Matches truqués, les sanctions tombent !
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Depuis que l’Agence Internationale pour l’Intégrité du Tennis (ITIA) a décidé de prendre à bras le corps le dossier des matchs truqués dans le tennis, les sanctions pleuvent. Tout récemment, trois nouveaux joueurs sont venus s'ajouter à la liste des suspendus.
Qu'on se le dise : l’Agence Internationale pour l’Intégrité du Tennis (ITIA) a décidé de ne faire aucun cadeau sur le terrain des matches truqués, aux parieurs comme aux joueurs. Le fléau gangrène chaque jour un peu plus le circuit professionnel ainsi que les stades de tennis du monde entier.
Cette semaine encore à Madrid, les tribunes s'étaient remplies de parieurs n'ayant qu'une seule idée en tête : profiter d'un éventuel décalage entre l'annonce de l'arbitre depuis sa chaise et l'actualisation des scores sur les panneaux officiels pour devancer cette mise à jour en question et se remplir les poches autant que possible.
Le plus grave est que ces pseudo-spectateurs avides d'argent et tout sauf intéressés par le spectacle sur le court ou l'enjeu sportif dès lors qu'ils ne peuvent rien leur rapporter ne sont pas les seuls à jouer avec le feu et à figurer dans l’œil du cyclone. Certains joueurs sont eux aussi directement visés par l'ITIA, qui en a d'ailleurs déjà pris plusieurs dans ses filets. Tout récemment encore, trois nouveaux contrevenants : la Roumaine Alexandra Iordache, le Thaïlandais Anapat Timangkul et le Chinois Wang Chukang ont fait les frais de cette traque de plus en plus acerbe de l'instance.
Les trois ont été reconnus coupables d'avoir arrangé des matches. Timangkul, qui ne retrouvera pas les courts avant juillet 2028 et devra s'acquitter d'une amende de 30 000 dollars, décroche la palme, avec cinq matchs arrangés. Iordache en a arrangé un seul (elle l'a même admis). La Roumaine n'a pas échappé pour autant à une suspension de deux ans ainsi qu'une amende de 15 000 dollars.
Wang Chukang aura moins longtemps à attendre avant de pouvoir reprendre la compétition. Le Chinois a écopé de huit mois de suspension et de 1 500 dollars d'amende pour avoir truqué un match. Il y a quelques semaines, plusieurs joueurs français avaient fait à leur tour les frais de l'intransigeance de l'ITIA. Pour avoir arrangé 22 matches entre 2017 et 2018 (dont seize à son profit), Yannik Thivant ainsi même été banni à vie de toute manifestation professionnelle de tennis.
Qu'on se le dise : l’Agence Internationale pour l’Intégrité du Tennis (ITIA) a décidé de ne faire aucun cadeau sur le terrain des matches truqués, aux parieurs comme aux joueurs. Le fléau gangrène chaque jour un peu plus le circuit professionnel ainsi que les stades de tennis du monde entier.
Cette semaine encore à Madrid, les tribunes s'étaient remplies de parieurs n'ayant qu'une seule idée en tête : profiter d'un éventuel décalage entre l'annonce de l'arbitre depuis sa chaise et l'actualisation des scores sur les panneaux officiels pour devancer cette mise à jour en question et se remplir les poches autant que possible.
Le plus grave est que ces pseudo-spectateurs avides d'argent et tout sauf intéressés par le spectacle sur le court ou l'enjeu sportif dès lors qu'ils ne peuvent rien leur rapporter ne sont pas les seuls à jouer avec le feu et à figurer dans l’œil du cyclone. Certains joueurs sont eux aussi directement visés par l'ITIA, qui en a d'ailleurs déjà pris plusieurs dans ses filets. Tout récemment encore, trois nouveaux contrevenants : la Roumaine Alexandra Iordache, le Thaïlandais Anapat Timangkul et le Chinois Wang Chukang ont fait les frais de cette traque de plus en plus acerbe de l'instance.
Un Français avait été banni à vie pour avoir arrangé 22 matches !
Les trois ont été reconnus coupables d'avoir arrangé des matches. Timangkul, qui ne retrouvera pas les courts avant juillet 2028 et devra s'acquitter d'une amende de 30 000 dollars, décroche la palme, avec cinq matchs arrangés. Iordache en a arrangé un seul (elle l'a même admis). La Roumaine n'a pas échappé pour autant à une suspension de deux ans ainsi qu'une amende de 15 000 dollars.
Wang Chukang aura moins longtemps à attendre avant de pouvoir reprendre la compétition. Le Chinois a écopé de huit mois de suspension et de 1 500 dollars d'amende pour avoir truqué un match. Il y a quelques semaines, plusieurs joueurs français avaient fait à leur tour les frais de l'intransigeance de l'ITIA. Pour avoir arrangé 22 matches entre 2017 et 2018 (dont seize à son profit), Yannik Thivant ainsi même été banni à vie de toute manifestation professionnelle de tennis.
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