Capuozzo, le dilemme...

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Gravement blessé à la jambe gauche samedi lors de la défaite de son équipe face à Perpignan, Ange Capuozzo a passé lundi une IRM qui a révélé une fracture du péroné. L'ailier italien du Stade Toulousain ne sait pas encore en revanche s'il va devoir passer ou pas par la case opération. Il doit en discuter prochainement avec un chirurgien.
Fin de saison, mais également opération à venir pour Ange Capuozzo (26 ans) ? Si, et malheureusement pour lui, le jeune ailier italien du Stade Toulousain gravement blessé samedi à la jambe gauche face aux Perpignanais, est désormais fixé sur sa fin de saison, il ne possède pas encore néanmoins toutes les réponses qu'il est en droit de se poser. A commencer par l'obligation ou non de se faire opérer. Si la pépite de la Squadra Azzurra sait déjà qu'il ne pourra pas aider son équipe à tenter de conquérir un nouveau sacre de champion de France, Capuozzo va devoir en revanche patienter encore un peu avant de savoir s'il devra ou pas passer par la case opération.
Tout dépendra de la discussion qu'il aura prochainement avec un chirurgien. En attendant, le natif de Grenoble, déjà freiné en avril dernier par une blessure à la cheville droite (NDLR : Il s'était blessé à l'époque contre Sale lors d'un match comptant pour les huitièmes de finale de Champions Cup), est déjà certain de ne plus rejouer de la saison. Et si l'ancien joueur du FCG avait pu retrouver les terrains un mois après sa blessure en avril dernier, il est cette fois d'ores et déjà indisponible pour au moins deux mois.
Là aussi, l'éventualité qu'il puisse subir une intervention chirurgical pourrait toutefois modifier la donne et allonger la durée de son absence. La seule bonne nouvelle dans cette histoire pour le grand malheureux de samedi dernier sur la pelouse de Perpignan, où son équipe, qui n'avait, elle, plus rien à jouer, s'était inclinée 42-35 lors de la dernière journée de la saison régulière de Top 14 face à des Catalans luttant toujours pour ne pas descendre (NDLR : Finalement 13e, l'USAP affrontera samedi Grenoble en barrage maintien-promotion), c'est qu'il ne souffre pas d'une fracture du tibia gauche, comme cela avait été un temps craint, mais uniquement, si tant est que l'on puisse s'exprimer ainsi, du péroné. Car les conséquences se seraient avéré beaucoup plus problématiques pour le joueur comme pour son club.
Fin de saison, mais également opération à venir pour Ange Capuozzo (26 ans) ? Si, et malheureusement pour lui, le jeune ailier italien du Stade Toulousain gravement blessé samedi à la jambe gauche face aux Perpignanais, est désormais fixé sur sa fin de saison, il ne possède pas encore néanmoins toutes les réponses qu'il est en droit de se poser. A commencer par l'obligation ou non de se faire opérer. Si la pépite de la Squadra Azzurra sait déjà qu'il ne pourra pas aider son équipe à tenter de conquérir un nouveau sacre de champion de France, Capuozzo va devoir en revanche patienter encore un peu avant de savoir s'il devra ou pas passer par la case opération.
Tout dépendra de la discussion qu'il aura prochainement avec un chirurgien. En attendant, le natif de Grenoble, déjà freiné en avril dernier par une blessure à la cheville droite (NDLR : Il s'était blessé à l'époque contre Sale lors d'un match comptant pour les huitièmes de finale de Champions Cup), est déjà certain de ne plus rejouer de la saison. Et si l'ancien joueur du FCG avait pu retrouver les terrains un mois après sa blessure en avril dernier, il est cette fois d'ores et déjà indisponible pour au moins deux mois.
Dans tout cela, il y a quand même une bonne nouvelle pour Capuozzo...
Là aussi, l'éventualité qu'il puisse subir une intervention chirurgical pourrait toutefois modifier la donne et allonger la durée de son absence. La seule bonne nouvelle dans cette histoire pour le grand malheureux de samedi dernier sur la pelouse de Perpignan, où son équipe, qui n'avait, elle, plus rien à jouer, s'était inclinée 42-35 lors de la dernière journée de la saison régulière de Top 14 face à des Catalans luttant toujours pour ne pas descendre (NDLR : Finalement 13e, l'USAP affrontera samedi Grenoble en barrage maintien-promotion), c'est qu'il ne souffre pas d'une fracture du tibia gauche, comme cela avait été un temps craint, mais uniquement, si tant est que l'on puisse s'exprimer ainsi, du péroné. Car les conséquences se seraient avéré beaucoup plus problématiques pour le joueur comme pour son club.
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