Rennes : "Cliniquement morte", la colère noire de Beye
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Rennes s'est incliné sur la pelouse de Toulouse, samedi, laissant un Habib Beye visiblement furieux. Ce dernier n'a pas mâché ses mots en conférence de presse.
Le Stade Rennais a enchaîné une seconde défaite de rang en Ligue 1 ce samedi, cette fois face à Toulouse (1-2). Une semaine après la lourde déconvenue contre Lyon (1-4), l'entraîneur Habib Beye espérait vivement relancer la dynamique, mais le scénario ne lui a pas donné raison.
Au-delà du score, et malgré un maintien désormais officiellement acquis, le technicien sénégalais s’est montré particulièrement déçu par l’attitude de ses hommes lors du premier acte sur la pelouse du Stadium. Il ne s'est d'ailleurs pas fait prier pour le faire savoir en conférence de presse d'après-match.
"En première période, on n'a rien produit en termes d'agressivité, de personnalité", a analysé le Suresnois. "On n'est pas rentrés dans le match et on les a laissés nous dominer, alors qu'il y avait un rapport d'un pour un sur le terrain, où l'on aurait dû prendre le dessus par cette intensité. Il n'y a rien eu sur ces 45 premières minutes, c'est ce que j'ai dit à mon équipe. J'ai vu une équipe complètement amorphe, sans réaction."
Et à la pause, le discours dans le vestiaire était tout aussi clair. "Je leur ai dit que j'avais eu une équipe morte, cliniquement morte. C'est un mot fort, mais c'est ça que j'ai eu. Avec aucune intensité, aucune intention, aucune envie d'avancer. Et jusqu'à maintenant, depuis que je suis arrivé, j'ai toujours été très protecteur avec mes joueurs. Et si je dis ça aujourd'hui, c'est parce que ces attitudes-là, je les ai vues contre Lyon et je les vois encore ce (samedi) soir. Si on veut finir le championnat en roue libre, alors on doit continuer avec cet état d'esprit", a soufflé Beye.
Le Stade Rennais a enchaîné une seconde défaite de rang en Ligue 1 ce samedi, cette fois face à Toulouse (1-2). Une semaine après la lourde déconvenue contre Lyon (1-4), l'entraîneur Habib Beye espérait vivement relancer la dynamique, mais le scénario ne lui a pas donné raison.
Au-delà du score, et malgré un maintien désormais officiellement acquis, le technicien sénégalais s’est montré particulièrement déçu par l’attitude de ses hommes lors du premier acte sur la pelouse du Stadium. Il ne s'est d'ailleurs pas fait prier pour le faire savoir en conférence de presse d'après-match.
Beye recadre son vestiaire
"En première période, on n'a rien produit en termes d'agressivité, de personnalité", a analysé le Suresnois. "On n'est pas rentrés dans le match et on les a laissés nous dominer, alors qu'il y avait un rapport d'un pour un sur le terrain, où l'on aurait dû prendre le dessus par cette intensité. Il n'y a rien eu sur ces 45 premières minutes, c'est ce que j'ai dit à mon équipe. J'ai vu une équipe complètement amorphe, sans réaction."
Et à la pause, le discours dans le vestiaire était tout aussi clair. "Je leur ai dit que j'avais eu une équipe morte, cliniquement morte. C'est un mot fort, mais c'est ça que j'ai eu. Avec aucune intensité, aucune intention, aucune envie d'avancer. Et jusqu'à maintenant, depuis que je suis arrivé, j'ai toujours été très protecteur avec mes joueurs. Et si je dis ça aujourd'hui, c'est parce que ces attitudes-là, je les ai vues contre Lyon et je les vois encore ce (samedi) soir. Si on veut finir le championnat en roue libre, alors on doit continuer avec cet état d'esprit", a soufflé Beye.
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