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États-Unis : 150 larves d’insectes dans le nez menaçaient son cerveau

États-Unis : 150 larves d’insectes dans le nez menaçaient son cerveau
Publié le 28 févr. 2024 à 22:00, mis à jour le 28 févr. 2024 à 21:02

À l'HCA Florida Memorial de Jacksonville, un médecin a sauvé un patient dont le cerveau était menacé par des vers qui avaient atteint son crâne, en les extirpant soigneusement un à un. Mais comment les vers ont-ils pu atteindre son cerveau ?

Tl;dr

  • Un homme souffrant de douleurs faciales se rend à l’hôpital.
  • Les médecins découvrent 150 larves dans son nez.
  • Les larves ont été retirées manuellement en raison de leur taille.
  • Le patient suspecte un lien avec ses habitudes d’hygiène et la manipulation de poissons morts.

Un cas médical rare

Dans la ville de Jacksonville, en Floride, un médecin a été confronté à un cas pour le moins étrange : un patient présentant une inflammation du visage, des difficultés respiratoires et une douleur fulgurante. Après examen, il a été découvert que l’individu avait 150 larves logées dans les cavités de son nez.

Un danger imminent

Selon l’oto-rhino-laryngologiste qui a examiné le patient au HCA Florida Memorial Hospital, les parasites s’étaient accumulés dans les cavités nasales et sinusales, se nourrissant de ces zones délicates. “Ils étaient tout près de la base du crâne, juste sous le cerveau, et s’ils étaient passés par là, ils auraient pu le tuer, a-t-il déclaré, soulignant la gravité de la situation.

Issue de la situation

Devant cette situation critique, le médecin a du faire preuve d’une grande dextérité, retirant les larves une par une, car elles étaient trop grosses pour être aspirées. Effectivement, certaines atteignaient un centimètre de long.

Origine des larves

Quant à l’origine de cet incident, le patient lui-même indique que ses problèmes pourraient être liés à ses habitudes d’hygiène insuffisantes lorsqu’il manipulait des poissons morts dans la rivière.

Désormais en convalescence après cette opération hors du commun, il a envoyé les larves à un épidémiologiste pour déterminer leur espèce et éviter une telle mésaventure à l’avenir.

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