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N’Golo Kanté sorti du onze face à l’Espagne !

N’Golo Kanté sorti du onze face à l’Espagne !
Publié le , mis à jour le
A la veille du choc France-Espagne en demi-finale de l’Euro, N’Golo Kanté n’apparaît pas dans l’équipe idéale formée par Luis Fernandez.
Rappelé à la surprise générale par Didier Deschamps, N’Golo Kanté est l’une des principales satisfactions tricolores depuis le début de l’Euro. Alors que son état de forme apparaissait quelque peu incertain après sa saison jouée en Arabie Saoudite, l’ancien Caennais n’aura eu besoin que d’un match pour se rendre indispensable.

Titularisé d’entrée face à l’Autriche, le natif de Rueil-Malmaison a été étincelant, au point d’être élu homme du match, et n’a plus quitté le onze de départ depuis, enchaînant les cinq rencontres disputées par les Bleus en Allemagne. Et N’Golo Kanté sera de nouveau aligné, mardi, face à l’Espagne aux côtés d’Aurélien Tchouameni et Adrien Rabiot, de retour de suspension.

Fabian Ruiz préféré à N'Golo Kanté


Mais pour Luis Fernandez, le champion du monde tricolore n’a pas sa place dans le onze idéal composé des meilleurs joueurs français et espagnols. Que ce soit au poste de milieu droit où il lui préfère Fabian Ruiz, l’un des joueurs les plus en vue depuis le début de l’Euro, ou en sentinelle, où l’ancien membre du carré magique préfère aligner Rodri.

« Il a été critiqué cette saison avec le PSG mais il a commencé cet Euro par un magnifique but contre la Croatie. Il a été dans la confirmation ensuite. Il est complémentaire de mes autres milieux, avec des projections, des passes qui cassent les lignes, écrit Luis Fernandez au sujet de Fabian Ruiz. Ses prises de balle aussi sont pas mal. Il est en train d’éblouir pas mal de monde. Il fait taire les critiques. »

A noter enfin qu’à gauche, Luis Fernandez aligne bien un joueur français. Pas Adrien Rabiot l’habituel titulaire du poste mais Eduardo Camavinga, qui l’a supplée face au Portugal. « J’ai toujours été fan de lui. On aurait pu mettre N’Golo Kanté, mais c’est un plaisir de voir jouer Camavinga », justifie le vainqueur de l’Euro en 1984.
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