Vivement lundi: X (ex-Twitter)
Il y a quatorze ans, quand je me suis inscrite, accrochez-vous bien, on allait sur Twitter pour: s’y amuser.
Chaque samedi, Louison chronique un objet ou un événement de notre quotidien.
Pas facile de faire une chronique sur Twitter.
Oui je sais, faut dire X maintenant, mais comptez pas trop sur moi pour ça parce que 1. c’est un nom de merde, 2. au bout de tout ce temps y a aucun moyen que mes neurones arrivent à faire l’effort de ce changement et surtout 3. c’est un nom de merde. Oui je sais je l’ai déjà dit en 1., mais c’est vraiment un nom qui n’a rien à envier à ce qui sort du cul des vaches et finit au sol en rond presque parfait. Si ce n’est que dans le cas des bouses, elles sont un superbe engrais pour toute végétation. Le réseau social, lui, semble depuis quelque temps n’avoir l’envie d’en garder que l’odeur.
Bref, tout ça pour dire que cette semaine, j’ai décidé de vous parler de Twitter, parce que comme dirait le poète belge capable de faire des grands écarts en treillis entre deux 33 tonnes: «J’adore Twitter, dans vingt-trente ans y en n’aura plus.» Sauf que là, si ça se trouve, c’est plutôt en heures, voire en minutes, que ça se joue. Parce que moi j’adore Twitter, mais je foutrai pas un centime là-dedans.
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