« Je suis devenu fou »: Filles et alcool, cet ex de l’OM raconte
C’est l’un des joueurs qui a marqué le championnat de France lors de la première décennie du XXIe siècle. Champion de France à deux reprises (en 2009 avec Bordeaux et 2010 avec Marseille), Souleymane Diawara a également glané quatre Coupes de la Ligue et trois Trophées des champions. Le puissant défenseur sénégalais a même eu droit à certains honneurs du côté de l’OM, puisque son numéro a été retiré (avant d’être réattribué à Patrice Evra en 2017). Mais l’homme est également connu pour son amour de la fête. Et il en a raconté une.
Dans un entretien publié dimanche par L’Équipe, Souleymane Diawara a donc évoqué une soirée datant de 2004, au moment de la victoire de Sochaux en Coupe de la Ligue. « Le président Plessis, avec son cigare, nous a tous emmenés au Duplex, une boîte située près de l’Arc de Triomphe. Je connaissais à peine Paris et là, je suis devenu fou en découvrant des filles sapées comme jamais, l’alcool à volonté, la classe de l’endroit…»
Impressionné par Brandao
Une soirée gravée à jamais dans la mémoire de l’ancien défenseur désormais âgé de quarante-cinq ans. « Moi, j’étais habitué à la ‘Belle Époque’, ce n’était pas le même standing disons. Donc tout est de la faute de Plessis (sourire). C’est lui qui m’a fait goûter aux nuits parisiennes. » Pour autant, Diawara ne se considère pas comme le fêtard ultime. Un titre qu’il décernerait plus volontiers à un ancien coéquipier de l’OM, Brandao.
« Certains étaient pires que moi, mais comme ils sont devenus entraîneurs, on ne va pas les griller. Mais je peux citer Brandao, qui m’impressionnait parce qu’il sortait en semaine. […] Je captais toujours Brandao à l’entraînement quand il était sorti la veille. Entre fêtards, il y a des regards qui ne trompent pas… » Aujourd’hui, et comme le rapporte le quotidien sportif, Souleymane Diawara a troqué son short et ses crampons contre un costume de patron. Il gère des sociétés de ramassage d’ordures dont l’activité se concentre au Sénégal ,en Guiniée Conakry et au Togo.
