Alizé Cornet repense déjà à la retraite !
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Balayée lundi au 1er tour du tournoi de Strasbourg, Alizé Cornet, sortie de sa retraite au bout d'un an, assure qu'elle va très vite se retirer du circuit de nouveau. Mais cette fois définitivement. Assez étonnamment, la Niçoise se dit même pressée d'arrêter.
"J'ai hâte d'arrêter de nouveau". Pour une joueuse qui vient tout juste de sortir de sa retraite, pareille déclaration a tout de paradoxal. C'est pourtant bien l'état d'esprit qui habite Alizé Cornet alors qu'elle vient à peine de retrouver le circuit. Après la gifle reçue au premier tour face à Marie Bouzkova mardi (6-2, 6-1), la Niçoise s'est montré très claire sur le sujet : si elle a souhaité reprendre sa carrière, ce n'est pas dans le but de s'éterniser sur le circuit, mais uniquement pour regoûter au plaisir de jouer ("J’ai eu envie d’essayer pour avoir une relation un peu moins toxique avec le tennis. Je voulais trouver du plaisir dans la bagarre avec moins de pression., et surtout, pour finir sur une bonne note. Elle devrait donc très vite disparaître de nouveau, à l'entendre, mais cette fois définitivement. "Ce qui m’avait manqué, c’est la compétition, les émotions, toutes ces choses qui m’ont fait vibrer pendant vingt ans. Je ne suis pas revenue parce que je m’ennuyais. Au contraire, j’ai hâte d’arrêter de nouveau !", confie dans L'Equipe l'ex-numéro 11 mondiale, qui avoue par ailleurs qu'elle ne redoute plus ce quotidien loin des courts, elle qui l'a connue pendant un an.
"Quelque chose me contrariait dans le fait d’arrêter sur cette note un peu négative. Mais la vie sans tennis, elle est exceptionnelle. Déjà j’ai du temps, ce qui est un luxe. Et j’ai la possibilité de travailler d’une autre manière, de laisser exprimer une autre part de ma personnalité. L’après-carrière ne me fait plus peur." D'autant que celle qui a refusé de retrouver Roland-Garros comme joueuse en revanche regorge de projets. "Des challenges, j’en ai pas mal avec l’écriture, puisque je suis en train de finir mon troisième roman." Et d'écrivaine, elle pourrait même se glisser un jour dans le survêtement de capitaine des Bleues. "Peut-être qu’à l’avenir, j’aimerais être capitaine de BJK Cup. Ça fait dix ans que je le dis, donc ce n'est pas un secret !".
"J'ai hâte d'arrêter de nouveau". Pour une joueuse qui vient tout juste de sortir de sa retraite, pareille déclaration a tout de paradoxal. C'est pourtant bien l'état d'esprit qui habite Alizé Cornet alors qu'elle vient à peine de retrouver le circuit. Après la gifle reçue au premier tour face à Marie Bouzkova mardi (6-2, 6-1), la Niçoise s'est montré très claire sur le sujet : si elle a souhaité reprendre sa carrière, ce n'est pas dans le but de s'éterniser sur le circuit, mais uniquement pour regoûter au plaisir de jouer ("J’ai eu envie d’essayer pour avoir une relation un peu moins toxique avec le tennis. Je voulais trouver du plaisir dans la bagarre avec moins de pression., et surtout, pour finir sur une bonne note. Elle devrait donc très vite disparaître de nouveau, à l'entendre, mais cette fois définitivement. "Ce qui m’avait manqué, c’est la compétition, les émotions, toutes ces choses qui m’ont fait vibrer pendant vingt ans. Je ne suis pas revenue parce que je m’ennuyais. Au contraire, j’ai hâte d’arrêter de nouveau !", confie dans L'Equipe l'ex-numéro 11 mondiale, qui avoue par ailleurs qu'elle ne redoute plus ce quotidien loin des courts, elle qui l'a connue pendant un an.
Cornet : "J'aimerais être capitaine de BJK Cup"
"Quelque chose me contrariait dans le fait d’arrêter sur cette note un peu négative. Mais la vie sans tennis, elle est exceptionnelle. Déjà j’ai du temps, ce qui est un luxe. Et j’ai la possibilité de travailler d’une autre manière, de laisser exprimer une autre part de ma personnalité. L’après-carrière ne me fait plus peur." D'autant que celle qui a refusé de retrouver Roland-Garros comme joueuse en revanche regorge de projets. "Des challenges, j’en ai pas mal avec l’écriture, puisque je suis en train de finir mon troisième roman." Et d'écrivaine, elle pourrait même se glisser un jour dans le survêtement de capitaine des Bleues. "Peut-être qu’à l’avenir, j’aimerais être capitaine de BJK Cup. Ça fait dix ans que je le dis, donc ce n'est pas un secret !".
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