UBB-Northampton, les nouvelles lourdes accusations

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Mis en cause à l’issue de la finale de Champions Cup entre l’UBB et Northampton, Jefferson Poirot a donné sa version des incidents survenus après le coup de sifflet final.
Jefferson Poirot a vécu la plus belle émotion de sa carrière, le 24 mai dernier. Débarqué à l’UBB en 2012, l’international aux 36 sélections a en effet vu le club bordelais décrocher le premier trophée de sa carrière en dominant Northampton 28-20.
Le pilier girondin a néanmoins vu sa soirée ternie par un incident survenu au coup de sifflet final. Le natif du Val d’Oise a en effet été au cœur d’une échauffourée avec Henri Pollock et en a été quitte pour une suspension de deux semaines infligée par l’EPCR.
https://x.com/sports_fr/status/1929569199237558569
« Poirot est soupçonné d'avoir commis un acte contraire à l'esprit sportif envers le troisième-ligne centre des Saints, Henry Pollock, juste après le coup de sifflet final, en infraction à la Règle 9.27. Il est soupçonné d'avoir serré la gorge de Henry Pollock d'une façon dangereuse et susceptible de lui causer une blessure grave », avait fait savoir l’instance dans un communiqué au lendemain du match.
Muet depuis la finale, Jefferson Poirot a profité de son passage sur le plateau de la chaîne TV7 pour rétablir la vérité sur cet incident. « Je suis entré sur le terrain en sprintant pour célébrer la victoire, et j’ai vu Matthieu (Jalibert) accroché par deux joueurs, et ce fameux Henry Pollock, courageux comme il est, venir le pousser », a-t-il confié. C’est pour ça que j’ai décidé d’intervenir. »
Récemment, Hanry Pollock avait fustigé l’attitude du Français. « C’est dingue, le mec vient de remporter la Coupe des champions et le premier truc qu’il fait, c’est de courir vers un mec de vingt ans pour l’étrangler », avait-il confié. Des propos qui n’ont visiblement pas plu à l’intéressé.
« Ce n’est pas l’image que je me faisais d’un Lion (NDLR : Pollock sera de la tournée des Lions britanniques et irlandais en Australie cet été), on verra cet été, a-t-il lancé. J’avoue que tout le pataquès que ça a fait… je ne pensais pas que ça ferait tout ça. Ça m’a beaucoup fait rire, tout ce que j’ai pu voir ou lire, tous ceux qui se sont répandus dans la presse. »
Jefferson Poirot a vécu la plus belle émotion de sa carrière, le 24 mai dernier. Débarqué à l’UBB en 2012, l’international aux 36 sélections a en effet vu le club bordelais décrocher le premier trophée de sa carrière en dominant Northampton 28-20.
Le pilier girondin a néanmoins vu sa soirée ternie par un incident survenu au coup de sifflet final. Le natif du Val d’Oise a en effet été au cœur d’une échauffourée avec Henri Pollock et en a été quitte pour une suspension de deux semaines infligée par l’EPCR.
https://x.com/sports_fr/status/1929569199237558569
« Poirot est soupçonné d'avoir commis un acte contraire à l'esprit sportif envers le troisième-ligne centre des Saints, Henry Pollock, juste après le coup de sifflet final, en infraction à la Règle 9.27. Il est soupçonné d'avoir serré la gorge de Henry Pollock d'une façon dangereuse et susceptible de lui causer une blessure grave », avait fait savoir l’instance dans un communiqué au lendemain du match.
Jefferson Poirot tacle Henry Pollock
Muet depuis la finale, Jefferson Poirot a profité de son passage sur le plateau de la chaîne TV7 pour rétablir la vérité sur cet incident. « Je suis entré sur le terrain en sprintant pour célébrer la victoire, et j’ai vu Matthieu (Jalibert) accroché par deux joueurs, et ce fameux Henry Pollock, courageux comme il est, venir le pousser », a-t-il confié. C’est pour ça que j’ai décidé d’intervenir. »
Récemment, Hanry Pollock avait fustigé l’attitude du Français. « C’est dingue, le mec vient de remporter la Coupe des champions et le premier truc qu’il fait, c’est de courir vers un mec de vingt ans pour l’étrangler », avait-il confié. Des propos qui n’ont visiblement pas plu à l’intéressé.
« Ce n’est pas l’image que je me faisais d’un Lion (NDLR : Pollock sera de la tournée des Lions britanniques et irlandais en Australie cet été), on verra cet été, a-t-il lancé. J’avoue que tout le pataquès que ça a fait… je ne pensais pas que ça ferait tout ça. Ça m’a beaucoup fait rire, tout ce que j’ai pu voir ou lire, tous ceux qui se sont répandus dans la presse. »
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