Thiago Almada, la Fifa s’en mêle

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John Textor, le patron de l’OL, se retrouve dans le collimateur de la Fifa dans le cadre du dossier Thiago Almada.
Il incarne la transaction la plus controversée de l’hiver, prêté alors par Botafogo à l’OL – avec les remous que l’on sait vis-à-vis de la concurrence. En venant ainsi renforcer les rangs lyonnais - avec réussite puisque l’intéressé a grandement contribué au redressement spectaculaire des Gones lors de la deuxième partie de saison – Thiago Almada a fait l’objet de nombreuses réserves déposées par les rivaux du club rhodanien.
A l’origine de cette fronde quasi unanime, les abus présumés de la multipropriété à travers un joueur de talent qui a pu renforcer un effectif à la peine sans contrepartie aucune, en passant d’un club à un autre appartenant à la même galaxie dirigée par John Textor. Et ce malgré l’interdiction de recrutement imposée à l’OL par la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG).
https://x.com/OL/status/1932801229656371600
Or, si les instances du football français sont restées spectatrices dans cette affaire - la Ligue de football professionnel (LFP) ayant systématiquement débouté les plaignants – il apparaît que le cas Thiago Almada se révèle délicat pour une raison tout autre. Jamais en effet Botafogo ne s’est acquitté des indemnités de transfert du jeune Argentin en provenance d’Atlanta.
Débauché en juillet 2024 dans le cadre d’un transfert record alors pour la MLS, l’élite du football nord-américain, Thiago Almada devait ainsi rapporter 21 millions de dollars (un peu plus de 18 millions d’euros) à la franchise basée dans l’Etat de Géorgie. Or, malgré un paiement échelonné sur le long terme, par virements trimestriels, le club de Rio n’a pas honoré son engagement.
En février dernier, la Fifa saisie par le Atlanta United FC avait sommé John Textor de verser 10 millions d’euros sans délai à ses homologues américains. Une injonction restée lettre morte qui pousse la fédération internationale à hausser le ton aujourd’hui, en exigeant selon UOL Esporte le paiement intégral du transfert sous peine de sanction. Soit 21 millions de dollars assortis de 150 000 dollars d’intérêts. Outre Botafogo, Thiago Almada lui-même pourrait subir les conséquences des largesses du patron de l’OL.
Il incarne la transaction la plus controversée de l’hiver, prêté alors par Botafogo à l’OL – avec les remous que l’on sait vis-à-vis de la concurrence. En venant ainsi renforcer les rangs lyonnais - avec réussite puisque l’intéressé a grandement contribué au redressement spectaculaire des Gones lors de la deuxième partie de saison – Thiago Almada a fait l’objet de nombreuses réserves déposées par les rivaux du club rhodanien.
A l’origine de cette fronde quasi unanime, les abus présumés de la multipropriété à travers un joueur de talent qui a pu renforcer un effectif à la peine sans contrepartie aucune, en passant d’un club à un autre appartenant à la même galaxie dirigée par John Textor. Et ce malgré l’interdiction de recrutement imposée à l’OL par la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG).
https://x.com/OL/status/1932801229656371600
Or, si les instances du football français sont restées spectatrices dans cette affaire - la Ligue de football professionnel (LFP) ayant systématiquement débouté les plaignants – il apparaît que le cas Thiago Almada se révèle délicat pour une raison tout autre. Jamais en effet Botafogo ne s’est acquitté des indemnités de transfert du jeune Argentin en provenance d’Atlanta.
Thiago Almada pénalisé ?
Débauché en juillet 2024 dans le cadre d’un transfert record alors pour la MLS, l’élite du football nord-américain, Thiago Almada devait ainsi rapporter 21 millions de dollars (un peu plus de 18 millions d’euros) à la franchise basée dans l’Etat de Géorgie. Or, malgré un paiement échelonné sur le long terme, par virements trimestriels, le club de Rio n’a pas honoré son engagement.
En février dernier, la Fifa saisie par le Atlanta United FC avait sommé John Textor de verser 10 millions d’euros sans délai à ses homologues américains. Une injonction restée lettre morte qui pousse la fédération internationale à hausser le ton aujourd’hui, en exigeant selon UOL Esporte le paiement intégral du transfert sous peine de sanction. Soit 21 millions de dollars assortis de 150 000 dollars d’intérêts. Outre Botafogo, Thiago Almada lui-même pourrait subir les conséquences des largesses du patron de l’OL.
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