Longoria avoue tout

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Le président de l’OM Pablo Longoria n’a pas nié les esclandres observés la semaine passée à la Commanderie.
L’OM a bien vécu un psychodrame la semaine dernière après sa surprenante défaite à Reims en championnat (3-1). Roberto De Zerbi est allé loin avec ses joueurs pour les pousser dans leurs retranchements et les obliger à réagir. Avec en guise de réponse ce dimanche soir en clôture de la 28e journée de L1 une victoire spectaculaire mais fébrile sur Toulouse (3-2).
Ce lundi en marge d’un événement organisé dans le cadre du programme sociétal Treizième Homme, Pablo Longoria n’a pas cherché à nier ou minimiser le coup de sang du coach des Olympiens. « Pendant cette semaine, on s’attendait à avoir une réaction au match contre Reims, ce n’était pas acceptable à tous les niveaux du club, pour les joueurs, pour l’entraîneur, pour tous les dirigeants et l’institution. »
https://x.com/sports_fr/status/1909102553821835597
Relayé notamment par France Bleu Provence, le dirigeant espagnol insiste sur le choc champenois, et l’électrochoc nécessaire qui en a découlé: « Naturellement, on n’était pas contents du match contre Reims. On attendait une réaction. Pas seulement dans le résultat, mais aussi dans l’attitude. Ça montre la façon avec laquelle on doit tenir ce niveau compétitif jusqu’à la fin de la saison pour atteindre nos objectifs. »
Pas question en revanche de voir dans cet épisode les prémices d’une incompréhension et de divisions à venir. « A aucun moment il y a eu désunion à l’intérieur du groupe. Ce qu’il fallait était une réaction. Ça me dérange toujours que vous sachiez les choses du vestiaire. Ce qui était important cette semaine, c’était de rappeler l’objectif fixé. Il n’y a pas de désunion, c’est tout le contraire. Tout le monde va dans la même direction avec des objectifs très clairs. »
A six journées de la fin de la saison, l’OM a repris à Monaco la deuxième place du classement. Précisément avant de défier le club de la Principauté sur son Rocher samedi prochain. La marge de manœuvre des Marseillais en vue d’une qualification pour la Ligue des champions est cependant ténue. Les Phocéens ne comptant guère que trois longueurs d’avance sur le quatrième strasbourgeois et quatre sur le cinquième lyonnais.
L’OM a bien vécu un psychodrame la semaine dernière après sa surprenante défaite à Reims en championnat (3-1). Roberto De Zerbi est allé loin avec ses joueurs pour les pousser dans leurs retranchements et les obliger à réagir. Avec en guise de réponse ce dimanche soir en clôture de la 28e journée de L1 une victoire spectaculaire mais fébrile sur Toulouse (3-2).
Ce lundi en marge d’un événement organisé dans le cadre du programme sociétal Treizième Homme, Pablo Longoria n’a pas cherché à nier ou minimiser le coup de sang du coach des Olympiens. « Pendant cette semaine, on s’attendait à avoir une réaction au match contre Reims, ce n’était pas acceptable à tous les niveaux du club, pour les joueurs, pour l’entraîneur, pour tous les dirigeants et l’institution. »
https://x.com/sports_fr/status/1909102553821835597
Relayé notamment par France Bleu Provence, le dirigeant espagnol insiste sur le choc champenois, et l’électrochoc nécessaire qui en a découlé: « Naturellement, on n’était pas contents du match contre Reims. On attendait une réaction. Pas seulement dans le résultat, mais aussi dans l’attitude. Ça montre la façon avec laquelle on doit tenir ce niveau compétitif jusqu’à la fin de la saison pour atteindre nos objectifs. »
Longoria conteste toute division
Pas question en revanche de voir dans cet épisode les prémices d’une incompréhension et de divisions à venir. « A aucun moment il y a eu désunion à l’intérieur du groupe. Ce qu’il fallait était une réaction. Ça me dérange toujours que vous sachiez les choses du vestiaire. Ce qui était important cette semaine, c’était de rappeler l’objectif fixé. Il n’y a pas de désunion, c’est tout le contraire. Tout le monde va dans la même direction avec des objectifs très clairs. »
A six journées de la fin de la saison, l’OM a repris à Monaco la deuxième place du classement. Précisément avant de défier le club de la Principauté sur son Rocher samedi prochain. La marge de manœuvre des Marseillais en vue d’une qualification pour la Ligue des champions est cependant ténue. Les Phocéens ne comptant guère que trois longueurs d’avance sur le quatrième strasbourgeois et quatre sur le cinquième lyonnais.
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