Zinedine Zidane, la nomination surprise ?

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Alors que Philippe Diallo assure ne pas vouloir précipiter les choses concernant la probable nomination de Zinedine Zidane, Jérôme Rothen milite pour une accélération des choses.
Depuis janvier et l’annonce par Didier Deschamps de son départ à l’issue de la Coupe du monde 2026, l’identité de son successeur ne fait guère de doutes. Zinedine Zidane, qui ne cache pas depuis plusieurs années son désir de s’asseoir sur le banc de l’équipe de France, apparaît en effet comme le grandissime favori.
Pour autant, Philippe Diallo, le président de la Fédération Française de Football n’entend pas céder à la précipitation. « Ce n’est pas que je suis un adepte du secret. Mais je veux respecter le travail des gens qui sont en place, qui ont apporté beaucoup au football français et qui ont encore des échéances importantes. Et ne pas venir le polluer avec des annonces prématurées et malvenues », a-t-il ainsi expliqué dans les colonnes de Ouest-France.
Mais cette prudence n’est pas du goût de Jérôme Rothen. « Un peu d'honnêteté et de sincérité Monsieur Diallo ! On en a marre des discours politiques… Deschamps n'a plus besoin d'être protégé, a-t-il ainsi lancé au micro de RMC. Diallo parle du contrat de Deschamps, de son travail en vue de la Coupe du Monde. Il se met juste dans la posture du président qui décide tout seul sans demander des avis. Mais tout le monde attend de voir Zidane à la tête de l’équipe de France ! »
« En plus, Zidane s'est positionné, il a été très clair, il rêve d’être sur le banc des Bleus, a-t-il poursuivi. Donc maintenant, il faut l'appeler, lui faire signer le contrat pour 2026. Car là, le risque avec cette réaction de Diallo, c’est que Zidane s’engage ailleurs, car ça reste un grand entraîneur qui peut se laisser tenter par un projet intéressant. »
« Pour Deschamps, il aurait dû se retirer après le dernier Euro, où la France s’est emmerdée… Mais tout le monde sait qu’il va arrêter en 2026, donc rien n’empêche de ficeler Zidane dès maintenant, a-t-il insisté. Car si Zidane retrouve un projet avant l’année prochaine, Diallo n’aura plus personne pour mettre après Deschamps. Donc je ne comprends pas la politique de Diallo, qui respecte trop Deschamps. »
Depuis janvier et l’annonce par Didier Deschamps de son départ à l’issue de la Coupe du monde 2026, l’identité de son successeur ne fait guère de doutes. Zinedine Zidane, qui ne cache pas depuis plusieurs années son désir de s’asseoir sur le banc de l’équipe de France, apparaît en effet comme le grandissime favori.
Pour autant, Philippe Diallo, le président de la Fédération Française de Football n’entend pas céder à la précipitation. « Ce n’est pas que je suis un adepte du secret. Mais je veux respecter le travail des gens qui sont en place, qui ont apporté beaucoup au football français et qui ont encore des échéances importantes. Et ne pas venir le polluer avec des annonces prématurées et malvenues », a-t-il ainsi expliqué dans les colonnes de Ouest-France.
Mais cette prudence n’est pas du goût de Jérôme Rothen. « Un peu d'honnêteté et de sincérité Monsieur Diallo ! On en a marre des discours politiques… Deschamps n'a plus besoin d'être protégé, a-t-il ainsi lancé au micro de RMC. Diallo parle du contrat de Deschamps, de son travail en vue de la Coupe du Monde. Il se met juste dans la posture du président qui décide tout seul sans demander des avis. Mais tout le monde attend de voir Zidane à la tête de l’équipe de France ! »
« En plus, Zidane s'est positionné, il a été très clair, il rêve d’être sur le banc des Bleus, a-t-il poursuivi. Donc maintenant, il faut l'appeler, lui faire signer le contrat pour 2026. Car là, le risque avec cette réaction de Diallo, c’est que Zidane s’engage ailleurs, car ça reste un grand entraîneur qui peut se laisser tenter par un projet intéressant. »
« Pour Deschamps, il aurait dû se retirer après le dernier Euro, où la France s’est emmerdée… Mais tout le monde sait qu’il va arrêter en 2026, donc rien n’empêche de ficeler Zidane dès maintenant, a-t-il insisté. Car si Zidane retrouve un projet avant l’année prochaine, Diallo n’aura plus personne pour mettre après Deschamps. Donc je ne comprends pas la politique de Diallo, qui respecte trop Deschamps. »
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