Arthur Fils, des retrouvailles qui font peur

Publié le , mis à jour le
Tombeur de Frances Tiafoe lundi pour se hisser ainsi en huitièmes de finale du Masters 1 000 de Miami, Arthur Fils retrouvera un Alexander Zverev qu'il connaît bien pour l'avoir notamment battu en finale à Hambourg la saison dernière. Le Français sait toutefois qu'il devra réaliser le match parfait pour pouvoir signer un nouvel exploit face à l'Allemand, numéro 2 mondial.
Comme on se retrouve. Un peu moins d'un an après avoir fait mordre la poussière à Alexander Zverev sur la terre battue d'Hambourg en finale pour s'offrir ainsi son plus beau titre sur le circuit à ce jour avec ses succès à Lyon, Anvers et Tokyo, Arthur Fils se frottera de nouveau au géant allemand, en huitièmes de finale du Masters 1 000 de Miami, où le jeune Français de 20 ans a poursuivi sa route lundi en écartant de sa route l'Américain Frances Tiafoe, qui le devance actuellement au classement.
Même si le 18eme mondial et compatriote de l'éternel Gaël Monfils, toujours en course lui aussi en Floride à 38 ans, a prouvé en Allemagne en mai dernier qu'il détenait les clés pour battre le numéro 2 mondial, il a surtout conscience qu'il devra de nouveau évoluer à son meilleur niveau face à cet adversaire qui mène 3-1 face à lui sur l'ensemble des confrontations et qui avait pris sa revanche d'Hambourg en fin d'année dernière en l'emportant en trois sets sur le court central de l'Accor Arena.
"Pour gagner ce match, il faut que je fasse une copie presque parfaite. Après, on se connaît, on s'est joué trois fois l'année dernière. Je sais à quoi m'attendre, il sait à quoi s'attendre aussi. Je vais essayer de me battre jusqu'au bout et on va voir", analysait Fils en conférence de presse (propos relayés par L'Equipe) après avoir passé l'obstacle Tiafoe.
L'ancien protégé de Sébastien Grosjean désormais uniquement entraîné par le Croate Ivan Cinkus redoute notamment à l'aube de ce premier duel sur dur extérieur les talents de serveur de l'immense favori du tournoi en l'absence de Jannik Sinner. Mais pas uniquement. "C'est le n°2 mondial, le meilleur joueur du moment forcément. Il va falloir que je m'emploie. C'est un très bon serveur, il joue très bien du fond du cour." S'il refait le coup d'Hambourg, le Francilien aura une très belle carte à jouer en quarts, contre le Tchèque Machac ou son compatriote Mensik.
Comme on se retrouve. Un peu moins d'un an après avoir fait mordre la poussière à Alexander Zverev sur la terre battue d'Hambourg en finale pour s'offrir ainsi son plus beau titre sur le circuit à ce jour avec ses succès à Lyon, Anvers et Tokyo, Arthur Fils se frottera de nouveau au géant allemand, en huitièmes de finale du Masters 1 000 de Miami, où le jeune Français de 20 ans a poursuivi sa route lundi en écartant de sa route l'Américain Frances Tiafoe, qui le devance actuellement au classement.
Même si le 18eme mondial et compatriote de l'éternel Gaël Monfils, toujours en course lui aussi en Floride à 38 ans, a prouvé en Allemagne en mai dernier qu'il détenait les clés pour battre le numéro 2 mondial, il a surtout conscience qu'il devra de nouveau évoluer à son meilleur niveau face à cet adversaire qui mène 3-1 face à lui sur l'ensemble des confrontations et qui avait pris sa revanche d'Hambourg en fin d'année dernière en l'emportant en trois sets sur le court central de l'Accor Arena.
Fils se méfie sur service de Zverev
"Pour gagner ce match, il faut que je fasse une copie presque parfaite. Après, on se connaît, on s'est joué trois fois l'année dernière. Je sais à quoi m'attendre, il sait à quoi s'attendre aussi. Je vais essayer de me battre jusqu'au bout et on va voir", analysait Fils en conférence de presse (propos relayés par L'Equipe) après avoir passé l'obstacle Tiafoe.
L'ancien protégé de Sébastien Grosjean désormais uniquement entraîné par le Croate Ivan Cinkus redoute notamment à l'aube de ce premier duel sur dur extérieur les talents de serveur de l'immense favori du tournoi en l'absence de Jannik Sinner. Mais pas uniquement. "C'est le n°2 mondial, le meilleur joueur du moment forcément. Il va falloir que je m'emploie. C'est un très bon serveur, il joue très bien du fond du cour." S'il refait le coup d'Hambourg, le Francilien aura une très belle carte à jouer en quarts, contre le Tchèque Machac ou son compatriote Mensik.
Publicité