Louis Bielle-Biarrey, les lourdes accusations contre Fabien Galthié !
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Le forfait de Louis Bielle-Biarrey pour la demi-finale face à Toulon passe mal à Bordeaux, où le président comme l’entraîneur ont pointé du doit son temps de jeu en équipe de France.
L’UBB a enregistré une très mauvaise nouvelle à l’approche de sa demi-finale de Top 14 face à Toulon, samedi. Si Maxime Lucu et Romain Buros, sur le flanc depuis la finale de Champions Cup face à Northampton, devraient être opérationnels pour le choc face au RCT, Louis Bielle-Biarrey manquera en revanche à l’appel. Conséquence du gros plaquage subi dans les dernières minutes du match face à Vannes, le 7 juin dernier.
Secoué par la charge du Fidjien Filipo Nakosi, LBB n’a toujours pas retrouvé l’intégralité de ses moyens physiques et est trop juste pour prétendre à une demi-finale de Top 14.Son passage devant le médecin indépendant chargé de lui faire passer le protocole HIA3 suite au choc n’aurait pas été concluant et le principe de précaution l’a emporté. Au grand dam des hommes forts de l’UBB, qui n’ont pas hésité à fustiger son temps de jeu avec l’équipe de France cette saison.
https://x.com/sports_fr/status/1935042201391714579
« On perd un des meilleurs joueurs de l’année toutes compétitions confondues et une pièce maîtresse de l’UBB. Louis est notre meilleur marqueur d’essais et notre facteur X qui a décanté pas mal de situations. C’est aussi peut-être la conséquence d’un temps de jeu élevé en club et en équipe de France, avec qui il a absolument tout joué », a ainsi confié Laurent Marti, le président bordelais dans les colonnes de L’Equipe.
Et le son de cloche était le même dans la bouche de Yannick Bru, lundi, au moment d’évoquer le cas Bielle-Biarrey. « Il ne faut pas oublier que c’est un joueur qui va avoir 22 ans et qui, depuis deux ans, accumule inlassablement des minutes et des minutes de jeu, et des succès personnels. Il faut être raisonnable avec lui , a-t-il lancé. On sait que ce n’est pas un robot et que depuis un moment, il est surexposé. »
« Nous à l’UBB, on essaie de le protéger, a-t-il poursuivi, laissant clairement entendre que ce n’était pas le cas partout, et donc en équipe de France. On lui laisse le temps de repos dont il a besoin et chaque fois qu’on peut le mettre au repos, on le fait. Ce n’est pas simple avec Louis en ce moment et à un moment, il faudra se poser la question du repos qu’on lui donne. Car on estime que le nombre de minutes qu’il a joué cette année et le nombre de chocs qu’il reçoit sont plus impactants que pour d’autres. »
L’UBB a enregistré une très mauvaise nouvelle à l’approche de sa demi-finale de Top 14 face à Toulon, samedi. Si Maxime Lucu et Romain Buros, sur le flanc depuis la finale de Champions Cup face à Northampton, devraient être opérationnels pour le choc face au RCT, Louis Bielle-Biarrey manquera en revanche à l’appel. Conséquence du gros plaquage subi dans les dernières minutes du match face à Vannes, le 7 juin dernier.
Secoué par la charge du Fidjien Filipo Nakosi, LBB n’a toujours pas retrouvé l’intégralité de ses moyens physiques et est trop juste pour prétendre à une demi-finale de Top 14.Son passage devant le médecin indépendant chargé de lui faire passer le protocole HIA3 suite au choc n’aurait pas été concluant et le principe de précaution l’a emporté. Au grand dam des hommes forts de l’UBB, qui n’ont pas hésité à fustiger son temps de jeu avec l’équipe de France cette saison.
https://x.com/sports_fr/status/1935042201391714579
« On perd un des meilleurs joueurs de l’année toutes compétitions confondues et une pièce maîtresse de l’UBB. Louis est notre meilleur marqueur d’essais et notre facteur X qui a décanté pas mal de situations. C’est aussi peut-être la conséquence d’un temps de jeu élevé en club et en équipe de France, avec qui il a absolument tout joué », a ainsi confié Laurent Marti, le président bordelais dans les colonnes de L’Equipe.
"Il faudra se poser la question du repos qu’on lui donne"
Et le son de cloche était le même dans la bouche de Yannick Bru, lundi, au moment d’évoquer le cas Bielle-Biarrey. « Il ne faut pas oublier que c’est un joueur qui va avoir 22 ans et qui, depuis deux ans, accumule inlassablement des minutes et des minutes de jeu, et des succès personnels. Il faut être raisonnable avec lui , a-t-il lancé. On sait que ce n’est pas un robot et que depuis un moment, il est surexposé. »
« Nous à l’UBB, on essaie de le protéger, a-t-il poursuivi, laissant clairement entendre que ce n’était pas le cas partout, et donc en équipe de France. On lui laisse le temps de repos dont il a besoin et chaque fois qu’on peut le mettre au repos, on le fait. Ce n’est pas simple avec Louis en ce moment et à un moment, il faudra se poser la question du repos qu’on lui donne. Car on estime que le nombre de minutes qu’il a joué cette année et le nombre de chocs qu’il reçoit sont plus impactants que pour d’autres. »
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