Coup de tonnerre: Didier Deschamps, c’est terminé !
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En poste depuis 2012, Didier Deschamps a décidé de prendre un virage à la tête des Bleus, bien décidé à profiter du potentiel offensif de l’équipe de France.
Le Final Four de la Ligue des Nations aura marqué un tournant pour l’équipe de France. Les deux matches contre l’Espagne et l’Allemagne l’ont démontré: Didier Deschamps a en effet décidé d’être beaucoup moins restrictif que par le passé en s’appuyant sur les forces offensives de son équipe.
Ainsi, en dépit d’une défense décimée par les blessures, le sélectionneur tricolore n’a pas voulu jouer la sécurité en renforçant son milieu de terrain avec des profils défensifs. S’il n’hésitait pas par le passé à aligner Moussa Sissoko ou Blaise Matuidi en plus de trois milieux défensifs, il n’a cette fois titularisé qu’Aurélien Tchouameni et Adrien Rabiot dans l’entrejeu, pour évoluer avec quatre joueurs à vocation offensive.
https://x.com/beinsports_FR/status/1931807190454616246
« Entre gagner 1-0 ou 5-4, je préfère gagner 5-4, mais c'est toujours une question d'équilibre. Si on a le ballon, ce n'est pas le problème, a-t-il ainsi justifié, ajoutant : « J'ai beaucoup d'offensifs, je ne vais pas m'en priver, mais ça demande un peu de corrections, de modifications. Quand je ne le fais pas, ce n'est pas par envie d'être prudent, parce que vu le type de joueurs offensifs qu'on a, c'est problématique pour l'adversaire de les voir associés. Mais quand on n'a pas le ballon, il y a un travail défensif à faire pour être moins exposés. »
Et pour Benoît Tremoulinas, cette nouvelle philosophie est amenée à s’inscrire dans la durée. « S’il doit remettre ce système offensif ? Il sera obligé ! Il sera obligé de le faire parce qu’on s’est rendu compte aujourd’hui qu’il y a l’Espagne, l’Argentine et on peut mettre le Portugal qui sont peut-être au-dessus. Ensuite on peut dire qu’il y a l’Equipe de France. On l’a vu face à la Croatie. L’Equipe de France face à la Croatie, ils ont joué avec quatre offensifs et on est passé. Donc je pense que Didier Deschamps sait très bien aujourd’hui qu’il a une force de frappe offensive qui est incroyable, a-t-il ainsi confié sur le plateau de la Chaîne L'Equipe. Il y a des joueurs qui sont en train d’exploser de partout. C’est très bien que Cherki aille à City, et je pense qu’il sera obligé de s’appuyer sur ces attaquants. Défensivement on va retrouver Koundé, on va retrouver Saliba qui fait saliver tous les grands d’Europe, on va retrouver aussi Upamecano. »
Et même Christophe Dugarry, son plus grand détracteur, est séduit. « Je suis ravi des deux matchs que j’ai vus, et encore plus ravi du deuxième, a-t-il expliqué ce lundi dans Rothen s'enflamme, sur RMC. Je pensais que Deschamps se serait vite servi de ce résultat négatif face à l’Espagne et du nombre d’occasions concédées pour de suite revenir à un système où tu repartais avec trois milieux défensifs et la moitié des attaquants qui n’attaquent pas. Mais il est resté dans les mêmes intentions. Je l’ai appelé de mes vœux depuis toujours, donc je ne vais pas renier maintenant. » La révolution est en marche.
Le Final Four de la Ligue des Nations aura marqué un tournant pour l’équipe de France. Les deux matches contre l’Espagne et l’Allemagne l’ont démontré: Didier Deschamps a en effet décidé d’être beaucoup moins restrictif que par le passé en s’appuyant sur les forces offensives de son équipe.
Ainsi, en dépit d’une défense décimée par les blessures, le sélectionneur tricolore n’a pas voulu jouer la sécurité en renforçant son milieu de terrain avec des profils défensifs. S’il n’hésitait pas par le passé à aligner Moussa Sissoko ou Blaise Matuidi en plus de trois milieux défensifs, il n’a cette fois titularisé qu’Aurélien Tchouameni et Adrien Rabiot dans l’entrejeu, pour évoluer avec quatre joueurs à vocation offensive.
https://x.com/beinsports_FR/status/1931807190454616246
« Entre gagner 1-0 ou 5-4, je préfère gagner 5-4, mais c'est toujours une question d'équilibre. Si on a le ballon, ce n'est pas le problème, a-t-il ainsi justifié, ajoutant : « J'ai beaucoup d'offensifs, je ne vais pas m'en priver, mais ça demande un peu de corrections, de modifications. Quand je ne le fais pas, ce n'est pas par envie d'être prudent, parce que vu le type de joueurs offensifs qu'on a, c'est problématique pour l'adversaire de les voir associés. Mais quand on n'a pas le ballon, il y a un travail défensif à faire pour être moins exposés. »
Didier Deschamps n'a plus le choix
Et pour Benoît Tremoulinas, cette nouvelle philosophie est amenée à s’inscrire dans la durée. « S’il doit remettre ce système offensif ? Il sera obligé ! Il sera obligé de le faire parce qu’on s’est rendu compte aujourd’hui qu’il y a l’Espagne, l’Argentine et on peut mettre le Portugal qui sont peut-être au-dessus. Ensuite on peut dire qu’il y a l’Equipe de France. On l’a vu face à la Croatie. L’Equipe de France face à la Croatie, ils ont joué avec quatre offensifs et on est passé. Donc je pense que Didier Deschamps sait très bien aujourd’hui qu’il a une force de frappe offensive qui est incroyable, a-t-il ainsi confié sur le plateau de la Chaîne L'Equipe. Il y a des joueurs qui sont en train d’exploser de partout. C’est très bien que Cherki aille à City, et je pense qu’il sera obligé de s’appuyer sur ces attaquants. Défensivement on va retrouver Koundé, on va retrouver Saliba qui fait saliver tous les grands d’Europe, on va retrouver aussi Upamecano. »
Et même Christophe Dugarry, son plus grand détracteur, est séduit. « Je suis ravi des deux matchs que j’ai vus, et encore plus ravi du deuxième, a-t-il expliqué ce lundi dans Rothen s'enflamme, sur RMC. Je pensais que Deschamps se serait vite servi de ce résultat négatif face à l’Espagne et du nombre d’occasions concédées pour de suite revenir à un système où tu repartais avec trois milieux défensifs et la moitié des attaquants qui n’attaquent pas. Mais il est resté dans les mêmes intentions. Je l’ai appelé de mes vœux depuis toujours, donc je ne vais pas renier maintenant. » La révolution est en marche.
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