Qui est le célèbre père de Loïs Boisson ?
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La révélation de ces Internationaux de France 2025, Loïs Boisson, n’est pas la première grande sportive de sa famille.
Et dire qu’il s’agit de son premier Roland-Garros… En ces temps bien moroses pour le tennis tricolore, Loïs Boisson incarne ce petit coin de ciel bleu qui fait du bien et donne le sourire au public parisien de la Porte d’Auteuil. Ce mercredi, la révélation de 22 ans, dernière rescapée de ces Internationaux de France parmi les locaux de l’étape, joue son premier quart de finale de Grand Chelem contre la Russe Mirra Andreeva, numéro 6 mondiale. Déjà une victoire en soi.
L’actuelle 361e joueuse au classement WTA revient de loin – d’une sérieuse blessure à un genou qui lui a pourri sa saison passée et l’a empêchée d’éclore plus tôt au plus haut niveau. Mais elle ne vient pas de nulle part pour autant. Bon sang ne saurait mentir en effet: Loïs Boisson a de qui tenir puisque son père, Yann, n’est pas franchement un inconnu dans le sport français.
https://x.com/sports_fr/status/1929572519721201915
Ancien basketteur passé par l’ASVEL, la JDA Dijon et le Tours BC notamment, Yann Boisson, un temps reconverti en agent de joueurs, s’est surtout illustré dans sa carrière en tant que manager général de la fameuse Jeanne d’Arc dijonnaise, entre 1995 et 2008. Cela avant de devenir directeur administratif à l'AS Monaco basket, de 2014 à 2020. Avec l’ascension que l’on sait pour la Roca Team.
Aujourd’hui en retrait des parquets, l’intéressé suit avec fierté le parcours de sa fille sur l’ocre parisienne. Tout en restant des plus discrets. Présent lors du succès de Loïs sur sa compatriote Elsa Jacquemot au stade du troisième tour, Yann Boisson devrait être de la partie ce mercredi pour le quart de finale tant attendu.
Quoi qu’il arrive, sa protégée a déjà tout gagné dans cette quinzaine des Internationaux de France. Outre un beau prize-money d’ores et déjà assuré (440 000 euros pour les quarts de finalistes ; 690 000 euros pour les demi-finalistes), Loïs Boisson peut désormais viser plus haut avec une place garantie dans les 120 premières joueuses mondiales dès lundi prochain. Un changement de statut qui promet de lui ouvrir de nouvelles portes. Pour une progression toujours plus spectaculaire vers le haut du panier.
Et dire qu’il s’agit de son premier Roland-Garros… En ces temps bien moroses pour le tennis tricolore, Loïs Boisson incarne ce petit coin de ciel bleu qui fait du bien et donne le sourire au public parisien de la Porte d’Auteuil. Ce mercredi, la révélation de 22 ans, dernière rescapée de ces Internationaux de France parmi les locaux de l’étape, joue son premier quart de finale de Grand Chelem contre la Russe Mirra Andreeva, numéro 6 mondiale. Déjà une victoire en soi.
L’actuelle 361e joueuse au classement WTA revient de loin – d’une sérieuse blessure à un genou qui lui a pourri sa saison passée et l’a empêchée d’éclore plus tôt au plus haut niveau. Mais elle ne vient pas de nulle part pour autant. Bon sang ne saurait mentir en effet: Loïs Boisson a de qui tenir puisque son père, Yann, n’est pas franchement un inconnu dans le sport français.
https://x.com/sports_fr/status/1929572519721201915
Ancien basketteur passé par l’ASVEL, la JDA Dijon et le Tours BC notamment, Yann Boisson, un temps reconverti en agent de joueurs, s’est surtout illustré dans sa carrière en tant que manager général de la fameuse Jeanne d’Arc dijonnaise, entre 1995 et 2008. Cela avant de devenir directeur administratif à l'AS Monaco basket, de 2014 à 2020. Avec l’ascension que l’on sait pour la Roca Team.
Loïs Boisson s’est fait un prénom
Aujourd’hui en retrait des parquets, l’intéressé suit avec fierté le parcours de sa fille sur l’ocre parisienne. Tout en restant des plus discrets. Présent lors du succès de Loïs sur sa compatriote Elsa Jacquemot au stade du troisième tour, Yann Boisson devrait être de la partie ce mercredi pour le quart de finale tant attendu.
Quoi qu’il arrive, sa protégée a déjà tout gagné dans cette quinzaine des Internationaux de France. Outre un beau prize-money d’ores et déjà assuré (440 000 euros pour les quarts de finalistes ; 690 000 euros pour les demi-finalistes), Loïs Boisson peut désormais viser plus haut avec une place garantie dans les 120 premières joueuses mondiales dès lundi prochain. Un changement de statut qui promet de lui ouvrir de nouvelles portes. Pour une progression toujours plus spectaculaire vers le haut du panier.
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