Ben O’Keeffe averti avant Angleterre-Afrique du Sud

Si l’élimination du XV de France en quart de finale de la Coupe du monde a forcément fait parler, c’est presque davantage d’un certain Ben O’Keeffe dont il est question depuis dimanche dernier dans les médias spécialisés. Pointés du doigt par Antoine Dupont dès la conférence de presse d’après-match, l’arbitre néo-zélandais et ses différents assistants (terrain et vidéo) n’ont pas convaincu les supporters tricolores par les décisions prises durant la rencontre face au Sud-Africains. Malgré la polémique, Ben O’Keeffe a été nommé pour arbitrer Angleterre-Afrique du Sud ce samedi (21h). Il sait que sa prestation sera scrutée.
Dans un message posté sur X vendredi soir, à l’occasion de la première demi-finale entre l’Argentine et la Nouvelle-Zélande, un certain Thomas Pesquet a lancé une énième pique à l’arbitre. « Ce soir je suis très bien placé pour voir si quelqu’un part en avance sur les transformations (même si ça n’arrive jamais). » Une référence directe au contre réalisé par Cheslin Kolbe alors que Thomas Ramos tirait une transformation dimanche dernier. Une action validée par Monsieur O’Keeffe, alors que les images, sans être parfaitement claires, laissent encore aujourd’hui place au doute.
Ce soir je suis très bien placé pour voir si quelqu’un part en avance sur les transformations (même si ça n’arrive jamais) 🙄🤷🏼♂️😅😤😇 pic.twitter.com/y5u2EkeXxK
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Ce soir je suis très bien placé pour voir si quelqu’un part en avance sur les transformations (même si ça n’arrive jamais) 🙄🤷🏼♂️😅😤😇 pic.twitter.com/y5u2EkeXxK
— Thomas Pesquet (@Thom_astro) October 20, 2023
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Pas de faute
L’arbitre néo-zélandais est en tout cas averti. Il lui faudra être irréprochable dans ce match où il arbitrera l’Afrique du Sud pour la seconde fois consécutive. Cette fois, ce sera contre les Anglais. Peut-être que les supporters français se montreront un peu moins intransigeants qu’il y a six jours, nombre d’entre eux préférant probablement voir l’ennemi intime du XV de France ne pas atteindre la finale. Quitte à voir les bourreaux sud-africains s’offrir le droit de défendre leur titre mondial acquis en 2019.