Le successeur de Griezmann (enfin) trouvé ?
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Deux mois après la retraite surprise d’Antoine Griezmann, Didier Deschamps a essayé un troisième de ses joueurs au poste de numéro 10, dimanche soir lors d’Italie-France en Ligue des nations.
Après Mattéo Guendouzi lors de ses deux titularisations contre la Belgique et Warren Zaïre-Emery lors du piteux résultat nul contre Israël (0-0) jeudi dernier au Stade de France, Didier Deschamps a installé un nouveau joueur en tant que milieu offensif central de son équipe, Antoine Griezmann ayant abandonné sa carrière internationale. En l'occurrence, c'était enfin un vrai numéro 10, puisque Christopher Nkunku a évolué dans l’axe contre l'Italie, ce dimanche à San Siro, en clôture de la phase de groupes de la Ligue des nations.
La « promotion » de Nkunku n’est pas anodine pour une telle affiche (la première place du groupe était en jeu, avec une victoire par deux buts d’écart nécessaire pour la France). D’abord, le joueur de Chelsea est un vrai milieu offensif, contrairement à Guendouzi, qui est néanmoins excellent dans le pressing dans un rôle avancé en phase défensive, et Zaïre-Emery, qui est un vrai milieu relayeur et qui joue rarement plus haut (il est même parfois défenseur droit/milieu défensif aux yeux de Luis Enrique).
Le staff tricolore a surtout octroyé une liberté totale au joueur formé au PSG, comme c’était autrefois le cas pour Antoine Griezmann (puis Kylian Mbappé). Numéro 10 dans le dos, Nkunku a évolué plein axe, en soutien de ses deux compères offensifs du jour, Randal Kolo Muani et Marcus Thuram, plutôt attaquants droit et gauche d’un 4-3-1-2 qu’ailiers d’un 4-3-3. Il a fait peu de différences par la passe et les tirs, certes, mais les visiteurs hexagonaux ont ouvert le score d’entrée par Adrien Rabiot sur un corner de Lucas Digne (3e).
Nkunku a une énorme carte à jouer pour la suite de la saison de l’équipe de France, qui se poursuivra avec les quarts de finale de cette Ligue des nations en mars prochain (une confrontation aller-retour) ainsi qu’un éventuel Final Four en cas de qualification. Il est l’un des rares joueurs offensifs du groupe à savoir demander la balle dans l’interligne (dans le dos du milieu adverse). Il s’agit d’un aspect incontournable du football offensif pratiqué par Leipzip en Bundesliga, notamment sous les ordres du stratège Julian Nagelsmann, son coach durant deux ans.
Après Mattéo Guendouzi lors de ses deux titularisations contre la Belgique et Warren Zaïre-Emery lors du piteux résultat nul contre Israël (0-0) jeudi dernier au Stade de France, Didier Deschamps a installé un nouveau joueur en tant que milieu offensif central de son équipe, Antoine Griezmann ayant abandonné sa carrière internationale. En l'occurrence, c'était enfin un vrai numéro 10, puisque Christopher Nkunku a évolué dans l’axe contre l'Italie, ce dimanche à San Siro, en clôture de la phase de groupes de la Ligue des nations.
La « promotion » de Nkunku n’est pas anodine pour une telle affiche (la première place du groupe était en jeu, avec une victoire par deux buts d’écart nécessaire pour la France). D’abord, le joueur de Chelsea est un vrai milieu offensif, contrairement à Guendouzi, qui est néanmoins excellent dans le pressing dans un rôle avancé en phase défensive, et Zaïre-Emery, qui est un vrai milieu relayeur et qui joue rarement plus haut (il est même parfois défenseur droit/milieu défensif aux yeux de Luis Enrique).
Carte blanche comme pour Griezmann
Le staff tricolore a surtout octroyé une liberté totale au joueur formé au PSG, comme c’était autrefois le cas pour Antoine Griezmann (puis Kylian Mbappé). Numéro 10 dans le dos, Nkunku a évolué plein axe, en soutien de ses deux compères offensifs du jour, Randal Kolo Muani et Marcus Thuram, plutôt attaquants droit et gauche d’un 4-3-1-2 qu’ailiers d’un 4-3-3. Il a fait peu de différences par la passe et les tirs, certes, mais les visiteurs hexagonaux ont ouvert le score d’entrée par Adrien Rabiot sur un corner de Lucas Digne (3e).
Nkunku a une énorme carte à jouer pour la suite de la saison de l’équipe de France, qui se poursuivra avec les quarts de finale de cette Ligue des nations en mars prochain (une confrontation aller-retour) ainsi qu’un éventuel Final Four en cas de qualification. Il est l’un des rares joueurs offensifs du groupe à savoir demander la balle dans l’interligne (dans le dos du milieu adverse). Il s’agit d’un aspect incontournable du football offensif pratiqué par Leipzip en Bundesliga, notamment sous les ordres du stratège Julian Nagelsmann, son coach durant deux ans.
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