Alcaraz vainqueur sans briller
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Carlos Alcaraz s’est qualifié pour les huitièmes de finale de Roland-Garros grâce à un succès en quatre manches sur Damir Dzumhur dans le cadre de la session de soirée.
Carlos Alcaraz poursuit la défense de son titre à Roland-Garros. Après avoir lâché un set face à Fabian Marozsan au 2eme tour, l’Espagnol a fait de même face à Damir Dzumhur à l’occasion de la session de soirée sur le Court Philippe-Chatrier. Une rencontre que le numéro 2 mondial a démarré par une petite frayeur, ayant deux balles de break à sauver dès le premier jeu. Un faux-départ qu’il a immédiatement su effacer avant de prendre le contrôle des opérations.
En effet, si le Bosnien a alors pu tenir son service, son compteur n’a plus été en mesure de bouger. Convertissant deux de ses trois balles de break, Carlos Alcaraz a fait un cavalier seul avec le gain de cinq jeux consécutifs lui offrant la première manche dès que l’occasion de conclure s’est présentée. Le deuxième set a démarré sur des bases semblables. Ainsi, Damir Dzumhur a été le premier à se montrer agressif au retour mais la réussite l’a fui au moment de jouer une balle de break. Dans la foulée, la tête de série numéro 2 a dû s’y reprendre à trois fois pour prendre le service du 69eme au classement ATP et mener deux jeux à un.
Un avantage qui aurait pu être réduit à néant si Damir Dzumhur avait été plus tranchant sur son occasion de débreaker. Carlos Alcaraz a alors déroulé, scellant le sort de cette deuxième manche sur l’engagement de son adversaire. La troisième a encore une fois vu le Bosnien mettre en difficulté l’Espagnol pour obtenir deux balles de break qu’il n’a pas été en capacité de conclure.
Un début de set qui a alors vu le service médical du tournoi intervenir auprès du 69eme mondial en raison d’un souci apparent au niveau de a cuisse droite. Une alerte qui n’a visiblement pas inquiété Damir Dzumhur, qui a repris sa marche en avant. Le septième jeu lui a alors permis d’évacuer la frustration de toutes ces balles de break manquées. En effet, il est parvenu à prendre le service de Carlos Alcaraz avant de résister face à la charge du numéro 2 mondial. La fin de ce set l’a vu obtenir six balles de débreak sans en convertir une seule. Le Bosnien, quant à lui, a réduit l’écart à la deuxième balle de set. Dans la foulée, il a surpris le public parisien en démarrant la quatrième manche en prenant à nouveau le service du tenant du titre puis en effaçant trois opportunités de débreak.
Après avoir accusé le coup, Carlos Alcaraz a su hausser son niveau de jeu pour prendre deux fois consécutivement le service de son adversaire pour mener cinq jeux à trois et servir pour le gain du match. Sauf qu’il n’a pas eu l’occasion de conclure sur son engagement. Profitant d’un trou d’air, Damir Dzumhur a effacé ce service de retard et continué de croire à un exploit. Le retour à la réalité a été dur car l’Espagnol a une nouvelle fois accéléré pour breaker et sceller le sort de cette rencontre à la deuxième balle de match (6-1, 6-3, 4-6, 6-4 en 3h12’). Un succès qui lui permet de rejoindre Ben Shelton en huitièmes de finale mais qui n’efface pas tous les doutes l’accompagnant.
Carlos Alcaraz poursuit la défense de son titre à Roland-Garros. Après avoir lâché un set face à Fabian Marozsan au 2eme tour, l’Espagnol a fait de même face à Damir Dzumhur à l’occasion de la session de soirée sur le Court Philippe-Chatrier. Une rencontre que le numéro 2 mondial a démarré par une petite frayeur, ayant deux balles de break à sauver dès le premier jeu. Un faux-départ qu’il a immédiatement su effacer avant de prendre le contrôle des opérations.
En effet, si le Bosnien a alors pu tenir son service, son compteur n’a plus été en mesure de bouger. Convertissant deux de ses trois balles de break, Carlos Alcaraz a fait un cavalier seul avec le gain de cinq jeux consécutifs lui offrant la première manche dès que l’occasion de conclure s’est présentée. Le deuxième set a démarré sur des bases semblables. Ainsi, Damir Dzumhur a été le premier à se montrer agressif au retour mais la réussite l’a fui au moment de jouer une balle de break. Dans la foulée, la tête de série numéro 2 a dû s’y reprendre à trois fois pour prendre le service du 69eme au classement ATP et mener deux jeux à un.
Un avantage qui aurait pu être réduit à néant si Damir Dzumhur avait été plus tranchant sur son occasion de débreaker. Carlos Alcaraz a alors déroulé, scellant le sort de cette deuxième manche sur l’engagement de son adversaire. La troisième a encore une fois vu le Bosnien mettre en difficulté l’Espagnol pour obtenir deux balles de break qu’il n’a pas été en capacité de conclure.
Alcaraz chahuté mais victorieux
Un début de set qui a alors vu le service médical du tournoi intervenir auprès du 69eme mondial en raison d’un souci apparent au niveau de a cuisse droite. Une alerte qui n’a visiblement pas inquiété Damir Dzumhur, qui a repris sa marche en avant. Le septième jeu lui a alors permis d’évacuer la frustration de toutes ces balles de break manquées. En effet, il est parvenu à prendre le service de Carlos Alcaraz avant de résister face à la charge du numéro 2 mondial. La fin de ce set l’a vu obtenir six balles de débreak sans en convertir une seule. Le Bosnien, quant à lui, a réduit l’écart à la deuxième balle de set. Dans la foulée, il a surpris le public parisien en démarrant la quatrième manche en prenant à nouveau le service du tenant du titre puis en effaçant trois opportunités de débreak.
Après avoir accusé le coup, Carlos Alcaraz a su hausser son niveau de jeu pour prendre deux fois consécutivement le service de son adversaire pour mener cinq jeux à trois et servir pour le gain du match. Sauf qu’il n’a pas eu l’occasion de conclure sur son engagement. Profitant d’un trou d’air, Damir Dzumhur a effacé ce service de retard et continué de croire à un exploit. Le retour à la réalité a été dur car l’Espagnol a une nouvelle fois accéléré pour breaker et sceller le sort de cette rencontre à la deuxième balle de match (6-1, 6-3, 4-6, 6-4 en 3h12’). Un succès qui lui permet de rejoindre Ben Shelton en huitièmes de finale mais qui n’efface pas tous les doutes l’accompagnant.
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