Le Stade Français garde le cap malgré la défaite

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Englué dans une spirale négative, le Stade Français s’est encore incliné samedi face à Perpignan, un concurrent direct pour le maintien. Malgré tout, les Soldats roses ne veulent pas s'autoflageller.
Le suspense était déjà irrespirable samedi, il promet de l’être au centuple le 7 juin prochain, date de la 26ème et dernière journée de Top 14. Surtout pour le Stade Français, englué dans une lutte à trois pour sa survie en première division. En plus du club parisien, on retrouve Perpignan et le RC Vannes dans ce petit groupe. Et la tension va monter au fur et à mesure de l’avancée du calendrier.
Samedi après-mdi, les Soldats roses ont perdu un match ô combien important dans son objectif maintien, qui plus est face à l’USAP, un adversaire direct (20-18). Dans l’enfer d’Aimé-Giral, le vent a un temps tourné en faveur des Franciliens avant d’être, au sens propre comme au figuré, contre le Stade Français.
Zack Henry a même eu la pénalité de la victoire mais les conditions climatiques catalanes ont ruiné le coup de pied du demi d’ouverture. Lui qui affichait près de 90% de réussite cette saison a cette fois laissé filer 8 points au pied qui pèsent lourd au tableau d’affichage.
Les Soldats roses étaient forcément abattus au terme de la partie. C’était d’ailleurs la quatrième défaite de suite après les revers contre Montpellier, Toulouse et le Racing 92. Malgré tout, le staff a refusé de voir le verre à moitié vide. « On est toujours dans cette zone rouge, on le sait, a affirmé Parra dans des propos repris par Le Parisien. Rien ne change, c’est une urgence tous les week-ends. Mais on va travailler pour bien aborder la réception de Lyon. On sait que ce sera un match particulier, contre une équipe qui vient de perdre chez elle et bien sûr avec le retour de Karim (Ghezal). »
Avec deux réceptions à venir (Lyon donc et Castres) et un déplacement à Clermont, le Stade Français peut encore passer devant l’USAP qui défiera lui Clermont, La Rochelle et Toulouse. Le club parisien peut également remercier le Maritime Antoine Hastoy, auteur du drop de la victoire sur le gong face au RC Vannes (29-30). Sans cela, le « SF » serait dernier du classement. Pour rappel, le promu lui jouera Bayonne, Pau et Bordeaux Bègles.
Le suspense était déjà irrespirable samedi, il promet de l’être au centuple le 7 juin prochain, date de la 26ème et dernière journée de Top 14. Surtout pour le Stade Français, englué dans une lutte à trois pour sa survie en première division. En plus du club parisien, on retrouve Perpignan et le RC Vannes dans ce petit groupe. Et la tension va monter au fur et à mesure de l’avancée du calendrier.
Samedi après-mdi, les Soldats roses ont perdu un match ô combien important dans son objectif maintien, qui plus est face à l’USAP, un adversaire direct (20-18). Dans l’enfer d’Aimé-Giral, le vent a un temps tourné en faveur des Franciliens avant d’être, au sens propre comme au figuré, contre le Stade Français.
Zack Henry a même eu la pénalité de la victoire mais les conditions climatiques catalanes ont ruiné le coup de pied du demi d’ouverture. Lui qui affichait près de 90% de réussite cette saison a cette fois laissé filer 8 points au pied qui pèsent lourd au tableau d’affichage.
Quatre défaites de suite
Les Soldats roses étaient forcément abattus au terme de la partie. C’était d’ailleurs la quatrième défaite de suite après les revers contre Montpellier, Toulouse et le Racing 92. Malgré tout, le staff a refusé de voir le verre à moitié vide. « On est toujours dans cette zone rouge, on le sait, a affirmé Parra dans des propos repris par Le Parisien. Rien ne change, c’est une urgence tous les week-ends. Mais on va travailler pour bien aborder la réception de Lyon. On sait que ce sera un match particulier, contre une équipe qui vient de perdre chez elle et bien sûr avec le retour de Karim (Ghezal). »
Avec deux réceptions à venir (Lyon donc et Castres) et un déplacement à Clermont, le Stade Français peut encore passer devant l’USAP qui défiera lui Clermont, La Rochelle et Toulouse. Le club parisien peut également remercier le Maritime Antoine Hastoy, auteur du drop de la victoire sur le gong face au RC Vannes (29-30). Sans cela, le « SF » serait dernier du classement. Pour rappel, le promu lui jouera Bayonne, Pau et Bordeaux Bègles.
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