Bixente Lizarazu, grosse bagarre confirmée !
Publié le
Pour l’ancien international tricolore, la première confrontation entre Arsenal et le PSG a bien donné lieu à une lutte acharnée pour le contrôle du ballon
Le PSG a frappé un grand coup, mardi, lors de la première manche de sa demi-finale de Ligue des champions face à Arsenal. En déplacement sur la pelouse de l’Emirates Stadium, le club de la capitale l’a en effet emporté 1-0 grâce à un but d’Ousmane Dembélé inscrit dès la 5e minute.
Et si les Parisiens ont levé le pied en seconde période, ils ont été tout particulièrement impressionnants avant la pause, se montrant intraitables dans le pressing et asphyxiant leurs hôtes, obligés de jouer en contre. Une prestation de haute volée saluée par Bixente Lizarazu, qui se dit même « confiant » pour le match retour au vu de la bataille remportée par les champions de France au pour le contrôle du ballon.
https://x.com/sports_fr/status/1917423222544347335
« À l'extérieur, ils ont montré une supériorité évidente sur la première période et une capacité à résister sans trop de problème sur la seconde. Arsenal sort de ce match-là inquiet, en se disant : "ouah, comment on fait ?". C'est quelque chose de positif sur le plan psychologique. Et on savait qu'il y aurait une grosse bagarre pour le contrôle du ballon. La bataille a été gagnée par le PSG, a-t-il ainsi confié dans les colonnes de L’Equipe. Et à partir du moment où ils ont le contrôle du jeu, ils peuvent gérer le tempo, s'enlever de la pression. La possession, c'est un peu comme un thermostat, quand il y a le feu, tu enclenches la possession et tu réduis la température.
« C'est un très bon résultat. Il ne faut pas oublier la façon dont Arsenal a éliminé le Real, a-t-il insisté. Paris a été dominant en première période dans tous les compartiments du jeu. Ils ont fait un pressing très agressif, très haut, qui a posé beaucoup de problèmes à Arsenal. Les Gunners se sont fait étouffer par ce pressing. »,
La seconde période a certes été plus compliquée pour les hommes de Luis Enrique, Arsenal ayant repris le contrôle du ballon. Mais la défense parisienne, certes mise en difficultés sur les coups de pied arrêtés, a tenu le choc et Gianluigi Donnarumma a sorti deux arrêts qui font toute la différence.
« Ce que j'ai aimé, et c'est ce que j'aime dans ce PSG, c'est que quand ils sont en difficulté, ils ne craquent pas, ils ne lâchent pas, il y a beaucoup de solidarité, ils savent souffrir ensemble, a encore souligné l’ancien défenseur de l’équipe de France. Même si Arsenal a plus eu le contrôle du jeu en seconde période, ils n'ont pas été efficaces devant, à part sur coups de pied arrêtés. On peut encore dire merci Donnarumma, qui enchaîne les grosses prestations. »
Le PSG a frappé un grand coup, mardi, lors de la première manche de sa demi-finale de Ligue des champions face à Arsenal. En déplacement sur la pelouse de l’Emirates Stadium, le club de la capitale l’a en effet emporté 1-0 grâce à un but d’Ousmane Dembélé inscrit dès la 5e minute.
Et si les Parisiens ont levé le pied en seconde période, ils ont été tout particulièrement impressionnants avant la pause, se montrant intraitables dans le pressing et asphyxiant leurs hôtes, obligés de jouer en contre. Une prestation de haute volée saluée par Bixente Lizarazu, qui se dit même « confiant » pour le match retour au vu de la bataille remportée par les champions de France au pour le contrôle du ballon.
https://x.com/sports_fr/status/1917423222544347335
« À l'extérieur, ils ont montré une supériorité évidente sur la première période et une capacité à résister sans trop de problème sur la seconde. Arsenal sort de ce match-là inquiet, en se disant : "ouah, comment on fait ?". C'est quelque chose de positif sur le plan psychologique. Et on savait qu'il y aurait une grosse bagarre pour le contrôle du ballon. La bataille a été gagnée par le PSG, a-t-il ainsi confié dans les colonnes de L’Equipe. Et à partir du moment où ils ont le contrôle du jeu, ils peuvent gérer le tempo, s'enlever de la pression. La possession, c'est un peu comme un thermostat, quand il y a le feu, tu enclenches la possession et tu réduis la température.
Bixente Lizarazu a aimé la solidarité des Parisiens
« C'est un très bon résultat. Il ne faut pas oublier la façon dont Arsenal a éliminé le Real, a-t-il insisté. Paris a été dominant en première période dans tous les compartiments du jeu. Ils ont fait un pressing très agressif, très haut, qui a posé beaucoup de problèmes à Arsenal. Les Gunners se sont fait étouffer par ce pressing. »,
La seconde période a certes été plus compliquée pour les hommes de Luis Enrique, Arsenal ayant repris le contrôle du ballon. Mais la défense parisienne, certes mise en difficultés sur les coups de pied arrêtés, a tenu le choc et Gianluigi Donnarumma a sorti deux arrêts qui font toute la différence.
« Ce que j'ai aimé, et c'est ce que j'aime dans ce PSG, c'est que quand ils sont en difficulté, ils ne craquent pas, ils ne lâchent pas, il y a beaucoup de solidarité, ils savent souffrir ensemble, a encore souligné l’ancien défenseur de l’équipe de France. Même si Arsenal a plus eu le contrôle du jeu en seconde période, ils n'ont pas été efficaces devant, à part sur coups de pied arrêtés. On peut encore dire merci Donnarumma, qui enchaîne les grosses prestations. »
Publicité
