Sydney Govou pas tendre avec John Textor
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Ancienne figure de l’Olympique Lyonnais, Sydney Govou s’en est pris avec véhémence à John Textor après la rétrogradation administrative en Ligue 2 du club rhodanien.
Le couperet est tombé. Malgré le discours positif tenu par les dirigeants lyonnais à l’approche de leur oral devant la DNCG, le gendarme financier de la Ligue a en effet prononcé, mardi, la rétrogradation administrative de l’Olympique Lyonnais en Ligue 2. De quoi provoquer la colère du camp lyonnais.
Et si John Textor et ses équipes ont fustigé la décision de la LFP, la jugeant totalement « incompréhensible » au regard des garanties apportées, les supporters lyonnais ont pointé du doigt de façon virulente la responsabilité de l’homme d’affaires américain, propriétaire de l’OL depuis seulement deux ans et demi. Une colère partagée par Sydney Govou, légende du club.
https://x.com/sports_fr/status/1937724563325939786
« Aujourd’hui, je suis en colère. Je suis surpris et énervé. Encore une fois, John Textor nous a enfumés. Cela ne passe pas. C’est un beau parleur, toujours de belles paroles mais, à l’arrivée, les actes ne suivent pas », a-t-il ainsi confié dans une interview accordée au Parisien.
Et pour le vice-champion du monde, la confiance en John Textor est définitivement rompue. « Cela semblait compliqué mais quand le président fait autant de sorties en disant de ne pas s’inquiéter car il a l’argent, on est tentés de croire les gens. Aujourd’hui, il n’a plus aucune crédibilité à mes yeux. Zéro. Même si ça devait passer dans trois semaines, il n’a aucune crédibilité pour être président d’un club comme l’OL », a-t-il ajouté.
« Mais ces mecs-là sont là pour faire du business, pas avec leur argent, et se foutent complètement de nous. C’est une réalité. Si l’OL coule demain, il retournera à Botafogo et il fera les mêmes conneries avec Botafogo », a encore rugi l’ancien attaquant, prenant soin d’épargner Jean-Michel Aulas, son ancien président.
« En deux ans, Textor a tout saccagé. Et qu'on ne m'explique pas que c'était pareil sous Aulas », a-t-il en effet précisé, estimant par ailleurs que « l'OL n'est plus un club attirant ».
Le couperet est tombé. Malgré le discours positif tenu par les dirigeants lyonnais à l’approche de leur oral devant la DNCG, le gendarme financier de la Ligue a en effet prononcé, mardi, la rétrogradation administrative de l’Olympique Lyonnais en Ligue 2. De quoi provoquer la colère du camp lyonnais.
Et si John Textor et ses équipes ont fustigé la décision de la LFP, la jugeant totalement « incompréhensible » au regard des garanties apportées, les supporters lyonnais ont pointé du doigt de façon virulente la responsabilité de l’homme d’affaires américain, propriétaire de l’OL depuis seulement deux ans et demi. Une colère partagée par Sydney Govou, légende du club.
https://x.com/sports_fr/status/1937724563325939786
« Aujourd’hui, je suis en colère. Je suis surpris et énervé. Encore une fois, John Textor nous a enfumés. Cela ne passe pas. C’est un beau parleur, toujours de belles paroles mais, à l’arrivée, les actes ne suivent pas », a-t-il ainsi confié dans une interview accordée au Parisien.
Sydney Govou épargne Jean-Michel Aulas
Et pour le vice-champion du monde, la confiance en John Textor est définitivement rompue. « Cela semblait compliqué mais quand le président fait autant de sorties en disant de ne pas s’inquiéter car il a l’argent, on est tentés de croire les gens. Aujourd’hui, il n’a plus aucune crédibilité à mes yeux. Zéro. Même si ça devait passer dans trois semaines, il n’a aucune crédibilité pour être président d’un club comme l’OL », a-t-il ajouté.
« Mais ces mecs-là sont là pour faire du business, pas avec leur argent, et se foutent complètement de nous. C’est une réalité. Si l’OL coule demain, il retournera à Botafogo et il fera les mêmes conneries avec Botafogo », a encore rugi l’ancien attaquant, prenant soin d’épargner Jean-Michel Aulas, son ancien président.
« En deux ans, Textor a tout saccagé. Et qu'on ne m'explique pas que c'était pareil sous Aulas », a-t-il en effet précisé, estimant par ailleurs que « l'OL n'est plus un club attirant ».
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