Sabalenka : « Si j’arrive à aller chercher ce trophée… »
Publié le
Parvenue jeudi à battre Iga Swiatek sur terre battue pour la première fois de sa carrière et qualifiée pour sa première finale à Paris, Aryna Sabalenka espère qu'elle parviendra à confirmer contre Coco Gauff son aisance grandissante sur terre battue, devenue la surface préférée de la numéro 1 mondiale contrairement à ce que beaucoup de monde imaginait.
Avant jeudi, Aryna Sabalenka (27 ans), qui s'était déjà hissée dans le dernier carré deux ans plus tôt, en 2023, n'avait jamais réussi à franchir le cap des demi-finales à Roland-Garros. Samedi, elle disputera pourtant sa première finale sur la terre battue parisienne, face à une Coco Gauff impressionnante face à la révélation française de la quinzaine Loïs Boisson.
Pour parvenir à grimper sur la première marche à Paris pour la première fois de sa vie, la numéro 1 mondiale a réussi l'exploit de faire chuter sa grande rivale Iga Swiatek, qui restait sur trois titres consécutifs et vingt-six matchs gagnés d'affilée, dans la première demi-finale. Une victoire - sa première sur terre battue face à la Polonaise - que la Biélorusse avait longtemps pensé impossible.
"Battre Iga à Roland-Garros, c'est quelque chose d'incroyable !", réalisait à peine l'intéressée jeudi. Ce plafond de verre brisé, Sabalenka avoue que la surface est devenue sa préférée, mais aussi celle sur laquelle elle se sent le plus à l'aise. Ce que personne n'aurait imaginé il y a quelques années en arrière, au point de la faire douter de sa capacité à se révéler un jour sur l'ocre.
"Toute ma vie, on m'a dit que cette surface n’était pas pour moi et je n’avais pas confiance. Pourtant, aujourd'hui, je me sens vraiment à l'aise sur terre battue et je prends du plaisir à jouer sur cette surface", s'amuse celle qui compte déjà trois titres en Grand Chelem (l'Open d'Australie par deux fois et l'US Open) et espère bien en ajouter un quatrième samedi. Ne serait-ce que pour matérialiser ses (énormes) progrès sur terre.
"Je me suis améliorée sur le plan physique (...) J’ai travaillé sur le lift et les amorties (...), j’ai une plus grande diversité de coups, je peux frapper à plat, je peux mettre de l’effet, je peux revenir et défendre (...) Si j'arrive à aller chercher ce trophée, ça vaudra énormément pour moi". Débarrassée de Swiatek, la numéro 1 mondiale fera tout pour décrocher ce premier titre dans la capitale. "Je suis prête, je vais me battre sur chaque point et tout donner pour gagner."
Avant jeudi, Aryna Sabalenka (27 ans), qui s'était déjà hissée dans le dernier carré deux ans plus tôt, en 2023, n'avait jamais réussi à franchir le cap des demi-finales à Roland-Garros. Samedi, elle disputera pourtant sa première finale sur la terre battue parisienne, face à une Coco Gauff impressionnante face à la révélation française de la quinzaine Loïs Boisson.
Pour parvenir à grimper sur la première marche à Paris pour la première fois de sa vie, la numéro 1 mondiale a réussi l'exploit de faire chuter sa grande rivale Iga Swiatek, qui restait sur trois titres consécutifs et vingt-six matchs gagnés d'affilée, dans la première demi-finale. Une victoire - sa première sur terre battue face à la Polonaise - que la Biélorusse avait longtemps pensé impossible.
"Battre Iga à Roland-Garros, c'est quelque chose d'incroyable !", réalisait à peine l'intéressée jeudi. Ce plafond de verre brisé, Sabalenka avoue que la surface est devenue sa préférée, mais aussi celle sur laquelle elle se sent le plus à l'aise. Ce que personne n'aurait imaginé il y a quelques années en arrière, au point de la faire douter de sa capacité à se révéler un jour sur l'ocre.
"Je vais me battre sur chaque point pour gagner"
"Toute ma vie, on m'a dit que cette surface n’était pas pour moi et je n’avais pas confiance. Pourtant, aujourd'hui, je me sens vraiment à l'aise sur terre battue et je prends du plaisir à jouer sur cette surface", s'amuse celle qui compte déjà trois titres en Grand Chelem (l'Open d'Australie par deux fois et l'US Open) et espère bien en ajouter un quatrième samedi. Ne serait-ce que pour matérialiser ses (énormes) progrès sur terre.
"Je me suis améliorée sur le plan physique (...) J’ai travaillé sur le lift et les amorties (...), j’ai une plus grande diversité de coups, je peux frapper à plat, je peux mettre de l’effet, je peux revenir et défendre (...) Si j'arrive à aller chercher ce trophée, ça vaudra énormément pour moi". Débarrassée de Swiatek, la numéro 1 mondiale fera tout pour décrocher ce premier titre dans la capitale. "Je suis prête, je vais me battre sur chaque point et tout donner pour gagner."
Publicité
