Bayonne: Iturria a un message pour Toulouse
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A la veille de la première demi-finale de Top 14 de la saison, entre Bayonne et Toulouse à Lyon, Arthur Iturria, le capitaine de l'Aviron, prévient les champions de France que s'ils pensent affronter une petite équipe sur laquelle ils vont pouvoir marcher, ils se trompent.
Vendredi soir à Lyon (21h05), Toulouse et Bayonne ouvriront le bal des demi-finales de cette saison de Top 14. Sur le papier, l'immense favori de cette première affiche qui en précédera une autre, samedi soir toujours dans le Rhône entre Bordeaux-Bègles et Toulon, ce sera évidemment ce Stade Toulousain qui a terminé loin devant tout le monde la saison régulière et constitue le candidat parfait pour aller soulever de nouveau le bouclier de Brennus.
Bayonne, présent dans le dernier carré pour la première fois de son histoire et qui aura tout à gagner vendredi face aux champions de France en titre ne voit évidemment pas les choses de cette façon. Et si l'Aviron aurait pu avoir tout de la victime expiatoire sur le papier il y a quelques semaines encore, ce n'est désormais plus le cas. En tout cas, à en croire le capitaine de l'équipe Arthur Iturria, qui a tenu jeudi à rappeler aux Toulousains s'ils ne l'avaient pas encore compris que ces Basques qui découvrent pour la première fois la phase finale et ont prolongé la fête en se débarrassant de Clermont en barrage n'ont plus rien du "petit" qui avait bu lourdement la tasse dans la Ville Rose (46-26) en février dernier.
"On a forcément changé de statut (...) On ne peut pas dire qu'on est le Petit Poucet", martèle l'expérimenté deuxième ligne international, qui assure d'ailleurs que personne dans le camp bayonnais n'estime que la saison est déjà réussie avant de s'attaquer à l'ogre toulousain. "On n'a rien gagné", insiste bien l'ancien Clermontois, conscient néanmoins que l'Aviron, qui avait créé l'exploit contre les Rouge et Noir en novembre dernier (victoire 12-8 à domicile), ne partira pas avec les faveurs des pronostics en dépit de son superbe et étonnant parcours. "On est une plus petite équipe que Toulouse, peut-être, mais je pense que notre place on la mérite." Iturria et les siens auront l'occasion vendredi de le prouver.
Vendredi soir à Lyon (21h05), Toulouse et Bayonne ouvriront le bal des demi-finales de cette saison de Top 14. Sur le papier, l'immense favori de cette première affiche qui en précédera une autre, samedi soir toujours dans le Rhône entre Bordeaux-Bègles et Toulon, ce sera évidemment ce Stade Toulousain qui a terminé loin devant tout le monde la saison régulière et constitue le candidat parfait pour aller soulever de nouveau le bouclier de Brennus.
Bayonne, présent dans le dernier carré pour la première fois de son histoire et qui aura tout à gagner vendredi face aux champions de France en titre ne voit évidemment pas les choses de cette façon. Et si l'Aviron aurait pu avoir tout de la victime expiatoire sur le papier il y a quelques semaines encore, ce n'est désormais plus le cas. En tout cas, à en croire le capitaine de l'équipe Arthur Iturria, qui a tenu jeudi à rappeler aux Toulousains s'ils ne l'avaient pas encore compris que ces Basques qui découvrent pour la première fois la phase finale et ont prolongé la fête en se débarrassant de Clermont en barrage n'ont plus rien du "petit" qui avait bu lourdement la tasse dans la Ville Rose (46-26) en février dernier.
Iturria : "On n'a rien gagné"
"On a forcément changé de statut (...) On ne peut pas dire qu'on est le Petit Poucet", martèle l'expérimenté deuxième ligne international, qui assure d'ailleurs que personne dans le camp bayonnais n'estime que la saison est déjà réussie avant de s'attaquer à l'ogre toulousain. "On n'a rien gagné", insiste bien l'ancien Clermontois, conscient néanmoins que l'Aviron, qui avait créé l'exploit contre les Rouge et Noir en novembre dernier (victoire 12-8 à domicile), ne partira pas avec les faveurs des pronostics en dépit de son superbe et étonnant parcours. "On est une plus petite équipe que Toulouse, peut-être, mais je pense que notre place on la mérite." Iturria et les siens auront l'occasion vendredi de le prouver.
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