Henri Leconte, la terrible maladie

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Dernier joueur français à avoir joué une finale à Roland-Garros, Henri Leconte est tombé gravement malade lors d’un tournoi en Irlande.
Henri Leconte a tout connu ou presque autour de sa carrière. S’il a disputé la finale à Roland-Garros en 1988, remporté la Coupe Davis en 1991 et monté jusqu’au cinquième rang mondial en 1986, le natif du Pas-de-Calais a également connu de nombreux bas, entre blessures physiques ou morales.
Dans son libre Balles neuves paru fin octobre, l’ancien joueur a ainsi raconté avoir contracté une méningite fulgurante alors qu’il participait à un tournoi à Dublin. « J’ai été pris de vomissements avec un mal de tête insupportable », avait-il raconté au Figaro, ajoutant avoir craint le pire: « Tu commences à signer les papiers, tu te dis que tu vas mourir. »
« On m’a dit on va faire un scanner, on va quand même vérifier car il y a quelque chose qui n’est pas normal, avait-il poursuivi. On revient et on me dit: ‘M. Leconte, il est fort probable que vous ayez une tumeur au cerveau’. Bah magnifique… Heureusement que j’étais un peu dans les vapes »
Et à l’en croire, s’il a survécu, c’est essentiellement en raison de son statut de « sportif de haut niveau ». Pour autant, il assure ne plus avoir été « le même homme après avoir traversé une telle expérience ». Car Henri Leconte affirme avoir vécu une expérience de mort imminente. Après s’être enfoncé dans un tunnel, il a vu deux mains, une de chaque côté, la première lui implorant de se battre, la deuxième de venir vers la lumière.
Henri Leconte en a longtemps gardé des séquelles. « Résultats, trois semaines d'hospitalisation et une perte totale de l'équilibre. Pendant six mois, j'étais en rééducation complète . Il m'a même fallu réapprendre à marcher », a-t-il ainsi raconté au site luxembourgeois Virgule.
Henri Leconte a tout connu ou presque autour de sa carrière. S’il a disputé la finale à Roland-Garros en 1988, remporté la Coupe Davis en 1991 et monté jusqu’au cinquième rang mondial en 1986, le natif du Pas-de-Calais a également connu de nombreux bas, entre blessures physiques ou morales.
Dans son libre Balles neuves paru fin octobre, l’ancien joueur a ainsi raconté avoir contracté une méningite fulgurante alors qu’il participait à un tournoi à Dublin. « J’ai été pris de vomissements avec un mal de tête insupportable », avait-il raconté au Figaro, ajoutant avoir craint le pire: « Tu commences à signer les papiers, tu te dis que tu vas mourir. »
« On m’a dit on va faire un scanner, on va quand même vérifier car il y a quelque chose qui n’est pas normal, avait-il poursuivi. On revient et on me dit: ‘M. Leconte, il est fort probable que vous ayez une tumeur au cerveau’. Bah magnifique… Heureusement que j’étais un peu dans les vapes »
Henri Leconte a mis six mois à s'en remettre
Et à l’en croire, s’il a survécu, c’est essentiellement en raison de son statut de « sportif de haut niveau ». Pour autant, il assure ne plus avoir été « le même homme après avoir traversé une telle expérience ». Car Henri Leconte affirme avoir vécu une expérience de mort imminente. Après s’être enfoncé dans un tunnel, il a vu deux mains, une de chaque côté, la première lui implorant de se battre, la deuxième de venir vers la lumière.
Henri Leconte en a longtemps gardé des séquelles. « Résultats, trois semaines d'hospitalisation et une perte totale de l'équilibre. Pendant six mois, j'étais en rééducation complète . Il m'a même fallu réapprendre à marcher », a-t-il ainsi raconté au site luxembourgeois Virgule.
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