Van der Poel survole le GP E3

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Six jours après avoir dompté Tadej Pogacar pour remporter son deuxième Milan - San Remo, Mathieu van der Poel a de nouveau écrasé toute la concurrence ce jeudi lors du Grand Prix E3, auquel il a jouté son nom au palmarès pour la deuxième année de suite. Le monstrueux Néerlandais a fait craquer ses rivaux à quarante kilomètres de l'arrivée avant de s'offrir un somptueux numéro en solitaire couronné de sa 53e victoire.
Mathieu van der Poel encore en démonstration. Six jours après avoir remporté Milan - San Remo pour la deuxième fois de sa carrière à l'issue d'un duel épique avec Tadej Pogacar, dont les nombreuses attaques n'avaient pas eu d'effet sur la solidité du surpuissant Néerlandais, ce dernier n'a de nouveau laissé aucune chance à ses rivaux, ce jeudi sur le Grand Prix E3, qu'il a écrasé avec la même supériorité qu'il ne l'avait fait l'année dernière alors qu'il n'avait pas encore goûté à la victoire dans cette course, même s'il avait terminé sur le podium lors de ses deux premières participations.
Il s'en est même fallu de quelques kilomètres uniquement que l'indiscutable leader de l'équipe Alpecin-Deceuninck, assurément le meilleur coureur de classiques avec Pogacar et Wout Van Aert, incapable de suivre le rythme jeudi, ne fasse craquer les rares et seuls coureurs qui étaient parvenus à l'accompagner encore à ce moment de l'épreuve au même moment que lors de son succès de 2024. Si "VDP", qui compte désormais 53 victoires chez les professionnels, avait choisi d'attaquer dans le Paterberg l'année dernière, c'est au pied du Vieux Quaremont, à savoir au plus fort des pourcentages proposés par cette principale difficulté du jour, que le double vainqueur du Paris-Roubaix et triple lauréat du Tour des Flandres a porté cette fois son accélération.
En annonçant avant le départ qu'il ne sortirait pas dans le Paterberg ce jeudi, l'ancien champion du monde ne s'était de toute façon pas caché de la stratégie pour laquelle il avait de fortes chances d'opter. Van der Poel avait prouvé la saison dernière sur ce même Grand Prix E3 que passer plus de quarante kilomètres seul à l'avant n'était aucunement de nature à lui faire peur ou à le refroidir. Un an après être devenu le coureur ayant fourni le plus long effort solitaire avant de lever les bras ensuite sur la ligne d'arrivée, le petit-fils du regretté Raymond Poulidor, immense favori à sa propre succession, n'a donc pas hésité à se relancer dans le même pari, même toujours aussi osé.
Un temps, Mads Pedersen et Flippo Ganna, arrivés dans cet ordre pour les deux autres marches du podium, ont bien espéré garder le plus longtemps possible la roue du futur double vainqueur. L'Italien a le premier lâché, imité peu de temps après par le Danois, dernier à retarder l'échéance et qui s'est consolé en jouant les chausseurs seul derrière le Néerlandais. Celui qui sera une nouvelle fois l'immense favori du prochain Tour des Flandres, où il défendra également son titre, n'a toutefois laissé place à aucun suspense, en augmentant continuellement son avance, pour finalement l'emporter avec plus d'une minute sur son dauphin du jour. Vainqueur à San Remo, "VDP" enchaîne une nouvelle victoire, et en est déjà à trois succès, puisqu'il avait également dominé le Samyn. Vous avez dit ogre.
Mathieu van der Poel encore en démonstration. Six jours après avoir remporté Milan - San Remo pour la deuxième fois de sa carrière à l'issue d'un duel épique avec Tadej Pogacar, dont les nombreuses attaques n'avaient pas eu d'effet sur la solidité du surpuissant Néerlandais, ce dernier n'a de nouveau laissé aucune chance à ses rivaux, ce jeudi sur le Grand Prix E3, qu'il a écrasé avec la même supériorité qu'il ne l'avait fait l'année dernière alors qu'il n'avait pas encore goûté à la victoire dans cette course, même s'il avait terminé sur le podium lors de ses deux premières participations.
Il s'en est même fallu de quelques kilomètres uniquement que l'indiscutable leader de l'équipe Alpecin-Deceuninck, assurément le meilleur coureur de classiques avec Pogacar et Wout Van Aert, incapable de suivre le rythme jeudi, ne fasse craquer les rares et seuls coureurs qui étaient parvenus à l'accompagner encore à ce moment de l'épreuve au même moment que lors de son succès de 2024. Si "VDP", qui compte désormais 53 victoires chez les professionnels, avait choisi d'attaquer dans le Paterberg l'année dernière, c'est au pied du Vieux Quaremont, à savoir au plus fort des pourcentages proposés par cette principale difficulté du jour, que le double vainqueur du Paris-Roubaix et triple lauréat du Tour des Flandres a porté cette fois son accélération.
Déjà promis à une nouvelle victoire sur le Tour des Flandres ?
En annonçant avant le départ qu'il ne sortirait pas dans le Paterberg ce jeudi, l'ancien champion du monde ne s'était de toute façon pas caché de la stratégie pour laquelle il avait de fortes chances d'opter. Van der Poel avait prouvé la saison dernière sur ce même Grand Prix E3 que passer plus de quarante kilomètres seul à l'avant n'était aucunement de nature à lui faire peur ou à le refroidir. Un an après être devenu le coureur ayant fourni le plus long effort solitaire avant de lever les bras ensuite sur la ligne d'arrivée, le petit-fils du regretté Raymond Poulidor, immense favori à sa propre succession, n'a donc pas hésité à se relancer dans le même pari, même toujours aussi osé.
Un temps, Mads Pedersen et Flippo Ganna, arrivés dans cet ordre pour les deux autres marches du podium, ont bien espéré garder le plus longtemps possible la roue du futur double vainqueur. L'Italien a le premier lâché, imité peu de temps après par le Danois, dernier à retarder l'échéance et qui s'est consolé en jouant les chausseurs seul derrière le Néerlandais. Celui qui sera une nouvelle fois l'immense favori du prochain Tour des Flandres, où il défendra également son titre, n'a toutefois laissé place à aucun suspense, en augmentant continuellement son avance, pour finalement l'emporter avec plus d'une minute sur son dauphin du jour. Vainqueur à San Remo, "VDP" enchaîne une nouvelle victoire, et en est déjà à trois succès, puisqu'il avait également dominé le Samyn. Vous avez dit ogre.
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