Djokovic-Herbert, Marion Bartoli provoque une vive polémique aux commentaires !
Publié le , mis à jour le
Préposée à l’affiche entre Novak Djokovic et Pierre-Hugue Herbert, mardi soir, Marion Bartoli a évoqué de façon maladroite la maladie du jeune fils du joueur tricolore.
Il n’y a pas eu de miracle pour Pierre-Hugues Herbert, mardi, au premier tour de Roland-Garros. Comme attendu, le Français a eu beau tenter de résister, il en a été quitte pour une défaite en trois sets face à Novak Djokovic, en quête de son 25e titre du Grand Chelem. Profitant de l’apathie de son adversaire, l’Alsacien est toutefois parvenu à pousser le numéro un mondial au tie-break dans le deuxième set.
Novak Djokovic n’a pas brillé, confirmant sa petite forme des dernières semaines, mais sa performance moyenne, mardi, pourrait également avoir une étonnante explication. C’est en tout cas le sentiment de Marion Bartoli. « Je crois que Novak a entendu parler de la maladie du fils de Pierre-Hugues. Il y a peut-être du respect, un petit peu, je ne vais pas dire de pudeur, mais en tout cas ne pas trop en faire non plus », a-t-elle ainsi lancé au micro de Prime Vidéo.
L’explication de l’ancienne vainqueur de Wimbledon n’a guère convaincu et a au contraire suscité de nombreuses réactions, les téléspectateurs voyant dans ces mots un regrettable manque de respect.
En souffrance depuis plusieurs mois, Pierre-Hugues Herbert a expliqué au cours du week-end avoir dû composer avec la grave maladie de son jeune fils, qui a dû être hospitalisé en raison d'une maladie génétique rare. « C'est sûr qu'on est libéré d'un poids dans la famille, ces sept derniers mois ont été un vrai combat et on a vécu l'émotion la plus forte de notre vie quand on a su que notre fils était guéri», a-t-il confié, insistant sur les conséquences de cette épreuve sur sa vie de sportif : « Forcément déjà avoir un enfant, ça permet d'avoir du recul, mais après ce qu'on a vécu, on voit les choses différemment et on se rend compte que le tennis ce n'est pas la chose la plus importante.»
Il n’y a pas eu de miracle pour Pierre-Hugues Herbert, mardi, au premier tour de Roland-Garros. Comme attendu, le Français a eu beau tenter de résister, il en a été quitte pour une défaite en trois sets face à Novak Djokovic, en quête de son 25e titre du Grand Chelem. Profitant de l’apathie de son adversaire, l’Alsacien est toutefois parvenu à pousser le numéro un mondial au tie-break dans le deuxième set.
Novak Djokovic n’a pas brillé, confirmant sa petite forme des dernières semaines, mais sa performance moyenne, mardi, pourrait également avoir une étonnante explication. C’est en tout cas le sentiment de Marion Bartoli. « Je crois que Novak a entendu parler de la maladie du fils de Pierre-Hugues. Il y a peut-être du respect, un petit peu, je ne vais pas dire de pudeur, mais en tout cas ne pas trop en faire non plus », a-t-elle ainsi lancé au micro de Prime Vidéo.
La maladresse de Marion Bartoli
L’explication de l’ancienne vainqueur de Wimbledon n’a guère convaincu et a au contraire suscité de nombreuses réactions, les téléspectateurs voyant dans ces mots un regrettable manque de respect.
Archi irrespectueux ce que la commentatrice Prime a dit sur le fils d'Herbert imo
— Pretty Flacko. (@iceteapapi) May 28, 2024
Elle raconte quoi la commentatrice la ???
— Rwuanito 🤵🏻♂️🇮🇹 (@Rwuanito) May 28, 2024
En mode la maladie du fils de Herbert influe djoko ? #rolandgarros
Cv pas hein
En souffrance depuis plusieurs mois, Pierre-Hugues Herbert a expliqué au cours du week-end avoir dû composer avec la grave maladie de son jeune fils, qui a dû être hospitalisé en raison d'une maladie génétique rare. « C'est sûr qu'on est libéré d'un poids dans la famille, ces sept derniers mois ont été un vrai combat et on a vécu l'émotion la plus forte de notre vie quand on a su que notre fils était guéri», a-t-il confié, insistant sur les conséquences de cette épreuve sur sa vie de sportif : « Forcément déjà avoir un enfant, ça permet d'avoir du recul, mais après ce qu'on a vécu, on voit les choses différemment et on se rend compte que le tennis ce n'est pas la chose la plus importante.»
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