Lamine Yamal se paie Adrien Rabiot !

Publié le , mis à jour le
Auteur du but de l’égalisation d’une frappe splendide, Lamine Yamal s’est fendu d’un message sur les réseaux sociaux à destination d’Adrien Rabiot.
L’Espagne s’est trouvé un nouvel héros. Lamine Yamal a beau n’avoir que 16 ans, le jeune ailier a fait basculer la demi-finale contre la France en égalisant alors que la Roja était à la peine et menée depuis l’ouverture du score précoce de Randal Kolo Muani. Un but qui ne doit rien à personne.
A vingt mètres de la cage de Mike Maignan, le Barcelonais a profité d’un certain relâchement de la défense tricolore pour expédier une frappe merveilleuse dans la lucarne du gardien français, le ballon touchant le poteau avant de faire trembler les filets. Cinq minutes plus tard, Dani Olmo doublait la mise et assurait la qualification des Espagnols pour la finale, dimanche.
Lamine Yamal, qui s’apprête à fêter son 17e anniversaire, pouvait exulter. « Je suis extrêmement content de partager ce moment avec l'équipe, je savoure la victoire. Ce que je veux pour mon anniversaire ? Gagner, gagner, gagner. Ce sera un bonheur de fêter mon anniversaire en Allemagne avec l'équipe », a-t-il confié auprès de l’UEFA. Le jeune Catalan s’était montré un peu moins amène face aux caméras au coup de sifflet final.
« Parlez, parlez ! », a-t-il lancé dans un grand sourire. Pour les médias ibériques, cela ne fait aucun doute: ces mots étaient destinés à Adrien Rabiot, qui avait mis la pression sur le jeune Espagnol en conférence de presse.
« On a vu que c'est un joueur qui sait très bien gérer la pression, qui a beaucoup de qualités, qui est capable de jouer aussi bien en club que dans un tournoi majeur comme il sait le faire, avec ses qualités, sans pression. Après c'est toujours compliqué de gérer une demi-finale dans un tournoi comme ça », avait confié l’ancien Parisien, ajoutant : « Je pense que ce sera surtout à nous de lui mettre la pression, d'être là, de ne pas le laisser dans le confort et de lui montrer que pour jouer une finale d'Euro, il faudra en faire bien plus que ce qu'il a fait jusqu'à présent. » Des mots qui ont visiblement motivé le prodige espagnol.
L’Espagne s’est trouvé un nouvel héros. Lamine Yamal a beau n’avoir que 16 ans, le jeune ailier a fait basculer la demi-finale contre la France en égalisant alors que la Roja était à la peine et menée depuis l’ouverture du score précoce de Randal Kolo Muani. Un but qui ne doit rien à personne.
A vingt mètres de la cage de Mike Maignan, le Barcelonais a profité d’un certain relâchement de la défense tricolore pour expédier une frappe merveilleuse dans la lucarne du gardien français, le ballon touchant le poteau avant de faire trembler les filets. Cinq minutes plus tard, Dani Olmo doublait la mise et assurait la qualification des Espagnols pour la finale, dimanche.
Lamine Yamal, qui s’apprête à fêter son 17e anniversaire, pouvait exulter. « Je suis extrêmement content de partager ce moment avec l'équipe, je savoure la victoire. Ce que je veux pour mon anniversaire ? Gagner, gagner, gagner. Ce sera un bonheur de fêter mon anniversaire en Allemagne avec l'équipe », a-t-il confié auprès de l’UEFA. Le jeune Catalan s’était montré un peu moins amène face aux caméras au coup de sifflet final.
Lamine Yamal avait un message pour Adrien Rabiot
« Parlez, parlez ! », a-t-il lancé dans un grand sourire. Pour les médias ibériques, cela ne fait aucun doute: ces mots étaient destinés à Adrien Rabiot, qui avait mis la pression sur le jeune Espagnol en conférence de presse.
« On a vu que c'est un joueur qui sait très bien gérer la pression, qui a beaucoup de qualités, qui est capable de jouer aussi bien en club que dans un tournoi majeur comme il sait le faire, avec ses qualités, sans pression. Après c'est toujours compliqué de gérer une demi-finale dans un tournoi comme ça », avait confié l’ancien Parisien, ajoutant : « Je pense que ce sera surtout à nous de lui mettre la pression, d'être là, de ne pas le laisser dans le confort et de lui montrer que pour jouer une finale d'Euro, il faudra en faire bien plus que ce qu'il a fait jusqu'à présent. » Des mots qui ont visiblement motivé le prodige espagnol.
Publicité