Louis Bielle-BIarrey, les très lourdes accusations contre l’UBB

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La titularisation attendue de Louis Bielle-Biarrey, samedi, face au Stade Toulousain malgré ses difficultés à se remettre d’une commotion cérébrale a suscité de très vives réactions.
Son absence, samedi, sur la pelouse du Stade de France semblait acquise. Insuffisamment remis de la commotion cérébrale subie lors du dernier match de la saison régulière, Louis Bielle-Biarrey paraissait devoir manquer la finale du Top14 face au Stade Toulousain.
« Je ne suis pas encore totalement remis, donc je récupère tranquillement. Je suis encore un peu juste, mais sinon ça va. Je suis un peu fatigué. Je mets un peu plus de temps que prévu pour récupérer de la commotion », avait lui-même confié l’intéressé en marge de la demi-finale face à Toulon tandis que son entourage expliquait que cela allait « être compliqué, voire très compliqué ».
Et le staff technique était sur la même ligne, affirmant ne pas vouloir prendre le moindre risque. « Je le trouve blême. Il ne dégage pas un état de forme optimal. Louis a énormément donné depuis deux ans. Il vient de fêter ses 22 ans, on lui demande beaucoup. Les chocs qu’il reçoit, ce ne sont pas ceux que reçoivent Cyril Cazeaux ou Marko Gazzotti. Ça va être compliqué », avait ainsi expliqué Yannick Bru.
Pourtant, LBB sera bien sur la pelouse du Stade de France pour affronter Toulouse, samedi soir. L’ailier girondin serait en effet de nouveau à 100%. Après avoir montré de nets progrès, mardi, et passé tous les tests demandés, il a en effet pu s’entraîner normalement, mercredi, lors de la séance effectuée à haute intensité. Suffisant aux yeux du staff girondin…
Mais pour de nombreux observateurs, cette décision est purement scandaleuse. En témoigne le billet d’humeur publié dans les colonnes du Figaro par le journaliste David Reyrat, pour qui « l’UBB envoie un très mauvais signal sur la santé des joueurs. »
« Benoîtement, on pensait que son cas était réglé. Principe de précaution. Pas de finale. Jamais on n’avait imaginé que le staff de l’UBB puisse bluffer avec la santé de l’un de ses joueurs. Car on ne parle pas là d’une entorse plus ou moins vite soignée ou d’une douleur aux côtes. Non, il s’agit d’une commotion cérébrale. L’ennemi juré des rugbymen. Une atteinte à l’intégrité physique, un mal tapi dans le cerveau dont on commence seulement à mesurer les conséquences que cela peut engendrer des années plus tard », a-t-il écrit, évoquant « un goût amer en bouche » après l’annonce de son rétablissement.
Son absence, samedi, sur la pelouse du Stade de France semblait acquise. Insuffisamment remis de la commotion cérébrale subie lors du dernier match de la saison régulière, Louis Bielle-Biarrey paraissait devoir manquer la finale du Top14 face au Stade Toulousain.
« Je ne suis pas encore totalement remis, donc je récupère tranquillement. Je suis encore un peu juste, mais sinon ça va. Je suis un peu fatigué. Je mets un peu plus de temps que prévu pour récupérer de la commotion », avait lui-même confié l’intéressé en marge de la demi-finale face à Toulon tandis que son entourage expliquait que cela allait « être compliqué, voire très compliqué ».
Et le staff technique était sur la même ligne, affirmant ne pas vouloir prendre le moindre risque. « Je le trouve blême. Il ne dégage pas un état de forme optimal. Louis a énormément donné depuis deux ans. Il vient de fêter ses 22 ans, on lui demande beaucoup. Les chocs qu’il reçoit, ce ne sont pas ceux que reçoivent Cyril Cazeaux ou Marko Gazzotti. Ça va être compliqué », avait ainsi expliqué Yannick Bru.
Pourtant, LBB sera bien sur la pelouse du Stade de France pour affronter Toulouse, samedi soir. L’ailier girondin serait en effet de nouveau à 100%. Après avoir montré de nets progrès, mardi, et passé tous les tests demandés, il a en effet pu s’entraîner normalement, mercredi, lors de la séance effectuée à haute intensité. Suffisant aux yeux du staff girondin…
"L’UBB envoie un très mauvais signal"
Mais pour de nombreux observateurs, cette décision est purement scandaleuse. En témoigne le billet d’humeur publié dans les colonnes du Figaro par le journaliste David Reyrat, pour qui « l’UBB envoie un très mauvais signal sur la santé des joueurs. »
« Benoîtement, on pensait que son cas était réglé. Principe de précaution. Pas de finale. Jamais on n’avait imaginé que le staff de l’UBB puisse bluffer avec la santé de l’un de ses joueurs. Car on ne parle pas là d’une entorse plus ou moins vite soignée ou d’une douleur aux côtes. Non, il s’agit d’une commotion cérébrale. L’ennemi juré des rugbymen. Une atteinte à l’intégrité physique, un mal tapi dans le cerveau dont on commence seulement à mesurer les conséquences que cela peut engendrer des années plus tard », a-t-il écrit, évoquant « un goût amer en bouche » après l’annonce de son rétablissement.
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