Un duel Jacquemot-Boisson pour une place au soleil
Publié le
Elsa Jacquemot et Loïs Boisson s’affrontent ce samedi pour une place en huitièmes de finale de Roland-Garros. Une belle occasion pour deux joueuses invitées dans ce tournoi.
Au vu de la situation actuelle du tennis français féminin, avec une seule représentante dans le top 100, avoir une joueuse tricolore en deuxième semaine de Roland-Garros était loin d’être évident. Il y aura pourtant bel et bien une Française présente en huitième de finale ce lundi.
Reste à savoir qui aura cette chance entre Loïs Boisson (361eme) et Elsa Jacquemot (138eme), toutes deux invitées, qui s’affrontent ce samedi en deuxième rotation sur le court Simonne-Mathieu. Une opportunité en or à saisir pour deux joueuses qui réalisent leur meilleur tournoi du Grand Chelem de leur jeune carrière (22 ans toutes les deux).
Évidemment satisfaite de se retrouver à ce niveau de la compétition, Jacquemot ne voit cependant pas son parcours comme une fin en soi : « Cela signifie beaucoup, mais pas beaucoup en même temps, parce que j'ai de grandes ambitions, on va dire. Je suis contente, c'est la première fois de ma carrière que je suis au troisième tour d'un Grand Chelem. C'est en France, c'est à Roland, donc forcément, cela me fait plaisir. Le public est à fond derrière nous, donc c'est super cool, j'adore ça. Après, je n'ai pas envie de m'arrêter là. J'ai juste envie de me dire : ok, tu as encore un match, tu as la chance de rejouer un match, essaie de te préparer à fond. »
Côté Boisson, ce troisième tour semble avoir une autre saveur, pour une joueuse éloignée des courts entre mai 2024 et février 2025 à la suite d’une rupture d’un ligament du genou gauche : « Ce troisième tour représente beaucoup. D’arriver là vu l’année que j’ai passée, c’est génial ».
Habituées à avoir un public acquis à leur cause depuis l’entame de ce tournoi, les deux joueuses vont inévitablement devoir cette fois composer avec des spectateurs plus partagés. « Ce n'est pas évident de jouer une Française à Roland, parce que forcément, le public va être moins pour moi. Enfin, j'espère qu'il sera quand même là pour moi, mais je pense que ce sera assez kif‑kif », expliquait Jacquemot au moment de se projeter sur cette rencontre face à sa compatriote.
Les deux joueuses se sont déjà affrontées une fois sur le circuit, à Cherbourg en 2022, pour un succès sans appel de Jacquemot (6-0, 6-2).
Au vu de la situation actuelle du tennis français féminin, avec une seule représentante dans le top 100, avoir une joueuse tricolore en deuxième semaine de Roland-Garros était loin d’être évident. Il y aura pourtant bel et bien une Française présente en huitième de finale ce lundi.
Reste à savoir qui aura cette chance entre Loïs Boisson (361eme) et Elsa Jacquemot (138eme), toutes deux invitées, qui s’affrontent ce samedi en deuxième rotation sur le court Simonne-Mathieu. Une opportunité en or à saisir pour deux joueuses qui réalisent leur meilleur tournoi du Grand Chelem de leur jeune carrière (22 ans toutes les deux).
Jacquemot voit plus loin, Boisson savoure
Évidemment satisfaite de se retrouver à ce niveau de la compétition, Jacquemot ne voit cependant pas son parcours comme une fin en soi : « Cela signifie beaucoup, mais pas beaucoup en même temps, parce que j'ai de grandes ambitions, on va dire. Je suis contente, c'est la première fois de ma carrière que je suis au troisième tour d'un Grand Chelem. C'est en France, c'est à Roland, donc forcément, cela me fait plaisir. Le public est à fond derrière nous, donc c'est super cool, j'adore ça. Après, je n'ai pas envie de m'arrêter là. J'ai juste envie de me dire : ok, tu as encore un match, tu as la chance de rejouer un match, essaie de te préparer à fond. »
Côté Boisson, ce troisième tour semble avoir une autre saveur, pour une joueuse éloignée des courts entre mai 2024 et février 2025 à la suite d’une rupture d’un ligament du genou gauche : « Ce troisième tour représente beaucoup. D’arriver là vu l’année que j’ai passée, c’est génial ».
« Ce n'est pas évident de jouer une Française à Roland »
Habituées à avoir un public acquis à leur cause depuis l’entame de ce tournoi, les deux joueuses vont inévitablement devoir cette fois composer avec des spectateurs plus partagés. « Ce n'est pas évident de jouer une Française à Roland, parce que forcément, le public va être moins pour moi. Enfin, j'espère qu'il sera quand même là pour moi, mais je pense que ce sera assez kif‑kif », expliquait Jacquemot au moment de se projeter sur cette rencontre face à sa compatriote.
Les deux joueuses se sont déjà affrontées une fois sur le circuit, à Cherbourg en 2022, pour un succès sans appel de Jacquemot (6-0, 6-2).
Publicité
