OM, la vaste supercherie
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Malgré la large défaite de ses troupes, Eric Roy s’est montré très critique avec les Marseillais après le match entre l’Olympique de Marseille et le Stade Brestois.
L’Olympique de Marseille a vécu une nouvelle belle soirée au Vélodrome. Une semaine après leur large victoire contre Montpellier, l’OM a en effet remis le couvert contre Brest, dimanche, en clôture de la 31e journée de Ligue 1. Portés par le triplé d’Amine Gouiri, les Ciel et Blanc l’ont en effet emporté 4-1, confortant ainsi leur deuxième place au classement de la Ligue 1. De quoi donner le sourire à Roberto de Zerbi.
« On a bien joué et il faut en donner le crédit aux joueurs. Parfois on perd des points à cause de mauvaises attitudes mais pas parce que ce ne sont pas de bons garçons », a ainsi salué l’entraîneur phocéen à l’issue de la rencontre, le technicien italien n’en confirmant pas moins le départ du groupe olympien pour une nouvelle mise au vert à Rome toute cette semaine.
https://x.com/sports_fr/status/1916701373216829497
Mais pour Eric Roy, son homologue brestois, les Marseillais n’avaient pas de quoi être fiers de leur prestation. A l’en croire, les hommes de Roberto De Zerbi ont surtout bénéficié d’une réussite maximale, ce que tend à confirmer les expected goals, l’OM ayant terminé la rencontre avec quatre buts mais seulement 0,95 expected goals, c’est à dire les buts attendus selon la dangerosité des occasions.
« A la mi-temps, c’est même pire que ça, a asséné l’ancien milieu de terrain. Ils sont à 0,29 expected goals et on est à 1,58. Tu rentres et du perds 3-1, c’est quand même fou! Il y a un peu plus de talent en face. Quand tu vois le but d’Amine Gouiri, il ne doit pas peser lourd dans les expected goal mais à l’arrivée, c’est un but fantastique et magnifique. Il faut le féliciter pour ça. »
Et Eric Roy de pointer du doigt les largesses défensives de ses troupes. « On trouve que le score est lourd mais quand tu as des attitudes défensives comme on a pu avoir, tu es puni, a-t-il fustigé. J’ai souvent loué l’état d’esprit de mon équipe. J’ai souvent trouvé qu’ils pouvaient être des chiens sur le terrain, se sacrifier les uns pour les autres. Ce soir, j’ai plutôt trouvé que nous étions des agneaux. A partir de là, on ne peut pas gagner un match de haut niveau. »
L’Olympique de Marseille a vécu une nouvelle belle soirée au Vélodrome. Une semaine après leur large victoire contre Montpellier, l’OM a en effet remis le couvert contre Brest, dimanche, en clôture de la 31e journée de Ligue 1. Portés par le triplé d’Amine Gouiri, les Ciel et Blanc l’ont en effet emporté 4-1, confortant ainsi leur deuxième place au classement de la Ligue 1. De quoi donner le sourire à Roberto de Zerbi.
« On a bien joué et il faut en donner le crédit aux joueurs. Parfois on perd des points à cause de mauvaises attitudes mais pas parce que ce ne sont pas de bons garçons », a ainsi salué l’entraîneur phocéen à l’issue de la rencontre, le technicien italien n’en confirmant pas moins le départ du groupe olympien pour une nouvelle mise au vert à Rome toute cette semaine.
https://x.com/sports_fr/status/1916701373216829497
Mais pour Eric Roy, son homologue brestois, les Marseillais n’avaient pas de quoi être fiers de leur prestation. A l’en croire, les hommes de Roberto De Zerbi ont surtout bénéficié d’une réussite maximale, ce que tend à confirmer les expected goals, l’OM ayant terminé la rencontre avec quatre buts mais seulement 0,95 expected goals, c’est à dire les buts attendus selon la dangerosité des occasions.
L'OM a "un peu plus de talent"
« A la mi-temps, c’est même pire que ça, a asséné l’ancien milieu de terrain. Ils sont à 0,29 expected goals et on est à 1,58. Tu rentres et du perds 3-1, c’est quand même fou! Il y a un peu plus de talent en face. Quand tu vois le but d’Amine Gouiri, il ne doit pas peser lourd dans les expected goal mais à l’arrivée, c’est un but fantastique et magnifique. Il faut le féliciter pour ça. »
Et Eric Roy de pointer du doigt les largesses défensives de ses troupes. « On trouve que le score est lourd mais quand tu as des attitudes défensives comme on a pu avoir, tu es puni, a-t-il fustigé. J’ai souvent loué l’état d’esprit de mon équipe. J’ai souvent trouvé qu’ils pouvaient être des chiens sur le terrain, se sacrifier les uns pour les autres. Ce soir, j’ai plutôt trouvé que nous étions des agneaux. A partir de là, on ne peut pas gagner un match de haut niveau. »
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