormais dos au mur et dans l’obligation de l’emporter face à Seattle lors du troisième match pour valider à coup sûr son billet pour les huitièmes de finale. Un scenario qui n’est pas sans rappeler celui de la phase de poules de la Ligue des champions. « Notre équipe est spécialiste pour gérer les mauvais moments, a-t-il soufflé. Dans ce sens, aujourd'hui, personne n'attendait ce résultat mais ils ont mérité dans ce match aussi serré. C'est le moment de tout analyser et de regarder où nous pouvons nous améliorer. C'est une compétition très difficile parce que le prochain match sera clé. Ce sera tout le temps des matchs comme ça. »
Habituée aux tremblements de terre, Los Angeles a vécu un petit séisme, jeudi, au Rose Bowl de Passadena. Conséquence de la défaite concédée par le PSG contre Botafogo à l’occasion de la deuxième journée de la Coupe du monde des Clubs. Un revers 1-0 concédé en dépit d’une très nette domination des Parisiens, les hommes de Luis Enrique se faisant surprendre sur l’une des rares contre-attaques brésiliennes.
Pour autant, l’entraîneur parisien refusait de crier à l’injustice à l’issue de la rencontre et a au contraire rendu un hommage appuyé au club carioca. « C'était un match serré dès le début avec beaucoup de difficultés pour créer des occasions, a-t-il ainsi confié au micro de DAZN. Ils ont marqué le but sur une action un peu bizarre mais ils ont très bien défendu et ont fait un très bon match. C'était difficile pour nous dès le début. »
https://x.com/sports_fr/status/1935901739011428591
L’ancien milieu de terrain a même réfuté l’idée que Botafogo est resté arc-bouté sur son but durant toute la rencontre. « Botafogo n'a pas joué si bas en première période, même si ce fut le cas à la fin du match », a-t-il asséné avant d’affirmer que les Brésiliens étaient sans doute l’adversaire le plus fort rencontré cette saison.
Botafogo meilleur que Liverpool ou Arsenal ?
« Je crois que c'est peut-être la meilleure équipe qu'on a affrontée cette saison. Ça a été très difficile pour nous de créer des situations de but, a-t-il assuré. Cette phase défensive, on la connaît très bien. C'est vraiment typique des équipes qui essaient de défendre. On n'a pas été très inspiré, c'est une compétition très difficile. Il reste 90 minutes et il peut encore se passer beaucoup de choses. »
Conséquence de cette défaite, le PSG est désormais dos au mur et dans l’obligation de l’emporter face à Seattle lors du troisième match pour valider à coup sûr son billet pour les huitièmes de finale. Un scenario qui n’est pas sans rappeler celui de la phase de poules de la Ligue des champions. « Notre équipe est spécialiste pour gérer les mauvais moments, a-t-il soufflé. Dans ce sens, aujourd'hui, personne n'attendait ce résultat mais ils ont mérité dans ce match aussi serré. C'est le moment de tout analyser et de regarder où nous pouvons nous améliorer. C'est une compétition très difficile parce que le prochain match sera clé. Ce sera tout le temps des matchs comme ça. »
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