PSG-OM dans le viseur de l’Arcom

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Le Classique entre le PSG et l’OM se tient ce dimanche soir au Parc des Princes. Avec une Arcom sur les dents.
En octobre dernier, à l’occasion du premier Classique de la saison entre l’OM et le PSG, au Vélodrome, plus d’un téléspectateur et internaute sur deux était passé par des canaux illégaux pour suivre la rencontre. Au grand dam évidemment du diffuseur DAZN et de la Ligue de football professionnel.
Ce dimanche, alors que le retour se joue au Parc des Princes entre les deux équipes phares du championnat de France, l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) et l'Association pour la protection des programmes sportifs (APPS) ont choisi de frapper fort contre les initiatives de piratage.
« Notre objectif principal est de rendre de rendre l'accès le plus difficile possible au consommateur de ces services illégaux, pour le décourager, martèle auprès de l'Equipe Martin Ajdari, le président de l'Arcom, qui estime à 300 millions d’euros chaque année le préjudice du piratage pour l’économie du sport. Nous sommes dans une situation type gendarmes et voleurs, avec des innovations constantes pour contourner la loi. Nous savons que les règles mises en place ne seront jamais complètement étanches. »
Via un investissement massif ces dernières semaines, l’Arcom a ainsi développé de nouveaux outils pour dénicher et identifier les réseaux illégaux, avec pour cette soirée dédiée au Classique deux salves d’intervention prévues avant le coup d’envoi et avant la mi-temps du match. Cette saison, DAZN a déjà tapé du poing sur la table en reprochant à la Ligue de football professionnel (LFP) de ne pas en faire assez dans la lutte contre le piratage. Le message a été entendu manifestement.
En octobre dernier, à l’occasion du premier Classique de la saison entre l’OM et le PSG, au Vélodrome, plus d’un téléspectateur et internaute sur deux était passé par des canaux illégaux pour suivre la rencontre. Au grand dam évidemment du diffuseur DAZN et de la Ligue de football professionnel.
Ce dimanche, alors que le retour se joue au Parc des Princes entre les deux équipes phares du championnat de France, l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) et l'Association pour la protection des programmes sportifs (APPS) ont choisi de frapper fort contre les initiatives de piratage.
Un dispositif spécial pour le Classique
« Notre objectif principal est de rendre de rendre l'accès le plus difficile possible au consommateur de ces services illégaux, pour le décourager, martèle auprès de l'Equipe Martin Ajdari, le président de l'Arcom, qui estime à 300 millions d’euros chaque année le préjudice du piratage pour l’économie du sport. Nous sommes dans une situation type gendarmes et voleurs, avec des innovations constantes pour contourner la loi. Nous savons que les règles mises en place ne seront jamais complètement étanches. »
Via un investissement massif ces dernières semaines, l’Arcom a ainsi développé de nouveaux outils pour dénicher et identifier les réseaux illégaux, avec pour cette soirée dédiée au Classique deux salves d’intervention prévues avant le coup d’envoi et avant la mi-temps du match. Cette saison, DAZN a déjà tapé du poing sur la table en reprochant à la Ligue de football professionnel (LFP) de ne pas en faire assez dans la lutte contre le piratage. Le message a été entendu manifestement.
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