Dopage: Les lourdes accusations de Djokovic contre Sinner

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Novak Djokovic a tenu des propos forts concernant l'affaire de dopage de l’Italien Jannik Sinner, qui a effectué son retour de suspension juste avant Roland-Garros.
C’est une affaire qui a fait beaucoup de bruit. A la suite d’un contrôle positif au clostebol, un stéroïde interdit, lors du tournoi d’Indian Wells en mars 2024, Jannik Sinner a été suspendu pendant trois mois (du 9 février au 4 mai dernier) par l’Agence mondiale antidopage (WADA). D'après l’enquête de l’ITIA (l’Agence de l’intégrité du tennis), la contamination était accidentelle car liée à une crème utilisée par son kinésithérapeute, relevant donc que le numéro un mondial n’avait pas l’intention de tricher.
Blanchi dans un premier temps, Jannik Sinner a finalement négocié une suspension de trois mois après un appel de la WADA. L’Italien de 23 ans a ainsi pu reprendre la compétition en mai dernier, juste à temps pour participer à cette édition 2025 de Roland-Garros, où il s’est incliné en finale face à Carlos Alcaraz au terme d’un match de légende (4-6, 6-7, 6-4, 7-6, 7-6).
https://x.com/sports_fr/status/1932037956560163275
Lorsque cette affaire de dopage avait éclaté, des voix s’étaient élevées chez les joueurs de tennis pour dénoncer la clémence dont Jannik Sinner avait fait l’objet. C’était le cas de Novak Djokovic, qui n’avait pas mâché ses mots en début d’année.
« Beaucoup pensent qu'il y a du favoritisme. On a presque l'impression qu'on peut influencer le verdict quand on est un joueur de haut niveau, avec accès aux meilleurs avocats », avait fustigé le Serbe, qui s’est incliné en demi-finales du Grand Chelem parisien face au Transalpin.
Cette suspension de trois mois avait été considérée comme courte par rapport à d'autres cas similaires dans le passé, a l’instar de Simona Halep ou Tara Moore, qui ont été suspendues plusieurs années. « Il y a tellement d'incohérence entre les cas, ça ne peut plus durer, avait pesté Djokovic. Certaines joueuses moins connues ont été suspendues longtemps sans que leur cas soit traité équitablement. »
C’est une affaire qui a fait beaucoup de bruit. A la suite d’un contrôle positif au clostebol, un stéroïde interdit, lors du tournoi d’Indian Wells en mars 2024, Jannik Sinner a été suspendu pendant trois mois (du 9 février au 4 mai dernier) par l’Agence mondiale antidopage (WADA). D'après l’enquête de l’ITIA (l’Agence de l’intégrité du tennis), la contamination était accidentelle car liée à une crème utilisée par son kinésithérapeute, relevant donc que le numéro un mondial n’avait pas l’intention de tricher.
Blanchi dans un premier temps, Jannik Sinner a finalement négocié une suspension de trois mois après un appel de la WADA. L’Italien de 23 ans a ainsi pu reprendre la compétition en mai dernier, juste à temps pour participer à cette édition 2025 de Roland-Garros, où il s’est incliné en finale face à Carlos Alcaraz au terme d’un match de légende (4-6, 6-7, 6-4, 7-6, 7-6).
https://x.com/sports_fr/status/1932037956560163275
Lorsque cette affaire de dopage avait éclaté, des voix s’étaient élevées chez les joueurs de tennis pour dénoncer la clémence dont Jannik Sinner avait fait l’objet. C’était le cas de Novak Djokovic, qui n’avait pas mâché ses mots en début d’année.
Djokovic sur Sinner: « Beaucoup pensent qu'il y a du favoritisme »
« Beaucoup pensent qu'il y a du favoritisme. On a presque l'impression qu'on peut influencer le verdict quand on est un joueur de haut niveau, avec accès aux meilleurs avocats », avait fustigé le Serbe, qui s’est incliné en demi-finales du Grand Chelem parisien face au Transalpin.
Cette suspension de trois mois avait été considérée comme courte par rapport à d'autres cas similaires dans le passé, a l’instar de Simona Halep ou Tara Moore, qui ont été suspendues plusieurs années. « Il y a tellement d'incohérence entre les cas, ça ne peut plus durer, avait pesté Djokovic. Certaines joueuses moins connues ont été suspendues longtemps sans que leur cas soit traité équitablement. »
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