Swiatek ne digère pas

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Eliminée jeudi par Aryna Sabalenka aux portes d'une nouvelle finale à Paris, Iga Swiatek a reconnu après-coup la supériorité de sa rivale sur cette rencontre. La Polonaise avait en revanche beaucoup plus de mal à digéré l'arbitrage du Français Kader Nouni, avec qui elle a d'ailleurs un explication au cours du deuxième set.
"Je pense qu'elle a imposé un rythme très rapide. Au début du match, elle a joué aussi fort que possible et a pris beaucoup de risques. C'était difficile de prolonger les échanges."
Battue jeudi en demi-finales de Roland-Garros par Aryna Sabalenka à l'issue d'un troisième et dernier set qui a vu la numéro 1 mondiale infliger un improbable 6-0 à la triple tenante du titre, qui restait pourtant sur 26 matchs gagnés à la suite Porte d'Auteuil, Iga Swiatek n'a eu aucun mal à admettre que la numéro 1 mondiale avait joué un ton au-dessus dans les deux sets qu'elle a remportés, et notamment cette terrible dernière manche qui s'est soldée sur une humiliation pour la Polonaise.
"Dans le troisième set, on est revenues à ce qui se passait au premier, elle a saisi les opportunités. Et j'ai perdu mon intensité, le set est allé très vite et je n'ai pas eu le temps de revenir comme je l'avais fait dans le deuxième set."
En revanche, l'arbitrage, lui, laissait l'ex-patronne du circuit aujourd'hui 5e au classement beaucoup plus amère. Sans chercher à développer davantage ni manifester l'envie d'en savoir plus, Swiatek avait ainsi l'impression que le Français Kader Nouni, sur la chaise jeudi, avait avantagé son adversaire. Elle s'en est même expliquée avec lui dans le deuxième set.
"Il venait vérifier chaque marque quand Aryna le demandait, même quand elles étaient clairement faute. Je lui ai dit qu’un service était faute, il m’a dit que mon retour était dehors mais j’avais vu tout de suite que le service était out. Je voulais qu’il vienne voir la marque mais il ne l’a pas fait. Je ne pense donc pas que ce soit juste, surtout qu’il venait à chaque fois qu’Aryna le lui demandait." Swiatek, déjà la tête à Wimbledon ("il faudra avoir une pré-saison décente sur gazon"), l'assure : elle est néanmoins déjà passée à autre chose. "Je ne comprends pas mais ça m'est égal".
"Je pense qu'elle a imposé un rythme très rapide. Au début du match, elle a joué aussi fort que possible et a pris beaucoup de risques. C'était difficile de prolonger les échanges."
Battue jeudi en demi-finales de Roland-Garros par Aryna Sabalenka à l'issue d'un troisième et dernier set qui a vu la numéro 1 mondiale infliger un improbable 6-0 à la triple tenante du titre, qui restait pourtant sur 26 matchs gagnés à la suite Porte d'Auteuil, Iga Swiatek n'a eu aucun mal à admettre que la numéro 1 mondiale avait joué un ton au-dessus dans les deux sets qu'elle a remportés, et notamment cette terrible dernière manche qui s'est soldée sur une humiliation pour la Polonaise.
"Dans le troisième set, on est revenues à ce qui se passait au premier, elle a saisi les opportunités. Et j'ai perdu mon intensité, le set est allé très vite et je n'ai pas eu le temps de revenir comme je l'avais fait dans le deuxième set."
Swiatek : "Il venait à chaque fois qu'Aryna le demandait"
En revanche, l'arbitrage, lui, laissait l'ex-patronne du circuit aujourd'hui 5e au classement beaucoup plus amère. Sans chercher à développer davantage ni manifester l'envie d'en savoir plus, Swiatek avait ainsi l'impression que le Français Kader Nouni, sur la chaise jeudi, avait avantagé son adversaire. Elle s'en est même expliquée avec lui dans le deuxième set.
"Il venait vérifier chaque marque quand Aryna le demandait, même quand elles étaient clairement faute. Je lui ai dit qu’un service était faute, il m’a dit que mon retour était dehors mais j’avais vu tout de suite que le service était out. Je voulais qu’il vienne voir la marque mais il ne l’a pas fait. Je ne pense donc pas que ce soit juste, surtout qu’il venait à chaque fois qu’Aryna le lui demandait." Swiatek, déjà la tête à Wimbledon ("il faudra avoir une pré-saison décente sur gazon"), l'assure : elle est néanmoins déjà passée à autre chose. "Je ne comprends pas mais ça m'est égal".
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