Gros problème avant Arsenal-PSG !
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Avant la demi-finale aller de Ligue des champions entre Arsenal et le PSG, une grosse faiblesse vient d'être identifiée dans l'une des deux équipes.
Ils ne sont pas facile à gérer, ces fameux "matches d'avant". En pensant surtout à sa demi-finale de Ligue des champions à venir contre Arsenal, le PSG a joué au petit trot à Nantes (1-1) mardi soir, et Luis Enrique devrait continuer à gérer le temps de jeu de ses hommes vendredi contre Nice.
Pour les Gunners, c'est un peu la même chose. Les hommes de Mikel Arteta semblent promis à la deuxième place en Premier League, une nouvelle fois. Et le match nul concédé mercredi soir contre Crystal Palace (2-2) n'a pas été vécu comme un drame. En revanche, une séquence a beaucoup fait parler.
Sur le but égalisateur des Eagles, William Saliba est clairement coupable, avec une perte de balle dans une zone critique. Mais ce qu'il faut aussi voir, c'est le geste de Jean-Philippe Mateta, qui a immédiatement lobé David Raya. Inspiration géniale ou geste prémédité ? Le verdict est tombé après la rencontre.
https://x.com/CPFC/status/1915178877447807296
Ce but ne doit rien au hasard, car l'adversaire d'Arsenal avait vu que les Gunners étaient vulnérables sur cette phase de jeu. "Nous avions montré cela aux joueurs en préparant le match, explique le coach de Crystal Palace, Oliver Glasner. Nous leur avons montré que Raya jouait souvent très haut, loin de sa ligne."
Les Londoniens (du Sud) avaient donc pour consigner de tirer rapidement à la récupération du ballon, en espérant surprendre le gardien des Gunners. La situation s'est produite à trois reprises, selon Glasner. "La première fois, Justin Devenny ne l'avait pas remarquée (la position de Raya, ndlr). Adam Wharton a frappé au but en première mi-temps, en touchant Thomas Partey, ce qui aurait été très dangereux. Puis nous avons eu notre troisième occasion et JP (Mateta) a réalisé une finition incroyable."
Mikel Arteta aime voir David Raya, à l'aise avec les pieds, venir participer à la construction du jeu. Mais face au pressing des joueurs du PSG, souvent mené par Ousmane Dembélé, le coach espagnol donnera-t-il des consignes plus prudentes à son gardien ?
Ils ne sont pas facile à gérer, ces fameux "matches d'avant". En pensant surtout à sa demi-finale de Ligue des champions à venir contre Arsenal, le PSG a joué au petit trot à Nantes (1-1) mardi soir, et Luis Enrique devrait continuer à gérer le temps de jeu de ses hommes vendredi contre Nice.
Pour les Gunners, c'est un peu la même chose. Les hommes de Mikel Arteta semblent promis à la deuxième place en Premier League, une nouvelle fois. Et le match nul concédé mercredi soir contre Crystal Palace (2-2) n'a pas été vécu comme un drame. En revanche, une séquence a beaucoup fait parler.
Sur le but égalisateur des Eagles, William Saliba est clairement coupable, avec une perte de balle dans une zone critique. Mais ce qu'il faut aussi voir, c'est le geste de Jean-Philippe Mateta, qui a immédiatement lobé David Raya. Inspiration géniale ou geste prémédité ? Le verdict est tombé après la rencontre.
https://x.com/CPFC/status/1915178877447807296
Ce but ne doit rien au hasard, car l'adversaire d'Arsenal avait vu que les Gunners étaient vulnérables sur cette phase de jeu. "Nous avions montré cela aux joueurs en préparant le match, explique le coach de Crystal Palace, Oliver Glasner. Nous leur avons montré que Raya jouait souvent très haut, loin de sa ligne."
Une faiblesse à exploiter pour le PSG ?
Les Londoniens (du Sud) avaient donc pour consigner de tirer rapidement à la récupération du ballon, en espérant surprendre le gardien des Gunners. La situation s'est produite à trois reprises, selon Glasner. "La première fois, Justin Devenny ne l'avait pas remarquée (la position de Raya, ndlr). Adam Wharton a frappé au but en première mi-temps, en touchant Thomas Partey, ce qui aurait été très dangereux. Puis nous avons eu notre troisième occasion et JP (Mateta) a réalisé une finition incroyable."
Mikel Arteta aime voir David Raya, à l'aise avec les pieds, venir participer à la construction du jeu. Mais face au pressing des joueurs du PSG, souvent mené par Ousmane Dembélé, le coach espagnol donnera-t-il des consignes plus prudentes à son gardien ?
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