Adil Rami, le douloureux divorce confirmé

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Une mauvaise nouvelle pour Adil Rami a été actée par la justice dernièrement.
Pour Adil Rami, c’est terminé… La cour d’appel d’Aix-en-Provence a confirmé le jugement prononcé en première instance dans le litige qui opposait l’ancien défenseur à l’Olympique de Marseille. Alors que le joueur réclamait aux prud'hommes 7,5 millions d’euros de dommages et intérêts, la responsabilité pleine et entière de son licenciement par le club phocéen a été retenue.
Victime d’un licenciement abusif selon lui, Adil Rami a été débouté de sa demande. Pire, la justice a validé ses manquements professionnels et l’a condamné à verser 3 000 euros à l’OM. Pour justifier son verdict établi le 25 avril dernier et révélé ce samedi par L’Equipe, la cour d’appel d’Aix-en-Provence rappelle des faits pour le moins accablants.
https://x.com/sports_fr/status/1918680928907358523
Le 18 mai 2019, le champion du monde 2018 se blesse lors d’un match contre Toulouse. Souffrant d’un œdème à un pied, il participera tout de même sans en informer son club au jeu télévisé Fort Boyard, deux jours plus tard. Se livrant alors à des activités « de nature à aggraver sa blessure », rapporte le tribunal.
Dans la foulée, Adil Rami manquera la dernière journée de championnat pour s’afficher dans le même temps au bras de Pamela Anderson lors d’un gala organisé à Monaco. Une attitude « déloyale », selon la justice, qui a par ailleurs noté les égarements du garçon sur les réseaux sociaux alors que son contrat olympien l’engageait à une certaine retenue médiatique.
Aux yeux des juges, « de graves manquements sur le plan médical, sportif et médiatique » ont donc validé la décision de l’OM à l’époque. Sans contestation possible pour le joueur. Faute d’avoir produit ses fiches d’imposition, Adil Rami doit par ailleurs renoncer aux 238 000 euros que lui avait accordés la cour en première instance, au titre de la garantie de rémunération annuelle. L’ancien Lillois garde l’option d’un pourvoi en cassation.
Pour Adil Rami, c’est terminé… La cour d’appel d’Aix-en-Provence a confirmé le jugement prononcé en première instance dans le litige qui opposait l’ancien défenseur à l’Olympique de Marseille. Alors que le joueur réclamait aux prud'hommes 7,5 millions d’euros de dommages et intérêts, la responsabilité pleine et entière de son licenciement par le club phocéen a été retenue.
Victime d’un licenciement abusif selon lui, Adil Rami a été débouté de sa demande. Pire, la justice a validé ses manquements professionnels et l’a condamné à verser 3 000 euros à l’OM. Pour justifier son verdict établi le 25 avril dernier et révélé ce samedi par L’Equipe, la cour d’appel d’Aix-en-Provence rappelle des faits pour le moins accablants.
https://x.com/sports_fr/status/1918680928907358523
Le 18 mai 2019, le champion du monde 2018 se blesse lors d’un match contre Toulouse. Souffrant d’un œdème à un pied, il participera tout de même sans en informer son club au jeu télévisé Fort Boyard, deux jours plus tard. Se livrant alors à des activités « de nature à aggraver sa blessure », rapporte le tribunal.
Les "graves manquements" de Rami
Dans la foulée, Adil Rami manquera la dernière journée de championnat pour s’afficher dans le même temps au bras de Pamela Anderson lors d’un gala organisé à Monaco. Une attitude « déloyale », selon la justice, qui a par ailleurs noté les égarements du garçon sur les réseaux sociaux alors que son contrat olympien l’engageait à une certaine retenue médiatique.
Aux yeux des juges, « de graves manquements sur le plan médical, sportif et médiatique » ont donc validé la décision de l’OM à l’époque. Sans contestation possible pour le joueur. Faute d’avoir produit ses fiches d’imposition, Adil Rami doit par ailleurs renoncer aux 238 000 euros que lui avait accordés la cour en première instance, au titre de la garantie de rémunération annuelle. L’ancien Lillois garde l’option d’un pourvoi en cassation.
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