OL, la bourde de Textor qui coûte cher

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Si l’OL pourra bel et bien jouer en Ligue 1 cette saison, tout n’est pas rose pour autant à Lyon.
La commission d’appel de la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) a entendu les arguments de Michele Kang, qui a pris la succession de John Textor aux commandes de l’OL. Les Gones cette saison évolueront bel et bien dans l’élite. Moyennant des contraintes toutefois puisque la masse salariale et les mutations de joueurs seront strictement encadrées jusqu’à nouvel ordre.
« Ce n'est pas un plan d'austérité mais une discipline financière, tempère Michele Kang ce mercredi soir au cours d’une conférence de presse ainsi relayée par L’Equipe. Nous avons proposé une masse salariale et un bilan de transfert en fonction de notre budget. La commission d'appel a pris en compte ce budget compte tenu des fonds reçus du prêteur et des actionnaires. Il n'y a pas beaucoup de différence… »
Pour autant, en dépit de ce discours de façade somme toute de circonstances, l’OL va rester sous la surveillance accrue des instances du football français, avec l’obligation bien évidemment de respecter ses engagements. En cela la mauvaise nouvelle du jour – liée à la gestion calamiteuse de John Textor – est-elle particulièrement malvenue.
https://x.com/sports_fr/status/1942950669071028338
Selon Le Progrès, le businessman américain suscité a tardé à reconduire le contrat de naming du stade conclu avec Groupama depuis 2017. Un deal à 6,9 millions d’euros par an qui promet de manquer dans les caisses rhodaniennes ces prochains mois. Les projections quant au Parc OL sont pour le moins alarmantes par ailleurs. Alors que l’investissement initial consenti sous la présidence de Jean-Michel Aulas prévoyait un amortissement à l’horizon 2024, il faudra attendre finalement 2044 pour voir « le formidable outil » lyonnais ne plus peser lourdement sur le budget des Gones.
La commission d’appel de la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) a entendu les arguments de Michele Kang, qui a pris la succession de John Textor aux commandes de l’OL. Les Gones cette saison évolueront bel et bien dans l’élite. Moyennant des contraintes toutefois puisque la masse salariale et les mutations de joueurs seront strictement encadrées jusqu’à nouvel ordre.
« Ce n'est pas un plan d'austérité mais une discipline financière, tempère Michele Kang ce mercredi soir au cours d’une conférence de presse ainsi relayée par L’Equipe. Nous avons proposé une masse salariale et un bilan de transfert en fonction de notre budget. La commission d'appel a pris en compte ce budget compte tenu des fonds reçus du prêteur et des actionnaires. Il n'y a pas beaucoup de différence… »
6,9 millions par an pour l’OL partis en fumée ?
Pour autant, en dépit de ce discours de façade somme toute de circonstances, l’OL va rester sous la surveillance accrue des instances du football français, avec l’obligation bien évidemment de respecter ses engagements. En cela la mauvaise nouvelle du jour – liée à la gestion calamiteuse de John Textor – est-elle particulièrement malvenue.
https://x.com/sports_fr/status/1942950669071028338
Selon Le Progrès, le businessman américain suscité a tardé à reconduire le contrat de naming du stade conclu avec Groupama depuis 2017. Un deal à 6,9 millions d’euros par an qui promet de manquer dans les caisses rhodaniennes ces prochains mois. Les projections quant au Parc OL sont pour le moins alarmantes par ailleurs. Alors que l’investissement initial consenti sous la présidence de Jean-Michel Aulas prévoyait un amortissement à l’horizon 2024, il faudra attendre finalement 2044 pour voir « le formidable outil » lyonnais ne plus peser lourdement sur le budget des Gones.
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