Loïs Boisson, un joli chèque malgré son élimination précoce
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Eliminée dès le premier tour des qualifications de Wimbledon, cette semaine, Loïs Boisson n’aura pas fait le déplacement pour rien.
Brutal retour sur terre pour Loïs Boisson. Alors qu’elle avait enflammé le public parisien durant la quinzaine de Roland-Garros, atteignant les demi-finales du tournoi malgré sa 351e place mondiale avant de buter sur la future lauréate Coco Gauff, la native de Dijon ne verre pas le tableau principal de Wimbledon.
Privée de wild-card par les organisateurs, la Française a dû disputer les qualifications du Grand Chelem londonien. Un immense défi car elle n’avait encore jamais joué de match officiel sur gazon. Et son aventure a malheureusement pris fin dès son entrée en lice contre la Canadienne Carson Branstine, 197e au classement WTA.
https://x.com/sports_fr/status/1937569067189055731
Une défaite en trois sets (6-2, 6-7, 6-4) qui sera sans conséquence sur son nombre de points puisqu’elle n’avait pas participé au Majeur anglais l’an dernier. Une maigre consolation pour Loïs Boisson, qui n’aura toutefois pas traversé la Manche pour rien. Malgré son élimination précoce, elle touchera effectivement un joli chèque.
Si le prize-money de Wimbledon prévoit de récompenser les deux vainqueurs masculin et féminin d’un chèque de 3,52 millions d’euros, il est aussi généreux avec les premiers déçus. Alors qu’un accès au premier tour lui aurait permis de toucher 77 500 euros, la n°1 tricolore percevra tout de même 18 000 euros.
Cette somme aurait presque doublé en cas de victoire contre Carson Branstine (30 500 euros) et atteint la barre des 49 000 euros au troisième tour des qualifications. Ce n’est évidemment en rien comparable à ce que Loïs Boisson avait reçu à Roland-Garros, où sa place dans le dernier carré lui avait valu de gagner 690 000 euros.
https://x.com/sports_fr/status/1938190908161155162
Brutal retour sur terre pour Loïs Boisson. Alors qu’elle avait enflammé le public parisien durant la quinzaine de Roland-Garros, atteignant les demi-finales du tournoi malgré sa 351e place mondiale avant de buter sur la future lauréate Coco Gauff, la native de Dijon ne verre pas le tableau principal de Wimbledon.
Privée de wild-card par les organisateurs, la Française a dû disputer les qualifications du Grand Chelem londonien. Un immense défi car elle n’avait encore jamais joué de match officiel sur gazon. Et son aventure a malheureusement pris fin dès son entrée en lice contre la Canadienne Carson Branstine, 197e au classement WTA.
https://x.com/sports_fr/status/1937569067189055731
Une défaite en trois sets (6-2, 6-7, 6-4) qui sera sans conséquence sur son nombre de points puisqu’elle n’avait pas participé au Majeur anglais l’an dernier. Une maigre consolation pour Loïs Boisson, qui n’aura toutefois pas traversé la Manche pour rien. Malgré son élimination précoce, elle touchera effectivement un joli chèque.
Loïs Boisson se console avec un beau chèque
Si le prize-money de Wimbledon prévoit de récompenser les deux vainqueurs masculin et féminin d’un chèque de 3,52 millions d’euros, il est aussi généreux avec les premiers déçus. Alors qu’un accès au premier tour lui aurait permis de toucher 77 500 euros, la n°1 tricolore percevra tout de même 18 000 euros.
Cette somme aurait presque doublé en cas de victoire contre Carson Branstine (30 500 euros) et atteint la barre des 49 000 euros au troisième tour des qualifications. Ce n’est évidemment en rien comparable à ce que Loïs Boisson avait reçu à Roland-Garros, où sa place dans le dernier carré lui avait valu de gagner 690 000 euros.
https://x.com/sports_fr/status/1938190908161155162
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