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Nasser Al-Khelaifi, la sextape et les photos compromettantes avec sa maîtresse refont surface

Nasser Al-Khelaifi, la sextape et les photos compromettantes avec sa maîtresse refont surface
Publié le , mis à jour le
L’enquête sur les soupçons de « barbouzeries » au PSG a valu à Nasser Al-Khelaïfi d’être entendu en qualité de victime par la justice au printemps et de devoir évoquer un chantage aux photos compromettantes avec sa maîtresse.

Nasser Al-Khelaïfi avait (encore) rendez-vous avec la justice le 13 mai dernier. Cette fois en qualité de victime. Le président du PSG a été entendu par les juges d’instruction Serge Tournaire et Vincent Lemonier dans le cadre de l'enquête sur les soupçons de "barbouzeries" autour du club de la capitale, selon Blast et Le Monde. De sales affaires" avec "beaucoup de mensonges, des cachotteries, des subterfuges", selon le dirigeant qatari.


Nasser Al-Khelaïfin a notamment été interrogé sur le chantage dont il a été victime avec en toile de fond l’enregistrement d’ébats intimes avec sa maîtresse. Son domicile parisien aurait été piégé par son ancien majordome Hicham Karmoussi. Et à cette sextape se sont ajoutées des photos prises dans la rue et qui auraient été proposées au magazine Paris Match.



50 000 euros éviter que les photos sortent


« Hicham m’a dit qu’on devait acheter les photos pour 50.000 euros pour éviter qu’elles sortent », a-t-il révélé, expliquant que son ami Arnaud Lagardère, dont le groupe éponyme détenait alors le magazine Paris Match, l’avait appeler pour le prévenir de l’existence de ces clichés compromettants.


Nasser Al-Khelaïfi a par ailleurs expliqué aux juges d’instruction qu’il n’était pas souvent présent dans les bureaux du PSG. « Je ne peux pas faire du management quotidien », a ajouté celui qui est également président de beIN Group, affirmant ne pas être au courant des faits reprochés à certains de ces anciens collaborateurs mis en examen. Parmi eux, Jean-Martial Ribes, ex-directeur de la communication du Paris Saint-Germain, poursuivi pour corruption et trafic d'influence actifs, complicité et recel de détournement de la finalité d’un traitement de données à caractère personnel, usurpation de l'identité d'un tiers en vue de troubler sa tranquillité ou porter atteinte à son honneur et harcèlement moral en ligne.


 

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