Tsitsipas de retour aux affaires

Publié le , mis à jour le
Vainqueur de son premier ATP 500 en carrière à Dubaï, Stefanos Tsitsipas fait son retour dans le top 10. Une semaine maîtrisée où le Grec a notamment fait parler la puissance. Et si sa nouvelle raquette avait joué un rôle dans ce succès ?
Que s'est-il passé dans la tête de Stefanos Tsitsipas ? Un déclic sûrement. En remportant son premier ATP 500 en carrière à Dubaï, le Grec a mis fin à plusieurs semaines de galère. Il faut d'ailleurs remonter au mois de juillet 2023 pour voir Tsitsipas s'imposer sur dur; à Los Cabos (Mexique). Ce succès permet au Grec de retrouver le top 10. Un soulagement pour le tennisman de 26 ans.
"Ce sont les choses pour lesquelles on se bat, c'est un des meilleurs sentiments qu'on peut éprouver comme joueur de tennis, ça donne un sens à tous ces sacrifices, je suis content d'être dans la position du vainqueur" a-t-il confié après sa victoire contre Félix Auger-Aliassime; le Canadien qui retrouve également son meilleur niveau ces derniers mois. Si le déclic s'est produit à Dubaï alors qu'il avait subi une élimination au premier tour face à Medjedovic à Doha, c'est peut-être grâce à sa nouvelle arme. Son revers ? Son service ? Non, sa raquette.
Les observateurs de la petite balle jaune auront sans doute vu la semaine de Tsitsipas à Dubaï. Si la puissance retrouvée dans les coups du Grec est frappante, cela est sûrement dû à un changement notable : sa nouvelle raquette. Tsitsipas a remplacé sa Wilson par une Babolat. Tout en noir pour ne pas éveiller les soupçons, le Grec a testé un modèle utilisé par Alcaraz notamment sur le circuit. D'après certaines sources, c'est son adversaire en finale à Dubaï qui lui aurait conseillé d'utiliser ce modèle. En demi-finale contre Griekspoor, le revers de Tsitsipas a été le plus performant de tout le tournoi. Plaisir et efficacité retrouvés, Tsitsipas espère avoir trouvé les clés du changement. Tout comme le Grec, Madison Keys avait échangé sa Wilson à Melbourne pour une Yonex. Choix payant puisque l'Américaine avait remporté le premier Grand Chelem de la saison.
Pour Stefanos Tsitsipas, ce changement et cette victoire aux Émirats arabes unis arrivent au meilleur des moments. Si la tournée américaine arrive avec Indian Wells et Miami, la saison sur terre est dans la tête du finaliste de Roland-Garros 2021. Vainqueur l'an passé à Monte-Carlo, Tsitsipas aura à coeur de retrouver les mêmes sensations que cette semaine vécue à Dubaï, sur sa surface préférée.
Que s'est-il passé dans la tête de Stefanos Tsitsipas ? Un déclic sûrement. En remportant son premier ATP 500 en carrière à Dubaï, le Grec a mis fin à plusieurs semaines de galère. Il faut d'ailleurs remonter au mois de juillet 2023 pour voir Tsitsipas s'imposer sur dur; à Los Cabos (Mexique). Ce succès permet au Grec de retrouver le top 10. Un soulagement pour le tennisman de 26 ans.
"Ce sont les choses pour lesquelles on se bat, c'est un des meilleurs sentiments qu'on peut éprouver comme joueur de tennis, ça donne un sens à tous ces sacrifices, je suis content d'être dans la position du vainqueur" a-t-il confié après sa victoire contre Félix Auger-Aliassime; le Canadien qui retrouve également son meilleur niveau ces derniers mois. Si le déclic s'est produit à Dubaï alors qu'il avait subi une élimination au premier tour face à Medjedovic à Doha, c'est peut-être grâce à sa nouvelle arme. Son revers ? Son service ? Non, sa raquette.
Des coups qui font à nouveau mal
Les observateurs de la petite balle jaune auront sans doute vu la semaine de Tsitsipas à Dubaï. Si la puissance retrouvée dans les coups du Grec est frappante, cela est sûrement dû à un changement notable : sa nouvelle raquette. Tsitsipas a remplacé sa Wilson par une Babolat. Tout en noir pour ne pas éveiller les soupçons, le Grec a testé un modèle utilisé par Alcaraz notamment sur le circuit. D'après certaines sources, c'est son adversaire en finale à Dubaï qui lui aurait conseillé d'utiliser ce modèle. En demi-finale contre Griekspoor, le revers de Tsitsipas a été le plus performant de tout le tournoi. Plaisir et efficacité retrouvés, Tsitsipas espère avoir trouvé les clés du changement. Tout comme le Grec, Madison Keys avait échangé sa Wilson à Melbourne pour une Yonex. Choix payant puisque l'Américaine avait remporté le premier Grand Chelem de la saison.
Pour Stefanos Tsitsipas, ce changement et cette victoire aux Émirats arabes unis arrivent au meilleur des moments. Si la tournée américaine arrive avec Indian Wells et Miami, la saison sur terre est dans la tête du finaliste de Roland-Garros 2021. Vainqueur l'an passé à Monte-Carlo, Tsitsipas aura à coeur de retrouver les mêmes sensations que cette semaine vécue à Dubaï, sur sa surface préférée.
Publicité