Marti: "On ne rivalise pas encore avec les Toulousains"

Publié le
Dans les colonnes de L'Equipe, Laurent Marti, président de Bordeaux-Bègles, a parlé de Toulouse, que son club affronte, ce dimanche, en demi-finales de la Champions Cup.
Les deux meilleurs clubs français de cette saison 2024-2025 de rugby ont rendez-vous ce dimanche. En effet, à partir de 16h00, l'Union Bordeaux-Bègles accueille le Stade Toulousain, dans le cadre des demi-finales de la Champions Cup. En attendant, Laurent Marti, le président de l'UBB, s'est penché sur le futur adversaire de ses petits protégés, ce samedi, à l'occasion d'une interview accordée au quotidien sportif français L'Equipe.
Un club qui est, selon le dirigeant, le meilleur du monde : "Il n'y a pas d'autre effectif supérieur au leur. Je crois même que c'est une équipe qui jouerait la victoire dans le Tournoi des Six Nations. C'est un peu le Real Madrid mais qui forme ses joueurs. Ils savent recruter mais aussi former." Cette saison, au classement du Top 14, les deux équipes se suivent. Le Stade Toulousain est leader avec 79 points. Dix longueurs derrière, on retrouve son dauphin Bordeaux-Bègles.
Pourtant, selon Laurent Marti, cela ne veut pas pour autant dire que les deux clubs sont actuellement sur un pied d'égalité : "On ne rivalise pas encore avec les Toulousains. Eux gagnent, nous non. Pour moi, le vrai rival, celui qui a gagné des titres et qui a inquiété fortement le Stade Toulousain, ce n'est pas l'Union Bordeaux-Bègles mais le Stade Rochelais. Nous, l'UBB, on est le nouvel outsider qui se rapproche du meilleur et qui a réussi à aller en finale contre lui l'année dernière mais qui en a pris 59 (59-3 en finale du Top 14 à Marseille le 28 juin). Ç'a été terrible. On l'a vécu comme un affront et même une humiliation. Le score a été excessivement lourd. Mais, dans le vestiaire, j'ai dit aux gars qu'il n'y avait pas un tel écart entre les deux équipes, qu'il fallait tourner la page et travailler pour revenir plus forts et meilleurs. Et c'est ce qui s'est passé jusqu'à aujourd'hui. Mais je l'ai déjà dit, pour moi gagner un titre, c'est plus qu'un objectif. C'est une obsession."
Les deux meilleurs clubs français de cette saison 2024-2025 de rugby ont rendez-vous ce dimanche. En effet, à partir de 16h00, l'Union Bordeaux-Bègles accueille le Stade Toulousain, dans le cadre des demi-finales de la Champions Cup. En attendant, Laurent Marti, le président de l'UBB, s'est penché sur le futur adversaire de ses petits protégés, ce samedi, à l'occasion d'une interview accordée au quotidien sportif français L'Equipe.
Un club qui est, selon le dirigeant, le meilleur du monde : "Il n'y a pas d'autre effectif supérieur au leur. Je crois même que c'est une équipe qui jouerait la victoire dans le Tournoi des Six Nations. C'est un peu le Real Madrid mais qui forme ses joueurs. Ils savent recruter mais aussi former." Cette saison, au classement du Top 14, les deux équipes se suivent. Le Stade Toulousain est leader avec 79 points. Dix longueurs derrière, on retrouve son dauphin Bordeaux-Bègles.
Marti : "On est le nouvel outsider"
Pourtant, selon Laurent Marti, cela ne veut pas pour autant dire que les deux clubs sont actuellement sur un pied d'égalité : "On ne rivalise pas encore avec les Toulousains. Eux gagnent, nous non. Pour moi, le vrai rival, celui qui a gagné des titres et qui a inquiété fortement le Stade Toulousain, ce n'est pas l'Union Bordeaux-Bègles mais le Stade Rochelais. Nous, l'UBB, on est le nouvel outsider qui se rapproche du meilleur et qui a réussi à aller en finale contre lui l'année dernière mais qui en a pris 59 (59-3 en finale du Top 14 à Marseille le 28 juin). Ç'a été terrible. On l'a vécu comme un affront et même une humiliation. Le score a été excessivement lourd. Mais, dans le vestiaire, j'ai dit aux gars qu'il n'y avait pas un tel écart entre les deux équipes, qu'il fallait tourner la page et travailler pour revenir plus forts et meilleurs. Et c'est ce qui s'est passé jusqu'à aujourd'hui. Mais je l'ai déjà dit, pour moi gagner un titre, c'est plus qu'un objectif. C'est une obsession."
Publicité