Rattrapée par un drame, Amélie Mauresmo craque en direct

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Présente sur le plateau de Clique, Amélie Mauresmo a été submergée par l’émotion à l’évocation du décès de son père.
De son propre aveu, Amélie Mauresmo ne s’y attendait pas. En pleine tournée médiatique alors que Roland-Garros vient tout juste de débuter, tout du moins les qualifications, la directrice du tournoi parisien était face à Mouloud Achour, ce mardi. Et le présentateur de Clique ne s’est pas contenté d’évoquer la carrière de l’ancienne joueuse, s’arrêtant notamment sur une déclaration au sujet de son accession à la place de numéro une mondiale, en 2004, concomitante avec la disparition de son père, emporté par un cancer.
« J'aimerais qu'on parle d'une de vos déclarations qui m'a interpellé. Vous avez dit 'Mon père est mort en mars 2004, je suis devenue numéro un mondial en septembre 2004, ce n'est pas anodin' », a-t-il ainsi lancé face à Amélie Mauresmo, faisant craquer la Basque d’adoption.
https://x.com/sports_fr/status/1922223194431214020
« Je ne m’attendais pas à celle-là… », a-t-elle soufflé, la voix brisée, tentant néanmoins d’enchaîner : « Je voyais tout autrement après…» Mais l’émotion était trop grande et Amélie Mauresmo n’a pu retenir ses larmes, en étant quitte pour faire une pause avant de reprendre le fil de son propos.
« Ça a été un événement qui a évidemment été très difficile à accepter. Mais ça m’a donné cette distance, je crois, dans mon tennis, dans mes objectifs, dans ce que je voulais faire. Voilà, c’était comme ça, c’est la vie. C’était ma vie et mon parcours », a-t-elle confié, ajoutant : « Je me disais "Ah oui, la vie, c’est autre chose." J’arrivais dans un tournoi, ça ne prenait plus l’importance que ça pouvait prendre. Je parlais de jeu et plus d’enjeu. Pour moi, le but, c’était de me concentrer sur le jeu. »
« J’avais la chance de vraiment jouer sur un court, c’était mon ADN, ma marque de fabrique. Je jouais vraiment, j’essayais de jouer avec l’adversaire pour la sortir de sa zone, a-t-elle poursuivi. Du coup, j’ai réussi de plus en plus souvent après ça à être dans le jeu et à faire abstraction de l’enjeu qu’il pouvait y avoir. Toutes mes plus grandes réussites sont arrivées après mars 2004, après le décès de mon père. »
De son propre aveu, Amélie Mauresmo ne s’y attendait pas. En pleine tournée médiatique alors que Roland-Garros vient tout juste de débuter, tout du moins les qualifications, la directrice du tournoi parisien était face à Mouloud Achour, ce mardi. Et le présentateur de Clique ne s’est pas contenté d’évoquer la carrière de l’ancienne joueuse, s’arrêtant notamment sur une déclaration au sujet de son accession à la place de numéro une mondiale, en 2004, concomitante avec la disparition de son père, emporté par un cancer.
« J'aimerais qu'on parle d'une de vos déclarations qui m'a interpellé. Vous avez dit 'Mon père est mort en mars 2004, je suis devenue numéro un mondial en septembre 2004, ce n'est pas anodin' », a-t-il ainsi lancé face à Amélie Mauresmo, faisant craquer la Basque d’adoption.
https://x.com/sports_fr/status/1922223194431214020
« Je ne m’attendais pas à celle-là… », a-t-elle soufflé, la voix brisée, tentant néanmoins d’enchaîner : « Je voyais tout autrement après…» Mais l’émotion était trop grande et Amélie Mauresmo n’a pu retenir ses larmes, en étant quitte pour faire une pause avant de reprendre le fil de son propos.
Amélie Mauresmo a su faire abstraction de l'enjeu après le décès de son père
« Ça a été un événement qui a évidemment été très difficile à accepter. Mais ça m’a donné cette distance, je crois, dans mon tennis, dans mes objectifs, dans ce que je voulais faire. Voilà, c’était comme ça, c’est la vie. C’était ma vie et mon parcours », a-t-elle confié, ajoutant : « Je me disais "Ah oui, la vie, c’est autre chose." J’arrivais dans un tournoi, ça ne prenait plus l’importance que ça pouvait prendre. Je parlais de jeu et plus d’enjeu. Pour moi, le but, c’était de me concentrer sur le jeu. »
« J’avais la chance de vraiment jouer sur un court, c’était mon ADN, ma marque de fabrique. Je jouais vraiment, j’essayais de jouer avec l’adversaire pour la sortir de sa zone, a-t-elle poursuivi. Du coup, j’ai réussi de plus en plus souvent après ça à être dans le jeu et à faire abstraction de l’enjeu qu’il pouvait y avoir. Toutes mes plus grandes réussites sont arrivées après mars 2004, après le décès de mon père. »
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