De Zerbi règle ses comptes après la qualification en C1

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Après la victoire de l’OM sur le Havre samedi soir en Ligue 1 (1-3), Roberto De Zerbi n’a pas manqué de glisser un tacle aux journalistes.
L’Olympique de Marseille retrouve la C1. Grâce à leur succès au Havre (1-3), samedi soir à l’occasion de la 33e et avant-dernière journée de Ligue 1, les Phocéens sont assurés de disputer la prochaine campagne de Ligue des champions. Ce qui était l’objectif affiché en début de saison.
Une qualification que Roberto De Zerbi a longuement fêté avec ses joueurs sur la pelouse du stade Océane, ainsi qu’avec les nombreux supporters marseillais qui avaient fait le déplacement en Normandie. Soulagé, le coach italien a ensuite réglé ses comptes avec la presse.
https://x.com/sports_fr/status/1921398689337123134
« On a vu que c'était une famille sur le terrain. Regardez Rabiot, Hojberg, Greenwood... On a gagné. Voilà, c'est pour ça que j'ai pris cette décision (le stage à Rome, ndlr). Ce n'est pas vrai que les joueurs étaient contre moi. Ça m'a fait du mal (de le lire). Il n'y a jamais eu de mutinerie, il n'y a jamais eu de problème », a ainsi lâché l’ancien coach de Brighton au micro de DAZN, faisant référence aux tensions au sien du groupe marseillais évoquées par les médias après la défaite à Reims (3-1) le 29 mars dernier.
« RDZ » est ensuite revenu sur les bienfaits de la mise au vert à Rome: « Je crois que l'entraineur doit comprendre les moments déterminants. Au début de la saison, on avait des problèmes au Vélodrome, le ballon leur brûlait les pieds, on tremblait un peu, c'était dur. On en a parlé, on est restés ensemble, unis. Sans mettre le foot avant d'autres choses. On a dîné ensemble, passé beaucoup de bons moments ensemble. On s'est moins entraîné mais on a beaucoup travaillé sur l'union. »
Enfin, le technicien de 45 ans a affiché ses ambitions en vue du dernier match de la saison le week-end prochain face à Rennes. « Ce n'est pas fini, on doit encore finir 2e (Monaco est 3e à un point, ndlr), a-t-il assuré. La Ligue 1, c'est difficile. Combien de joueurs on a changés, combien d'évolutions dans le jeu on a eues, combien de problèmes on a dû surmonter, combien c'est difficile à Marseille... Je crois qu'on a fait quelque chose de très grand. »
L’Olympique de Marseille retrouve la C1. Grâce à leur succès au Havre (1-3), samedi soir à l’occasion de la 33e et avant-dernière journée de Ligue 1, les Phocéens sont assurés de disputer la prochaine campagne de Ligue des champions. Ce qui était l’objectif affiché en début de saison.
Une qualification que Roberto De Zerbi a longuement fêté avec ses joueurs sur la pelouse du stade Océane, ainsi qu’avec les nombreux supporters marseillais qui avaient fait le déplacement en Normandie. Soulagé, le coach italien a ensuite réglé ses comptes avec la presse.
https://x.com/sports_fr/status/1921398689337123134
« On a vu que c'était une famille sur le terrain. Regardez Rabiot, Hojberg, Greenwood... On a gagné. Voilà, c'est pour ça que j'ai pris cette décision (le stage à Rome, ndlr). Ce n'est pas vrai que les joueurs étaient contre moi. Ça m'a fait du mal (de le lire). Il n'y a jamais eu de mutinerie, il n'y a jamais eu de problème », a ainsi lâché l’ancien coach de Brighton au micro de DAZN, faisant référence aux tensions au sien du groupe marseillais évoquées par les médias après la défaite à Reims (3-1) le 29 mars dernier.
De Zerbi: « Ça m'a fait du mal »
« RDZ » est ensuite revenu sur les bienfaits de la mise au vert à Rome: « Je crois que l'entraineur doit comprendre les moments déterminants. Au début de la saison, on avait des problèmes au Vélodrome, le ballon leur brûlait les pieds, on tremblait un peu, c'était dur. On en a parlé, on est restés ensemble, unis. Sans mettre le foot avant d'autres choses. On a dîné ensemble, passé beaucoup de bons moments ensemble. On s'est moins entraîné mais on a beaucoup travaillé sur l'union. »
Enfin, le technicien de 45 ans a affiché ses ambitions en vue du dernier match de la saison le week-end prochain face à Rennes. « Ce n'est pas fini, on doit encore finir 2e (Monaco est 3e à un point, ndlr), a-t-il assuré. La Ligue 1, c'est difficile. Combien de joueurs on a changés, combien d'évolutions dans le jeu on a eues, combien de problèmes on a dû surmonter, combien c'est difficile à Marseille... Je crois qu'on a fait quelque chose de très grand. »
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