Agen peut souffler

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Vainqueur de Nevers dans la douleur à domicile, vendredi lors de la dernière journée de Pro D2, Grenoble termine à la première place devant Brive, battus à Béziers. Agen, de son côté, a validé son maintien après son carton à domicile contre Mont-de-Marsan. Malgré sa large victoire contre Montauban, Aurillac devra disputer un barrage pour éviter la relégation.
Le rideau est tombé vendredi sur la saison régulière de Pro D2 à l'issue d'une ultime journée qui a livré son verdict et répondu aux nombreuses questions qui se posaient encore. A commencer par la première place et qui de Grenoble et de Brive, déjà assurés de disputer les demi-finales avec de surcroît l'avantage du terrain, terminerait aux commandes de la division. Un honneur qui est revenu au FCG. Les Isérois ont souffert à domicile face à Nevers mais ils ont néanmoins assuré l'essentiel (victoire 51-42) tandis que les Brivistes, eux, certes avec une équipe profondément remaniée, ont bu la tasse sur la pelouse de Béziers (57-24).
Le 23 mai prochain, Grenoble accueillera au stade des Alpes le vainqueur du barrage entre Colomiers et Montauban. La veille (en terminant premier, le FCG a obtenu un jour de repos supplémentaire par rapport à son rival), Brive sera, lui, opposé au vainqueur entre Provence et Soyaux-Angoulême, qui s'affronteront eux aussi en barrage. Vendredi, les quatre "quarts de finaliste", à qui le calendrier avait réservé un déplacement pour terminer, ont semblé avoir déjà la tête à la suite, puisqu'ils se sont tous inclinés.
Colomiers, battu chez une équipe de Biarritz qui ne sait toujours pas de quoi son avenir sera fait, termine troisième devant Provence (4e), qui aura également l'avantage de recevoir, contrairement à Soyaux-Angoulême (5e) et Montauban (6e). Agen, quant à lui, peut souffler. En danger avant de recevoir Mont-de-Marsan lors de cette dernière journée, le SUA, véritable monument du rugby français, a sauvé sa peau en Pro D2 et s'est évité une très fâcheuse désillusion en ne laissant aucune chance aux Montois (45-13) grâce notamment à un départ canon couronné par trois essais en moins de vingt minutes.
Aurillac, à la lutte pour le maintien avec les Agenais, a donc surclassé Montauban (36-10) pour rien. L'avenir des Aurillaquois passera par un barrage face au vaincu de la finale de Nationale entre Chambéry et Carcassonne. Le vainqueur, lui, accédera à l'échelon supérieur, à la place de Nice, relégué.
Le rideau est tombé vendredi sur la saison régulière de Pro D2 à l'issue d'une ultime journée qui a livré son verdict et répondu aux nombreuses questions qui se posaient encore. A commencer par la première place et qui de Grenoble et de Brive, déjà assurés de disputer les demi-finales avec de surcroît l'avantage du terrain, terminerait aux commandes de la division. Un honneur qui est revenu au FCG. Les Isérois ont souffert à domicile face à Nevers mais ils ont néanmoins assuré l'essentiel (victoire 51-42) tandis que les Brivistes, eux, certes avec une équipe profondément remaniée, ont bu la tasse sur la pelouse de Béziers (57-24).
Le 23 mai prochain, Grenoble accueillera au stade des Alpes le vainqueur du barrage entre Colomiers et Montauban. La veille (en terminant premier, le FCG a obtenu un jour de repos supplémentaire par rapport à son rival), Brive sera, lui, opposé au vainqueur entre Provence et Soyaux-Angoulême, qui s'affronteront eux aussi en barrage. Vendredi, les quatre "quarts de finaliste", à qui le calendrier avait réservé un déplacement pour terminer, ont semblé avoir déjà la tête à la suite, puisqu'ils se sont tous inclinés.
Agen peut souffler, Aurillac devra passer par un barrage
Colomiers, battu chez une équipe de Biarritz qui ne sait toujours pas de quoi son avenir sera fait, termine troisième devant Provence (4e), qui aura également l'avantage de recevoir, contrairement à Soyaux-Angoulême (5e) et Montauban (6e). Agen, quant à lui, peut souffler. En danger avant de recevoir Mont-de-Marsan lors de cette dernière journée, le SUA, véritable monument du rugby français, a sauvé sa peau en Pro D2 et s'est évité une très fâcheuse désillusion en ne laissant aucune chance aux Montois (45-13) grâce notamment à un départ canon couronné par trois essais en moins de vingt minutes.
Aurillac, à la lutte pour le maintien avec les Agenais, a donc surclassé Montauban (36-10) pour rien. L'avenir des Aurillaquois passera par un barrage face au vaincu de la finale de Nationale entre Chambéry et Carcassonne. Le vainqueur, lui, accédera à l'échelon supérieur, à la place de Nice, relégué.
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