Toulouse sans pitié
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Face à une équipe de Toulon plombée par son indiscipline, qui a valu à Baptiste Serin un carton rouge avant la pause, Toulouse a signé un très large succès sur la pelouse de Marseille (16-50) qui lui permet de se rapprocher d’une qualification directe pour les demi-finales du Top 14.
Toulouse s’est montré sans aucune pitié. Une semaine après la défaite subie en demi-finales de la Champions Cup face à Bordeaux-Bègles, les champions de France en titre ont passé leurs nerfs sur une équipe de Toulon qui a tendu le bâton pour se faire battre. En effet, avant même la fin des dix premières minutes, Esteban Abadie s’est mis à la faute et a écopé d’un carton jaune. Sur l’action suivante, les joueurs d’Ugo Mola ont maintenu la pression sur le rideau défensif toulonnais, provoquant une erreur de Baptiste Serin.
Ecroulant le ballon porté, le demi de mêlée du RCT a écopé d’un carton jaune alors que l’arbitre a accordé un essai de pénalité aux Toulousains. A treize contre quinze, les Varois n’ont pas baissé la tête et une faute au sol a offert à Marius Domon l’opportunité de débloquer le compteur des siens sur pénalité avant le quart d’heure de jeu. Ce qu’il a réussi sans trembler. Sauf que la défense du RCT n’a pas tenu le choc en infériorité numérique.
Dans la foulée, Mathis Castro-Ferreira a conclu en force un beau mouvement toulousain pour donner de l’air aux siens. Alors que Marius Domon a passé une deuxième pénalité pour Toulon, Romain Ntamack a été contraint de sortir pour un protocole commotion au milieu du premier acte après alerte venant de son protège-dents connecté. Sauf que le numéro 10 international n’a pas retrouvé la pelouse de l’Orange Vélodrome pour la suite de la rencontre, remplacé par Paul Graou. A un quart d’heure de la pause, c’est Paul Costes qui a brillé par son indiscipline, laissant les siens à quatorze pour dix minutes après un plaquage dangereux sur Baptiste Serin.
A un de plus, Toulon a poussé pour se relancer et ces efforts n’ont pas été vains. Après une touche toulousaine manquée, le ballon est arrivé jusqu’à Brian Alainu’uese, qui est allé aplatir le premier essai varois du match, transformé par Marius Domon. L’écart d’un point a tenu jusqu’à la pause mais, peu avant le retour aux vestiaires, Baptiste Serin a commis l’irréparable.
Une faute cynique alors qu’il était au sol lui a valu un deuxième carton jaune, synonyme de carton rouge. A quatorze pour toute la deuxième période, le RCT devait se préparer à souffrir mais il a surtout craqué. Après une reprise calme liée aux différents changements, Santiago Chocobares a lancé la dernière demi-heure avec le troisième essai de Toulouse. Une troisième pénalité signée Marius Domon a permis à Toulon de faire illusion mais les 20 dernières minutes ont tourné au cauchemar pour les protégés de Pierre Mignoni.
C’est un véritable festival offensif que les Toulousains ont offert au public marseillais avec cinq essais supplémentaires. Naoto Saito a donné le ton avant d’être imité par Paul Costes, Mathis Lebel, Pierre-Louis Barassi puis Paul Graou, qui a scellé le sort du match à deux minutes de la sirène. Sans capacité de réaction, Toulon s’incline dans ce match délocalisé (16-50) et pourrait voir les places qualificatives directement pour les demi-finales s’envoler. Avec cette victoire, Toulouse conforte un peu plus sa place de leader et fait un pas de plus vers le dernier carré du Top 14.
Toulouse s’est montré sans aucune pitié. Une semaine après la défaite subie en demi-finales de la Champions Cup face à Bordeaux-Bègles, les champions de France en titre ont passé leurs nerfs sur une équipe de Toulon qui a tendu le bâton pour se faire battre. En effet, avant même la fin des dix premières minutes, Esteban Abadie s’est mis à la faute et a écopé d’un carton jaune. Sur l’action suivante, les joueurs d’Ugo Mola ont maintenu la pression sur le rideau défensif toulonnais, provoquant une erreur de Baptiste Serin.
Ecroulant le ballon porté, le demi de mêlée du RCT a écopé d’un carton jaune alors que l’arbitre a accordé un essai de pénalité aux Toulousains. A treize contre quinze, les Varois n’ont pas baissé la tête et une faute au sol a offert à Marius Domon l’opportunité de débloquer le compteur des siens sur pénalité avant le quart d’heure de jeu. Ce qu’il a réussi sans trembler. Sauf que la défense du RCT n’a pas tenu le choc en infériorité numérique.
Serin, la faute de trop
Dans la foulée, Mathis Castro-Ferreira a conclu en force un beau mouvement toulousain pour donner de l’air aux siens. Alors que Marius Domon a passé une deuxième pénalité pour Toulon, Romain Ntamack a été contraint de sortir pour un protocole commotion au milieu du premier acte après alerte venant de son protège-dents connecté. Sauf que le numéro 10 international n’a pas retrouvé la pelouse de l’Orange Vélodrome pour la suite de la rencontre, remplacé par Paul Graou. A un quart d’heure de la pause, c’est Paul Costes qui a brillé par son indiscipline, laissant les siens à quatorze pour dix minutes après un plaquage dangereux sur Baptiste Serin.
A un de plus, Toulon a poussé pour se relancer et ces efforts n’ont pas été vains. Après une touche toulousaine manquée, le ballon est arrivé jusqu’à Brian Alainu’uese, qui est allé aplatir le premier essai varois du match, transformé par Marius Domon. L’écart d’un point a tenu jusqu’à la pause mais, peu avant le retour aux vestiaires, Baptiste Serin a commis l’irréparable.
Toulouse n’a fait qu’une bouchée de Toulon
Une faute cynique alors qu’il était au sol lui a valu un deuxième carton jaune, synonyme de carton rouge. A quatorze pour toute la deuxième période, le RCT devait se préparer à souffrir mais il a surtout craqué. Après une reprise calme liée aux différents changements, Santiago Chocobares a lancé la dernière demi-heure avec le troisième essai de Toulouse. Une troisième pénalité signée Marius Domon a permis à Toulon de faire illusion mais les 20 dernières minutes ont tourné au cauchemar pour les protégés de Pierre Mignoni.
C’est un véritable festival offensif que les Toulousains ont offert au public marseillais avec cinq essais supplémentaires. Naoto Saito a donné le ton avant d’être imité par Paul Costes, Mathis Lebel, Pierre-Louis Barassi puis Paul Graou, qui a scellé le sort du match à deux minutes de la sirène. Sans capacité de réaction, Toulon s’incline dans ce match délocalisé (16-50) et pourrait voir les places qualificatives directement pour les demi-finales s’envoler. Avec cette victoire, Toulouse conforte un peu plus sa place de leader et fait un pas de plus vers le dernier carré du Top 14.
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