Le PSG peut y croire très fort

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Vainqueur 1-0 sur la pelouse d'Arsenal en demi-finale aller de Ligue des champions, grâce à Ousmane Dembélé, le Paris Saint-Germain a pris une très belle option sur la finale avant le match retour mercredi prochain.
Le Paris Saint-Germain n'avait jamais connu cela. Le club de la capitale, avant ce mardi soir, n'avait jamais remporté une demi-finale aller de Ligue des champions. Lors de sa seule finale de C1 à ce jour, le PSG avait battu Leipzig (3-0) sur un match sec, l'année Covid. Sinon, les Rouge et Bleu n'ont connu que des défaites, contre Milan, Manchester City et Dortmund, à l'aller comme au retour.
Alors cela ne veut pas dire que le PSG sera bien à Munich à la fin du mois de mai, mais c'est une excellente manière d'entamer cette confrontation aller-retour. Comme l'a été la façon dont les hommes de Luis Enrique sont entrés dans le match: une longue phase de possession, une une-deux entre Ousmane Dembélé et Khvicha Kvaratskhelia, et l'ouverture du score de l'international français (0-1, 4e).
https://x.com/CanalplusFoot/status/1917295380569501736
Moins fringant en Ligue 1 depuis qu'il est assuré du titre de champion de France, le PSG a été impressionnant pendant 35 minutes, maître du jeu, comme il l'a souvent été en 2025. Il y aurait pu avoir un penalty sur Kvaratskhelia (16e), ou un but de Désiré Doué, qui a buté sur David Raya (31e).
Brillant tombeur du Real Madrid au tour précédent, Arsenal s'est soudainement réveillé en fin de première période, après une action litigieuse entre Joao Neves sur Mikel Merino dans la surface parisienne (38e). Les Gunners ont eu leurs premières occasions (40e, 41e), et Gianluigi Donnarumma, dans la lignée des prestations XXL à Anfield ou à Villa Park, a sorti le grand jeu devant Gabriel Martinelli (45e).
Pour une fois, le PSG a accepté de laisser un peu le ballon, pour économiser quelques forces au pressing. Cela aurait pu se payer, si Mikel Merino n'avait pas été signalé hors-jeu sur le but de l'égalisation (47e). Ou si Donnarumma, décidément, n'était pas aussi inspiré dans les face à face, comme l'a constaté à son tour Léandro Trossard (55e).
Alors que le 1-0 n'était pas cher payé après 30 minutes, pendant que le 1-1 était proche ensuite, le PSG a frôlé le 2-0 en fin de rencontre, quand Bradley Barcola (sur une action où il y avait sans doute hors-jeu) a vu sa frappe frôler le poteau (84e) ou quand Gonçalo Ramos a envoyé un missile sur la barre (85e).
C'est le match retour qui dira si le PSG doit regretter ces situations. Les champions de France, qui attendront aussi des nouvelles d'Ousmane Dembélé sorti sur blessure (70e), ont le droit d'y croire très fort pendant une semaine. Ils auraient signé tous les jours pour un tel résultat au match aller. Mais le PSG, mieux que personne, sait que rien n'est fait après 90 minutes en Ligue des champions.
Le Paris Saint-Germain n'avait jamais connu cela. Le club de la capitale, avant ce mardi soir, n'avait jamais remporté une demi-finale aller de Ligue des champions. Lors de sa seule finale de C1 à ce jour, le PSG avait battu Leipzig (3-0) sur un match sec, l'année Covid. Sinon, les Rouge et Bleu n'ont connu que des défaites, contre Milan, Manchester City et Dortmund, à l'aller comme au retour.
Alors cela ne veut pas dire que le PSG sera bien à Munich à la fin du mois de mai, mais c'est une excellente manière d'entamer cette confrontation aller-retour. Comme l'a été la façon dont les hommes de Luis Enrique sont entrés dans le match: une longue phase de possession, une une-deux entre Ousmane Dembélé et Khvicha Kvaratskhelia, et l'ouverture du score de l'international français (0-1, 4e).
https://x.com/CanalplusFoot/status/1917295380569501736
Moins fringant en Ligue 1 depuis qu'il est assuré du titre de champion de France, le PSG a été impressionnant pendant 35 minutes, maître du jeu, comme il l'a souvent été en 2025. Il y aurait pu avoir un penalty sur Kvaratskhelia (16e), ou un but de Désiré Doué, qui a buté sur David Raya (31e).
Brillant tombeur du Real Madrid au tour précédent, Arsenal s'est soudainement réveillé en fin de première période, après une action litigieuse entre Joao Neves sur Mikel Merino dans la surface parisienne (38e). Les Gunners ont eu leurs premières occasions (40e, 41e), et Gianluigi Donnarumma, dans la lignée des prestations XXL à Anfield ou à Villa Park, a sorti le grand jeu devant Gabriel Martinelli (45e).
Le PSG a eu des balles de 2-0
Pour une fois, le PSG a accepté de laisser un peu le ballon, pour économiser quelques forces au pressing. Cela aurait pu se payer, si Mikel Merino n'avait pas été signalé hors-jeu sur le but de l'égalisation (47e). Ou si Donnarumma, décidément, n'était pas aussi inspiré dans les face à face, comme l'a constaté à son tour Léandro Trossard (55e).
Alors que le 1-0 n'était pas cher payé après 30 minutes, pendant que le 1-1 était proche ensuite, le PSG a frôlé le 2-0 en fin de rencontre, quand Bradley Barcola (sur une action où il y avait sans doute hors-jeu) a vu sa frappe frôler le poteau (84e) ou quand Gonçalo Ramos a envoyé un missile sur la barre (85e).
C'est le match retour qui dira si le PSG doit regretter ces situations. Les champions de France, qui attendront aussi des nouvelles d'Ousmane Dembélé sorti sur blessure (70e), ont le droit d'y croire très fort pendant une semaine. Ils auraient signé tous les jours pour un tel résultat au match aller. Mais le PSG, mieux que personne, sait que rien n'est fait après 90 minutes en Ligue des champions.
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