Toulouse en patron

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Le Stade Toulousain s'est imposé à Jean Bouin (21-27) et conforte sa place de leader du Top 14. Le Stade Français reste 12e va devoir batailler jusqu'au bout pour sauver sa peau.
Le choc entre les deux Stades a tourné en faveur du leader toulousain. Mal embarqué dans cette saison, le Stade Français a réagi, trop tard et s'est incliné de six points (21-27), aux portes du bonus défensif. Un résultat regrettable au vu du match en demi-teinte livré par les Parisiens. Après sa victoire en Champions Cup sur la pelouse du RCT, le Stade Toulousain confirme encore à l'extérieur. La joie du capitaine Mauvaka, papa il y a quelques jours, a montré toute l'envie du Stade Toulousain de s'imposer dans une enceinte qui lui fait défaut depuis 2018. « Je suis fier du groupe », a conclu Mauvaka au micro de Canal+, qui conserve la tête devant l'UBB.
L'heure était grave à Paris avant le début du match. Après le match, le constat reste le même. Toulouse a entamé fort, mais le Stade Français a totalement manqué son début de match. Un travail de Brennan dès la 2e minute permettait aux visiteurs d'inscrire le premier essai par Banos. Transformé par Mallia (0-7), Toulouse annonçait déjà la couleur. Une pénalité de Mallia (0-10, 9e) suite au carton jaune de Briatte permettait de creuser un peu l'écart.
Le Stade Toulousain s'installait définitivement dans le camps parisien en profitant des erreurs à répétition de leur adversaire. Barré se troue totalement et laisse Costes débouler sur le côté pour récupérer le cuir et inscrire déjà le deuxième essai du match (0-17, 13e). Entame parfaite côté toulousain, le Stade Français coule, mais tente de réagir.
« On rentre pas dans le match, on fait trop d'erreur pour ramener la victoire. On est conscient qu'il faudra mettre les ingrédients contre le Racing, travailler dans l'ombre et réagir. » Le discours de Charles Laloi à la fin de la rencontre étaient bien réaliste. Malgré une seconde partie de première mi-temps dominée par le Stade Français, le retard était conséquent. Certes, Paris a profité du carton jaune de Chocobares (21e) pour inscrire deux essais par Carbonel (5-17, 24e) et Briatte (12-17, 32e).
Un troisième essai inscrit par Macalou aurait pu changer le scénario de la seconde période, mais le bras de Vergé était bien présent (35e). Le troisième ligne parisien était bien récompensé en fin de match (19-27, 77e), mais Toulouse était encore dominateur. Mallia avait remis son équipe sur une avance confortable. Une pénalité, puis un essai bien senti après la passe au pied de Saito (14-27, 63e).
Le choc entre les deux Stades a tourné en faveur du leader toulousain. Mal embarqué dans cette saison, le Stade Français a réagi, trop tard et s'est incliné de six points (21-27), aux portes du bonus défensif. Un résultat regrettable au vu du match en demi-teinte livré par les Parisiens. Après sa victoire en Champions Cup sur la pelouse du RCT, le Stade Toulousain confirme encore à l'extérieur. La joie du capitaine Mauvaka, papa il y a quelques jours, a montré toute l'envie du Stade Toulousain de s'imposer dans une enceinte qui lui fait défaut depuis 2018. « Je suis fier du groupe », a conclu Mauvaka au micro de Canal+, qui conserve la tête devant l'UBB.
L'heure était grave à Paris avant le début du match. Après le match, le constat reste le même. Toulouse a entamé fort, mais le Stade Français a totalement manqué son début de match. Un travail de Brennan dès la 2e minute permettait aux visiteurs d'inscrire le premier essai par Banos. Transformé par Mallia (0-7), Toulouse annonçait déjà la couleur. Une pénalité de Mallia (0-10, 9e) suite au carton jaune de Briatte permettait de creuser un peu l'écart.
Le Stade Toulousain s'installait définitivement dans le camps parisien en profitant des erreurs à répétition de leur adversaire. Barré se troue totalement et laisse Costes débouler sur le côté pour récupérer le cuir et inscrire déjà le deuxième essai du match (0-17, 13e). Entame parfaite côté toulousain, le Stade Français coule, mais tente de réagir.
Même remanié, Toulouse impose sa loi
« On rentre pas dans le match, on fait trop d'erreur pour ramener la victoire. On est conscient qu'il faudra mettre les ingrédients contre le Racing, travailler dans l'ombre et réagir. » Le discours de Charles Laloi à la fin de la rencontre étaient bien réaliste. Malgré une seconde partie de première mi-temps dominée par le Stade Français, le retard était conséquent. Certes, Paris a profité du carton jaune de Chocobares (21e) pour inscrire deux essais par Carbonel (5-17, 24e) et Briatte (12-17, 32e).
Un troisième essai inscrit par Macalou aurait pu changer le scénario de la seconde période, mais le bras de Vergé était bien présent (35e). Le troisième ligne parisien était bien récompensé en fin de match (19-27, 77e), mais Toulouse était encore dominateur. Mallia avait remis son équipe sur une avance confortable. Une pénalité, puis un essai bien senti après la passe au pied de Saito (14-27, 63e).
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