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Eric Di Meco, la profonde émotion

Eric Di Meco, la profonde émotion
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C’est un aveu bouleversant dont s’est fendu Eric Di Meco vendredi en marge du 125e anniversaire de l’OM.
Comptant parmi les symboles de l’OM conquérant qui en 1993 s’adjugea la Ligue des champions, par ailleurs sacré champion de France à cinq reprises et lauréat de la Coupe de France 1989, Eric Di Meco reste très attaché aux couleurs phocéennes. D’autant qu’il a connu l’ascension fulgurante d’un club qui a bien failli disparaître dans les années 80.

Aujourd’hui consultant, sur l’antenne de RMC notamment, après avoir évolué dans le milieu politique en tant qu’adjoint à la mairie de Marseille, l’ancien défenseur latéral gauche, 23 fois capé en équipe de France, était évidemment de la partie vendredi pour célébrer les 125 ans de l’OM organisés au Vélodrome.

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S’il n’a pas participé au match des légendes – blessure de guerre oblige – l’intéressé a animé la soirée aux commentaires pour BFM et RMC Découverte. Non sans se laisser aller à un aveu poignant en marge des festivités.

Di Meco: « J'ai dit à mes enfants que je le voulais »


Dans le cadre de l’émission Rothen S'enflamme, Eric Di Meco a confessé sa volonté d’avoir à sa mort ses cendres dispersées au stade Vélodrome, un lieu qui lui est cher. Alors que la pratique – parfois souhaitée par des fans – est totalement interdite en France, l’ancien minot s’interroge sur la possibilité d’une « dérogation ».

« En Angleterre, certains clubs permettent ce genre d’hommage », souffle-t-il, citant l’exemple de Manchester City « où il y a l'entrée des médias et sur le côté, il y a un petit endroit où des gens sont incinérés ». « Je ne sais pas si j'aurais la permission de le faire à l'OM, mais j'ai dit à mes enfants que je le voulais », conclut-il.
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